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5 façons de garder du temps pour vos projets personnels

person checking phone at desk

Si votre entreprise prospère, les projets personnels peuvent passer au second plan. Designers, voici comment vous dégager des périodes de pure création.

Les commandes pleuvent, le téléphone sonne sans arrêt et la boîte de réception ne désemplit pas, on ne va pas se plaindre, si ?

Trop de commandes tuent la créativité : l’enchaînement de missions peut vous empêcher de vous pencher sur des projets personnels qui vous passionnent vraiment, qu’il s’agisse d’essayer un nouveau support ou simplement de vous lancer dans une session ultra-créative juste pour le plaisir.

Heureusement, vous pouvez donner la priorité à vos clients sans délaisser votre travail personnel. Voici 5 façons simples de trouver du temps pour ces deux aspects de votre activité.

1. Inspirez-vous en continu

Gardez un œil sur vos sources d’inspiration personnelles en faisant de vos réseaux sociaux des petites sources de bonheur créatif. Créez une page sur Instagram, Pinterest, Reddit ou tout autre site que vous consultez tous les jours, et alimentez-la en contenus que vous sélectionnez pour leur capacité à stimuler votre imagination. Vous serez ainsi toujours connecté(e) à ce qui vous inspire.

Suivre des artistes et des designers vous inspirera à coup sûr, mais pourquoi s’arrêter là ? Citations d’auteurs que vous aimez, actualités, mode et décoration d’intérieur, paysages ou même chiots stars d’Instagram peuvent être l’ingrédient secret qui orientera la partie créative de votre cerveau vers son prochain chef-d’œuvre.

2. Essayez le micro-apprentissage

Vous souhaitez étendre vos connaissances mais n’avez pas le temps d’étudier ?  Vous n’êtes pas les seul(e)s. Pourquoi ne pas écouter un tutoriel vidéo de 10 minutes ? Ou un TED Talk de cinq minutes ? Le micro-apprentissage n’est pas seulement pratique : certains avancent même qu’à cause du raccourcissement de la capacité de concentration humaine, il pourrait être plus efficace que les méthodes traditionnelles.

Lorsque vous courez après le temps, vous devez faire en sorte que chaque activité compte. Apprenez-en plus sur la manière de trouver du temps pour vos projets personnels dans une vie de salarié dans notre guide pour ceux qui ne veulent pas lâcher leur temps plein.

3. Rentrez dans le rythme

Faire en sorte qu’une activité fasse partie de votre routine quotidienne est l’une des meilleures manières de créer une habitude, et de la faire passer en priorité même lorsque votre emploi du temps est chargé. C’est pourquoi développer une pratique quotidienne centrée sur votre propre travail créatif est un excellent moyen d’insuffler en permanence de l’énergie à vos projets personnels.

Identifiez une pratique créative que vous appréciez : esquisse, modélisation, dessin vectoriel ou complètement autre chose, et intégrez-la à votre routine quotidienne. Peu importe la durée de la session, le principal est de vous y adonner régulièrement et à la même heure. Lifehack.org recommande de répéter une pratique quotidiennement pendant 30 jours pour la transformer en habitude.

4. Trouvez votre communauté créative

L’union fait la force, c’est particulièrement vrai en matière de création, de conception et de design. Vous mettre en lien avec une communauté créative peut être un moyen fantastique de cultiver vos projets personnels, et même de les enrichir grâce aux idées et compétences d’autres artistes.

Recherchez sur Internet s’il existe des groupes de réunion dans votre communauté. Si ce n’est pas le cas, rien ne vous empêche d’en monter un vous-même et d’ajouter par la même occasion une ligne « organisation de groupes de réunion » à votre CV ! Vous pouvez aussi entrer en contact avec d’autres professionnels du design en ligne, via des réseaux sociaux et des groupes. Des sites de membres spécialisés dans le design tels que Behance, ou une association professionnelle telle que la Graphic Artists Guild, sont parfaits pour vous lancer.

Pour en savoir plus sur comment trouver votre tribu créative, découvrez notre article sur les clubs et assos.

5. Définissez vos marques personnelles et professionnelles

Vous constatez peut-être que votre spécialisation professionnelle s’avère différente de votre passion personnelle. Une des manières de tirer le meilleur parti de cette situation est de traiter ces deux pôles comme deux marques distinctes. C’est un bon moyen d’indiquer que vous possédez plusieurs cordes à votre arc. Par ailleurs, vous structurez davantage votre quotidien et vous dégagez dans votre vie un espace défini pour votre travail personnel.

Votre activité professionnelle implique peut-être la création d’infographies pour des entreprises, mais au fond de vous, vous pouvez être passionné(e) par l’illustration psychédélique et les couleurs audacieuses. Donnez à vos deux personnalités en matière de design des marques différentes (y compris un site web, des réseaux sociaux et un portfolio en ligne), et engagez-vous à passer une période de temps prédéfinie sur chacune.

Bien entendu, il peut être bénéfique de combiner vos différents styles en un seul portfolio pour démontrer votre polyvalence. Mais si votre travail semble partir dans deux directions, des marques multiples peuvent être la solution pour l’avenir. Vous pouvez tenter les deux approches et voir ce qui fonctionne le mieux pour vous et vos clients.

Un emploi du temps chargé ? Rechargez vos batteries en vous dégageant du temps pour prendre soin de vous.

Stock images aren’t all generic photos of people in suits shaking hands. Les banques d’images renferment de véritables pépites. Découvrez comment les dénicher et les utiliser pour refléter fidèlement votre marque.

Si vous avez l’œil et de sacrées compétences en matière de recherche web, les photos de banques d’images peuvent devenir de véritables atouts pour vos projets de design et vous permettre, ainsi qu’à vos clients, de faire l’économie d’un photographe.

Que vous utilisiez directement un site d’images ou une sélection fournie par vos clients, voici nos conseils pour vous aider à rendre ces photos uniques, naturelles et professionnelles, tout en évitant les écueils habituels.

1. Attention à la concurrence

Quand vous consultez une image potentielle, mettez-vous à la place du client et observez-la d’un œil acéré pour vous assurer qu’elle ne représente pas de produit ou technologie de concurrents. Faites attention aux couleurs de marques, aux logos, même flous, et aux formes et designs de produits distinctifs. (On pense notamment à une certaine marque informatique avec un logo en forme de fruit argenté).

2. Restez local

Les photos des banques d’images proviennent du monde entier, d’où leur nombre et leur variété. Quand vous choisissez une image pour un client, assurez-vous donc qu’elle soit conforme aux règles et coutumes de sa région.

Faites attention aux devises : des prix en euros ne collent pas avec un client américain. La météo aussi a son importance : les photos ensoleillées de la Californie ne conviendront pas pour un client basé à Stockholm.

Enfin, il y a la question des véhicules et de la signalisation routière : de quel côté les voitures roulent-elles et leurs volants sont-ils à gauche ou à droite ? N’oubliez pas qu’en Australie, en Inde, au R-U et dans quelques autres pays, les gens roulent à gauche et ont le volant à droite, contrairement au reste du monde.

Petite astuce : une image peut parfois être retaillée pour donner un ensemble d’images aux couleurs et thèmes complémentaires. Très utile pour maintenir la cohérence au sein d’un petit projet.

3. Soyez un expert des marques

De nombreuses entreprises ont des directives concernant l’image de leur marque. Avec un peu de chance, vous aurez pu les consulter, ainsi que des exemples tirés du site et des matériaux imprimés.

Parfois cependant, il existe des règles non écrites, basées sur des préférences individuelles ou des priorités stratégiques au sein de l’entreprise. C’est pourquoi vous devez essayer si possible d’échanger avec un designer interne ou un directeur de marque pour avoir une meilleure compréhension de ce qu’ils préfèrent.

Dans les banques d’images, certaines photos sont lourdement retouchées et ont un aspect filtré. Avant de commencer votre sélection, vérifiez auprès de votre client si ce genre d’image est acceptable pour lui. D’un côté, elles sont conformes aux tendances actuelles. (Coucou Instagram !) De l’autre, elles peuvent ne pas correspondre à la marque de votre client, et même si elles lui correspondent, des règles concernant la température chromatique, le vignettage et la saturation peuvent s’appliquer.


4. Évitez les images-clichés

On n’a probablement pas besoin de vous dire que les photos trop posées ne sont pas une bonne idée. Pour la plupart des clients, mieux vaudra éviter les regards directs vers l’objectif ou les expressions faciales déconnectées de la situation, comme le tristement célèbre mème des « femmes riant seules devant leur salade »..

Ces photos, véritables clichés mis en scène pour illustrer un concept abstrait, doivent être envisagées avec prudence. (Par exemple : le panneau de croisement pour illustrer un choix, la tirelire qui représente les économies ou l’homme d’affaires avec un mégaphone qui illustre les problèmes de communication au travail.)

5. Travaillez sur les mots-clés

Trouver les bonnes photos dans une grande bibliothèque d’images est tout un art. Les termes de recherche utilisés peuvent faire toute la différence entre des heures de labeur et un choix rapide. Faire une recherche à mots-clés multiples va vous aider à restreindre rapidement vos résultats. Vous pouvez aussi exclure certains mots-clés, tout aussi importants que ceux que vous incluez.

Enfin, profitez à fond des filtres du site dès le début de votre recherche. Sur les grands sites, ils peuvent être d’une incroyable précision (orientation de l’image, format, pays d’origine ou nombre de personnes représentées, par exemple).

6. Mobilisez tous vos sens pour trouver la photo qui sort du lot

Les photos de banques d’images peuvent véhiculer de puissants signaux sensoriels, que vous conceviez un flyer, une image d’e-mail, une page de site ou une Carte de Visite. Une couverture cosy, un bouquet de fleurs fraîches ou un désert luxuriant auront toujours une connotation positive. Au contraire, certaines bonnes photos, prises dans des intérieurs démodés, avec des accessoires qui manquent de charme, peuvent donner une mauvaise impression au client.

Petite astuce : choisissez toujours la plus haute résolution disponible dans votre budget, afin de pouvoir zoomer et retailler l’image à loisir, tout en évitant le redoutable effet pixellisé.

Pour plus de conseils astucieux sur la photographie, consultez notre guide pour prendre de super photos de produits.

Si vous n’avez jamais fait passer d’entretiens, le premier peut s’avérer stressant pour tout le monde. Voici comment en tirer le meilleur.

Que vous engagiez votre premier employé ou organisiez des entretiens pour un nouveau poste, vous pouvez vous sentir submergé(e) si c’est votre première fois. Heureusement, un peu de préparation vous permettra de partir du bon pied.

1. Définissez vos objectifs à l’avance

Un entretien, c’est une fenêtre sur la vie professionnelle d’un(e) candidat(e) : vous devez savoir ce que vous cherchez, et pour cela vous concentrer sur quelques objectifs.

Outre les compétences et l’expérience, attachez-vous aux facteurs émotionnels et sociaux.

Déterminez vos objectifs, du très spécifique (« en apprendre plus sur le projet qu’il/elle a réalisé sur x ») au général (« m’assurer qu’il/elle s’intégrerait dans l’équipe de vente »).

2. Commencez par des questions sur le CV

À ce stade, vous vous êtes déjà renseigné(e) sur le/la candidat(e). Avec l’entretien, vous approfondirez les aspects intéressants et trouverez des réponses à vos interrogations.

Les questions telles que « dites-m’en plus sur votre fonction de x » peuvent lancer la discussion en mettant tous les interlocuteurs à l’aise, ce qui sera bénéfique pour l’entretien dans son ensemble.

Les questions sur l’expérience du/de la candidat(e) vous aident à savoir si sa réflexion est stratégique et son esprit commercial. Par exemple : « comment permettez-vous à votre entreprise de se démarquer de la concurrence ? ».

Choisissez deux ou trois questions sur le CV seulement, pour éviter d’aborder des sujets déjà connus ou non pertinents.

3. Adaptez vos questions à la description de poste

Votre candidat(e) aura probablement préparé des réponses adaptées à la description de poste.

Votre but n’est pas de reprendre les éléments déjà lus dans le CV, mais d’identifier tout écart potentiel entre son expérience et vos besoins. Par exemple :

« Nous recherchons x, et j’ai constaté que vous n’avez pas d’expérience directe dans ce domaine. Pouvez-vous m’expliquer comment vous aborderiez ce défi ? »

Parler de la description de poste est un bon moyen de l’amener à vous poser des questions sur ce dernier.

« Qu’est-ce qui vous a le plus intéressé dans la description de poste ? Y a-t-il des spécificités sur lesquelles vous souhaiteriez plus d’informations ? »

4. Envisagez les questions fondées sur les compétences

Les questions fondées sur les compétences peuvent être utiles.

En lui disant : « décrivez-moi une fois où vous avez… », vous permettez à votre candidat(e) de vous montrer comment il/elle a utilisé ses capacités dans une situation concrète.

Vous pourrez également en savoir plus sur sa personnalité et sa façon de travailler.

Quelques questions fondées sur la compétence :

 

  • « Parlez-moi d’une fois où… »
  • « Donnez-moi un exemple de… »
  • « Quelle est la situation la plus x à laquelle vous avez fait face ? »
  • « Quel a été le défi le plus important quand vous occupiez le poste de x ? »

 

Alternez avec d’autres styles de questions pour ne pas trop stresser le/la candidat(e).

5. Observez la communication non verbale

Le langage corporel peut être modifié en situation de stress. Toutefois, il est intéressant de prêter attention aux éléments suivants :

  • Le contact visuel : est-il existant ? C’est important, surtout si le poste implique un lien avec des clients ou fournisseurs.
  • L’attitude : si votre candidat(e) est détendu(e) mais investi(e) (langage corporel ouvert), et se penche en avant, il/elle est motivé(e) et vous écoute activement.
  • La prise de notes : votre candidat(e) écrit-il/elle ? Si oui, cela signifie qu’il/elle accorde de la valeur aux informations que vous lui transmettez et est véritablement intéressé(e).

Comme le souligne The Balance, ce type d’observations ne se limite pas à la salle d’entretien. Les personnes qui accueillent le/la candidat(e) peuvent également faire part de l’impression qu’il/elle dégage. Est-il/elle souriant(e) à son arrivée ?

6. Gardez l’esprit ouvert

Même s’il faut écouter votre instinct, les décisions que vous prenez lors d’un recrutement doivent dépasser les préférences personnelles. Vous recrutez pour le compte de votre entreprise : restez objectif/ve et concentrez-vous sur ce que le/la candidat(e) peut apporter à votre activité.

Comme l’explique Talentlens, les premières impressions fondées sur une base émotionnelle ou subconsciente peuvent orienter tout l’entretien.

Vous pouvez réinviter votre candidat(e) pour une discussion avec d’autres membres de l’équipe après un premier entretien positif.  

7. Assurez-vous de la comptabilité de culture

Même si votre croissance ne fait que débuter, il est essentiel de réfléchir à votre culture d’entreprise. Votre premier/ère collaborateur/trice saura-t-il/elle accompagner votre développement ? Incarne-t-il/elle vos valeurs de marque ?

Gardez vos questions sur les compétences pour le premier entretien. Si tout se passe bien, planifiez-en un deuxième portant sur la culture, qui pourra prendre la forme d’une discussion informelle avec le/la candidat(e), par exemple sur ses hobbies. Si le/la candidat(e) est de plus en plus à l’aise, c’est bon signe pour la suite.

Une fois que vous avez trouvé votre candidat(e) idéal(e), pourquoi ne pas l’accueillir avec une intégration exceptionnelle ?

Aidez votre entreprise à se faire remarquer en tant qu’endroit où il fait bon travailler pour attirer, et engager, les meilleurs talents.

Commençons déjà par les bases : qu’est-ce qu’une marque employeur ?

Pour résumer, votre marque employeur désigne la manière dont votre entreprise est perçue en tant que lieu de travail par les candidats potentiels à un poste.

Elle est intimement liée au concept de l’expérience employé, mais se caractérise surtout par le fait que vous gardez un œil sur la perception de votre entreprise à l’extérieur, et non pas seulement sur le bien-être des employés qui y travaillent déjà.

En tant qu’employeur, vous bénéficiez d’une visibilité publique, ce qui signifie que votre marque employeur existe déjà. Mais pour construire une marque employeur forte, il faut vous approprier vos forces existantes et les utiliser à votre avantage.

Quelle différence avec une marque « normale » ?

Votre marque employeur fait partie de votre identité de marque dans son ensemble, dont elle est inséparable, mais l’accent stratégique n’est pas exactement le même.

Plutôt que de penser aux publics externes qui pourraient avoir envie de faire des affaires avec votre entreprise, concentrez-vous sur les personnes qui seraient susceptibles de vouloir rejoindre vos équipes. Travailler dans votre entreprise représente le produit, et ces personnes sont vos clients.

Lorsque vous développez votre marque employeur, vous mettez en avant et promouvez ce que vous avez à offrir en tant qu’employeur, depuis la qualité de votre cantine jusqu’aux avantages salariaux, en passant par l’équilibre vie privée-vie professionnelle dont bénéficie votre personnel.

Quels points de contact pour la marque employeur ?

Comme votre marque d’entreprise, votre marque employeur sera présente dans tous les aspects de votre activité. Mais certains points de contact, qui peuvent représenter de véritables opportunités en matière de recrutement, méritent davantage votre attention que d’autres.

Ayez bien en tête votre marque employeur :

Lorsque vous rédigez des offres d’emploi

Assurez-vous que votre offre ne consiste pas en une simple liste de prérequis et d’avantages. Profitez plutôt de cette occasion pour donner un avant-goût de la vie dans votre entreprise. Décrivez la satisfaction professionnelle des employés, le rythme de travail ou la dynamique d’équipe pour permettre aux candidats de se projeter dans votre entreprise.

Vous pouvez également inclure des petits détails parlants tels que le bureau ensoleillé, la diversité des parcours des membres du personnel ou les événements d’équipe (déjeuners, sorties, etc.). Si vous avez rédigé un guide sur le ton de votre entreprise, vous pouvez y inclure une section dédiée à la rédaction d’offres d’emploi ou d’autres contenus liés à la marque employeur.

Lorsque vous élaborez le processus de candidature

Votre processus de candidature en ligne doit être aussi simple et fluide que possible. Si vous utilisez un formulaire, identifiez les obstacles en matière d’expérience utilisateur tels que les questions obligatoires ou les limites de caractères, qui pourraient frustrer certains candidats et les pousser à ne pas postuler.


Si vous fournissez les coordonnées d’une personne à contacter en cas de question, assurez-vous que celle-ci est disponible et en capacité de répondre rapidement aux e-mails et aux appels, afin que les candidats se rendent compte que vous êtes bien organisé et qu’il est facile de travailler avec vous.

 

Dans la rubrique Carrières de votre site web

C’est le centre névralgique de votre marque employeur, et vous pouvez en tirer parti pour détailler tous les avantages que vous avez à offrir. L’ajout de photos, de vidéos, de témoignages et d’études de cas à cette rubrique est tout à fait pertinent.

 

Sur des sites tiers

Inscrivez-vous en tant qu’employeur sur des sites professionnels tels que Glassdoor ou LinkedIn, où les candidats feront des recherches à votre sujet. Être présent sur des sites tiers, c’est vous assurer de pouvoir répondre aux questions et aux avis.

Vos comptes de réseaux sociaux sont également de bons outils pour développer votre marque employeur. Vous pouvez publier des contenus présentant l’envers du décor ou sur la vie quotidienne des employés, ou signaler à l’avance qu’un poste va se libérer.

Pendant les entretiens

Votre processus d’entretiens est central pour votre marque employeur, et c’est probablement l’élément qui va le plus marquer les candidats. Si vous êtes chaleureux et accueillant, que vous revenez vers les candidats (même ceux qui n’ont pas obtenu le poste) et que vous êtes respectueux de leur temps et de leurs efforts, vous aurez tout gagné !

Faire attendre les candidats, annuler puis reprogrammer les rendez-vous à de nombreuses reprises ou ne pas répondre aux e-mails de suivi sont autant d’erreurs qui donneront une mauvaise image de votre marque.

N’oubliez pas, les candidats qui n’ont pas obtenu le poste auront également une incidence sur votre marque employeur. Ils partageront probablement leur expérience avec leurs amis, leurs collègues et les recruteurs auxquels ils s’adresseront, ce qui aura des répercussions sur la manière dont vous êtes perçu.

Alors comme s’y prendre ?

Mettez votre équipe sur le devant de la scène

L’authenticité est reine en matière de branding employeur, et qui est mieux placé pour peindre un tableau honnête de votre entreprise que les membres de votre équipe actuelle ? Ils peuvent devenir des ambassadeurs de votre entreprise sur les réseaux sociaux, alimenter votre page Carrières avec des témoignages et des histoires personnelles, ainsi que répondre aux questions des candidats potentiels (par exemple sur une page Ask Me Anything ou pendant un événement où ils prennent le contrôle des comptes de réseaux sociaux.)

Partez à la chasse aux retours et aux avis

L’expérience employé ou l’expérience candidat, c’est comme l’expérience client : elle s’améliore au gré des retours que vous recevez. Mettez par exemple en place des entretiens de suivi via une courte enquête en ligne sur l’expérience de candidature, ou incluez une demande de retour à votre processus d’intégration des nouvelles recrues.

 

Soyez conscient de votre valeur

Qu’est-ce qui vous différencie des autres entreprises ? Connaître vos points forts en tant qu’employeur, c’est pouvoir en tirer parti, à la fois en les mettant en avant auprès des candidats potentiels et en rendant vos offres d’emploi intéressantes et uniques.

Pour en savoir plus sur les moyens permettant de transformer votre entreprise en un endroit où il fait bon travailler, consultez notre guide pour faire comprendre et accepter vos valeurs de marque.

Le designer Luke Tonge explique à MOO comment sa quête de sens dans son travail l’a mené à fonder le Birmingham Design Festival au Royaume-Uni.

Luke Tonge, qui se décrit comme un « designer graphique à l’esprit vagabond, basé à Birmingham, fan de shorts et de typographie », est depuis toujours passionné par son art.

Mais lorsqu’il est entré sur le marché du travail, il n’a pas trouvé l’expérience « satisfaisante spirituellement ». Après dix ans passés sur des projets créatifs personnels, il s’est établi en free-lance, en quête de sens dans son travail. Cette aventure l’a poussé à fonder le tout premier Birmingham Design Festival, qui a vendu près de 7 000 entrées.

 

Luke nous parle de la manière dont sa quête de sens l’a motivé, mais aussi du défi d’attirer des centaines de designers à un tout nouveau festival des Midlands.

Comment êtes-vous arrivé au design graphique ?

De mémoire, j’ai toujours créé. J’ai grandi fasciné par plusieurs influences visuelles : les BD d’Astérix, les films de Bill & Ted, la culture skate et BMX, la pop-punk…, qui ont nourri mon désir de devenir designer graphique.

 

Après avoir trouvé mon premier emploi, j’ai travaillé sur des projets personnels enrichissants du point de vue créatif. J’ai passé presque une décennie dans de grandes agences, tout en décrochant des missions pour des amis, associations ou petites entreprises.

 

Ces dix années m’ont beaucoup appris, mais j’ai fini par me rendre compte que tous les projets personnels du monde ne suffiraient pas à compenser le déséquilibre que je ressentais. J’ai donc quitté mon emploi pour redonner un sens à mon travail.

  • the REC magazine
  • Luke Tonge design
  • Luke Tonge design work

Désormais, vous animez des ateliers et conférences et proposez des services de conseil en design. Pensez-vous qu’il soit important de soutenir la communauté des designers ?

Je n’avais pas prévu à ce stade de ma carrière de passer autant de temps à soutenir d’autres designers. Mais il faut trouver ce qui nous fait du bien : pour moi, c’est d’enseigner, d’encourager de jeunes designers, de préparer des événements et de créer.

 

Chaque designer est son pire ennemi, et nous sommes souvent trop occupés pour accorder à nos portfolios l’attention qu’ils méritent. Mais je pense que la gentillesse est sous-estimée, et j’aimerais que ces traits de ma personnalité se lisent à travers ma façon de travailler.

  • Luke Tonge Birmingham design festival
  • BDF tote bags
  • BDF program
  • Birmingham design festival business cards
  • BDF magazine
  • Birmingham design festival event program

Parlez-nous de votre rôle dans la co-fondation du Birmingham Design Festival.

J’ai la chance de faire partie d’un groupe de créatifs qui font changer les choses à Birmingham. L’un des acteurs de ce mouvement, mon ami le designer Dan Alcorn m’a contacté début 2017 pour avoir mon avis sur son idée d’un festival de design à Birmingham.

 

Sa vision était claire : une célébration de la ville, à son échelle et la mettant à l’honneur. J’ai rapidement été convaincu, et nous avons mis en commun notre énergie, nos contacts et nos ressources pour fonder une équipe d’environ dix designers locaux et amis et concrétiser le projet. Nous avons contacté tous les fondateurs et organisateurs d’événements que nous connaissions, ce qui nous a permis d’apprendre de leurs expériences.

Comment avez-vous fait connaître le festival ?

La promotion était essentielle, nous avions beaucoup de salles à remplir malgré notre inexpérience. Nous avions peur que la demande pour un festival de design ne soit pas si importante.

 

Nous avons utilisé tous les outils promotionnels à notre disposition : publications promues sur les réseaux sociaux, espaces médiatiques extérieurs à Birmingham, Flyers, magazines, Cartes Postales.

 

En tant que groupe de designers actifs s’adressant à un public averti, il était important de soigner notre présentation. Nous avons donc demandé à une équipe de designers de travailler sur notre identité de marque et matériel promotionnel :

 

Ash O’Brien de Two of Us et Paul Felton de Common Curiosity ont créé pour notre branding un système de design flexible, ancré dans la ville. Ils ont revisité le patrimoine artisanal de Birmingham, avec un système de poinçons sur des supports que nous avons pu utiliser dans des configurations multiples.  

Comment distribuer des Cartes de Visite, par exemple, a-t-il fait son effet ?

Nous avons rencontré des prestataires, intervenants et designers, dont beaucoup nous ont complimentés sur notre cohérence et notre présentation. Ces rencontres avaient beaucoup de potentiel, et être capable de se mettre en relation rapidement grâce à des Cartes de Visite était aussi essentiel.

 

Je suis client de MOO depuis de nombreuses années : j’utilisais les MiniCards, et désormais également les Cartes de Visite Feuille d’Or, marquantes visuellement comme au toucher. Les réactions ont été positives, les clients choisissant même leur design préféré grâce à Printfinity.

 

J’ai utilisé les textures peintes de l’artiste Jim LePage, car elles incarnent mes recherches artistiques : couleurs saisissantes et finis tactiles.

À quoi a ressemblé le premier festival ? Et quid de la suite ?

Il a dépassé toutes nos attentes : sur quatre jours, plus de 100 intervenants, 95 discussions et 30 ateliers, expositions et événements.

 

Nous avons accueilli des grands noms du domaine, des intervenants très divers, et énormément appris. Grâce à nos sponsors, les événements étaient en majorité gratuits. Trop de conférences sur le design ne sont pas accessibles à ceux qui en ont le plus besoin : nous avons inversé la tendance, et mis en avant des bâtiments de Birmingham.

 

Nous recommencerons en juin 2019, en encourageant notamment l’organisation d’événements en partenariat avec le festival, qui bénéficieront de notre audience et de notre ambiance.

Faites parler de vos projets personnels avec les Cartes de Visite, personnalisables grâce à Printfinity

Consultants aren’t just for big businesses. Que ce soit pour le développement de leur base de compétences ou pour leur donner un avantage compétitif, les consultants ont énormément à apporter aux PE.

1. Des experts chevronnés à l’appui de la direction

Vous êtes peut-être le big boss de votre start-up, mais comparés aux vieux routiers du monde des affaires, vous n’êtes probablement qu’un débutant. Ceci étant, comme c’est sur vos connaissances que compte votre équipe, faire appel à un consultant serait un bon moyen de recevoir des conseils et un soutien de haut niveau, lorsque vous en avez besoin, de la manière souhaitée.

Fort de nombreuses années d’expérience, un consultant aura forcément rencontré des problèmes similaires à ceux auxquels vous êtes confrontés, qu’il s’agisse d’une question de RH, de l’expansion vers un marché de niche ou de négociations avec des fournisseurs.

Évidemment, avoir recours à un mentor payant, ce n’est pas vraiment comme laisser se développer une véritable relation de mentorat, puisque vous engagez la personne plutôt que de faire équipe avec elle. Mais sait-on jamais, une telle relation pourrait se développer quand même, si vous tombez sur la bonne personne. Dans les deux cas, c’est l’opportunité rêvée de poser toutes vos questions à quelqu’un qui s’y connaît dans le domaine que votre petite entreprise commence tout juste à explorer.

2. Développement de compétences spécialisées

Vous voulez que votre personnel devienne très, très bon dans un domaine particulier ? Embauchez un expert pour le lui enseigner, qu’il s’agisse de gestion du temps, de l’utilisation des réseaux sociaux ou de vannerie. L’intérêt, c’est qu’en faisant appel à un expert, vous puissiez renforcer à fond les connaissances de votre équipe, même si votre entreprise n’en est qu’à ses débuts.

Avec un consultant, ce sont des années et des années d’expérience que vous importez dans votre entreprise sans avoir à payer un salaire démesuré par rapport à votre budget à long terme. Cela vous donne aussi une certaine flexibilité, puisque vous pouvez choisir exactement quelle compétence vous voulez faire germer dans votre équipe, puis modifier les choses une fois l’objectif atteint.

3. Un regard neuf

L’un des avantages notoires quand on embauche un consultant, c’est sa capacité à observer les processus et les défis de votre entreprise d’un point de vue extérieur. Avec son regard objectif d’expert, il est capable de relever les choses qui vous échappent lorsque vous êtes au cœur de l’action.

Si c’est dans cette optique que vous voulez utiliser ses services, le mieux est de bien savoir à l’avance ce que vous souhaitez en retirer, si possible en termes concrets de retour sur investissement. S’adresser à un consultant en ayant un but ou un défi spécifique en tête signifie que vous pouvez travailler ensemble pour mettre un plan en place et vous mettre d’accord sur des objectifs à atteindre, comme une augmentation des ventes, un renforcement de la notoriété de la marque ou un processus logistique plus rentable.

4. Audit et benchmarking

Outre le regard neuf qu’il porte sur les choses, le consultant a une vision plus globale du monde au-delà de votre entreprise. Il peut vous aider à voir où vous en êtes par rapport aux standards de votre secteur et vous donner des conseils pour devenir plus compétitif et tirer profit des lacunes du marché.

Ce genre d’intervention peut prendre différentes formes, par exemple une période d’observation, suivie d’un rapport avec recommandations, ou bien une aide au jour le jour pour amener les changements souhaités.

Choisir un consultant

On l’a compris, les consultants ont leur utilité, mais où trouver celui qu’il vous faut ?

Trois points essentiels sont à retenir pour évaluer les candidats potentiels : l’expérience, la réputation et l’expertise. Grasshopper.com offre quelques conseils pratiques concernant les détails à prendre en compte lorsque vous procédez au tri des candidats.

Pensez aussi aux traits de caractère qui sont importants pour vous et posez-vous la question de savoir si la personne s’intégrera bien au sein de votre culture d’entreprise. Pour vous aider à enclencher le processus, voici quelques réflexions concernant les qualités d’un bon consultant.

Découvrez plus de conseils pour les start-up en consultant notre guide « branding » pour les start-up

Site Internet sur mesure ou profil clé en main : améliorez l’EU de votre portfolio pour rendre votre travail plus visible auprès de vos clients potentiels.

L’objectif d’un portfolio, c’est de mettre en avant ses compétences et son potentiel créatif. Pour que votre travail se démarque, vous devez proposer aux visiteurs de votre site une expérience simple et agréable. Avec une navigation bien pensée, vous vous assurez que toute personne consultant votre portfolio pourra facilement explorer l’intégralité de votre travail (et vous passer commande, qui sait ?).

Voici quelques conseils pour vous aider à créer un portfolio 100 % « user-friendly ».

 

Organisez votre portfolio du point de vue d’un visiteur

Mettez-vous à la place du client lorsque vous concevez la navigation et les éléments du menu de votre portfolio. Quel est son but ? Qu’est-ce qui l’a amené à consulter votre portfolio ? Il est peut-être pressé : rentabilisez sa visite à l’aide de choses simples et claires. Offrez-lui une expérience positive et facilitez sa décision de travailler ou non avec vous en même temps.

S’il a beaucoup de portfolios à consulter, peu de temps pour se décider et que la navigation sur votre site est difficile, il pourrait quitter la page avant d’avoir vu ce que vous avez à offrir.

La plupart des utilisateurs passe quelques secondes seulement sur un site. La première impression est donc cruciale. Plutôt que de garder le meilleur de votre travail pour la fin, placez-le en tête de page de votre portfolio et rédigez des titres simples et clairs pour votre menu, dans une police d’écriture lisible, afin que les gens trouvent plus rapidement ce qu’ils cherchent.

Rédigez des textes de menu clairs et attractifs

Votre menu de navigation est la principale voie d’accès à votre portfolio, quel que soit son agencement.

Optez pour des catégories de menu offrant un aperçu équilibré de votre travail (noms de clients, techniques utilisées, etc.). Variez les types de projets et les styles présentés pour mettre en valeur votre expérience et votre flexibilité. .

Jouez sur vos points forts : si vous avez beaucoup de projets, mais peu de clients, définissez vos catégories principales avec les noms de projets ou les styles artistiques.

Quelle que soit votre approche, évitez de multiplier les éléments de menu : votre client risquerait d’être submergé et de ne pas savoir par où commencer. Orbit Media recommande d’avoir 7 liens maximum sur sa page principale, mais si 5 suffisent, c’est encore mieux.

Étiquetez votre travail de manière stratégique

Si vous avez un gros catalogue d’œuvres, vous pouvez étiqueter les éléments de votre portfolio pour mieux les organiser et permettre à vos visiteurs d’explorer librement votre site.

Si l’organisation de votre portfolio le permet, comme c’est le cas sur la plupart des grandes plateformes, les gens pourront cliquer directement sur les étiquettes d’un élément pour voir les autres pages du portfolio portant le même identifiant.

L’étiquetage est aussi essentiel pour les recherches globales sur un site, donc si votre portfolio fait partie d’un site communautaire, ou que vous disposez d’une barre de recherche sur votre propre site, prenez le temps de réfléchir à votre stratégie d’étiquetage.

Trop générales, les étiquettes ne permettent pas de cibler les contenus ; trop spécifiques, elles n’incluront pas assez d’éléments pour être utiles. Trouvez l’équilibre en choisissant des étiquettes qui décrivent un aspect commun à plusieurs éléments, qui n’est utilisé nulle part ailleurs dans votre navigation pour les rassembler. Cela donnera aux visiteurs intéressés par ces sujets un moyen plus ciblé d’explorer votre travail.

Sur un site Internet, l’étiquetage doit être cohérent pour bien fonctionner. Tenez-vous-en à des étiquettes prédéfinies et faites attention aux coquilles et aux variations de forme des mots, afin de les homogénéiser pour créer une étiquette unique.

Créez des appels à l’action percutants

L’appel à l’action est un texte, bouton ou lien qui invite le visiteur à faire quelque chose : regarder une vidéo, acheter une impression, etc.

Selon le design de votre page, vous pouvez placer un appel à l’action sur chacun des éléments de votre portfolio, ainsi que sur votre page “Contact”, ou l’ajouter à un élément fixe tel que le menu ou la barre latérale, afin qu’il reste accessible au visiteur sur toutes les pages.

Simples et directs, les appels à l’action doivent donner une consigne unique au visiteur. Essayez de placer le résultat avant l’action, afin que l’avantage à retirer soit la première chose qu’il voie. For example,

« Pour demander un Autocollant; envoyez-moi un message »

est en effet plus attractif que

« Envoyez-moi un message pour demander un Autocollant »

Incitez les visiteurs à cliquer sur des liens connexes

Faites parcourir votre portfolio à vos visiteurs grâce à des images miniatures de travaux liés à l’image qu’ils sont en train de regarder. Ces dernières peuvent également servir d’appels à l’action, vous permettant de répondre aux besoins des visiteurs qui veulent continuer à naviguer et de ceux qui sont prêts à vous contacter.

For example, under an image that shows a digital illustration project you’ve done for a restaurant, you could place links to other food industry client projects, other digital illustrations, or projects that use related style or techniques.  

Le combo gagnant ? Un portfolio en ligne + sa version imprimée. Avec nos portfolios de poche, soyez prêts à montrer vos meilleurs travaux où que vous alliez.