L’importance d’avoir un studio
L’installation en studio a bouleversé la façon dont l’illustrateur Matthew Frame envisageait son travail. Découvrez pourquoi.
L’installation en studio a bouleversé la façon dont l’illustrateur Matthew Frame envisageait son travail. Découvrez pourquoi.
L’illustrateur Matthew Frame a un style bien à lui, très détaillé, qui se décline aussi bien dans des illustrations éditoriales de petit format que sur ses peintures murales à grande échelle. Découvrez pourquoi le fait de travailler en studio a bouleversé la façon dont il envisageait son métier, quel rôle les réseaux sociaux ont joué dans sa carrière et pourquoi, dans un monde hyperconnecté, il préfère les techniques analogues.
Commençons par les présentations !
Je travaille depuis un studio de Dalston, à Londres. J’y crée des dessins en noir et blanc très détaillés qui me viennent de ma passion pour le cinéma, la politique, l’école, l’environnement et la science-fiction. Je prépare et réalise mes dessins grâce à des techniques analogues. Cela influence mon approche des projets. Mon travail implique beaucoup de recherche, afin d’explorer les métarécits en illustration. Le choix du support est un élément essentiel pour communiquer efficacement des idées et des informations complexes.
Comment êtes-vous arrivé à l’illustration ? Racontez-nous votre histoire.
Mes parents adorent l’art. Mon père est fasciné par Andy Warhol. Il possède à peu près tous les livres qui ont été publiés sur cet artiste ! On m’a donc inculqué depuis un très jeune âge que l’art est très important.
J’ai découvert les bandes dessinées (c’est d’ailleurs devenu une obsession). Je dessinais tout le temps, je copiais les images des BD et j’ai rapidement su que je voulais étudier quelque chose d’artistique.
J’ai suivi un cursus en stylisme pendant deux ans, mais j’ai vite compris que ce n’était pas fait pour moi. A posteriori, je pense que cette période a joué un rôle important, car elle m’a amené à découvrir que c’eétait l’illustration qui me passionnait. Je suis donc revenu à Londres pour étudier l’illustration et l’animation à l’Université du Middlesex. C’est à ce moment là que je me suis dit que c’était vraiment ce que je voulais faire.
J’ai donc poursuivi avec un Master de conception en communication à Central St Martins. C’était super ! J’y ai eu l’occasion d’illustrer un livre, The Bright Labyrinth (non traduit, ndlt), pour l’un de mes enseignants, qui est théoricien de la culture. La graphiste qui a travaillé sur le projet était en poste dans une maison d’édition indienne, Tara Books. Elle a mis son employeur en contact avec moi et ils m’ont demandé si je voulais illustrer un livre intitulé The Boy Who Speaks in Numbers (non traduit, ndlt), au sujet de la guerre civile au Sri Lanka. C’était génial : les instructions étaient très intéressantes, mais assez difficile à satisfaire, car il fallait évoquer la violence et les horreurs de la guerre sans montrer cette violence.
Après ce projet, les choses ont commencé à décoller et j’ai resserré ma relation avec la maison d’édition Tara. La maison m’a commandé deux autres livres dans le cadre d’une résidence d’artiste en Inde, une expérience incroyable !
Dans un monde hyperconnecté, vous préférez les techniques analogues. Pourquoi ?
Je suis très fan d’Aubrey Beardsley et de William Morris. J’adore ce style victorien très décoré. J’admire tout particulièrement Aubrey Beardsley, qui a influencé toute une génération d’artistes en inventant une nouvelle façon de dessiner à partir de la reproduction, comme en impression.
Un peu comme mon père et Andy Warhol, j’étais fasciné par la sérigraphie quand j’étais petit. C’est d’ailleurs toujours le cas. Le noir et blanc qui est si présent dans mon travail vient du fait que je dessine pour l’impression. Il m’arrive de travailler en couleurs, mais j’affectionne particulièrement le jeu entre le noir et le blanc et je veux voir jusqu’où le je peux pousser le contraste entre ces deux couleurs. J’ajoute souvent de la texture : des lignes, des points, qui ajoutent de la profondeur à mon travail. J’aime la difficulté posée par le fait de se limiter à deux couleurs.
Expliquez-nous votre cheminement. Comment abordez-vous les mémos de vos clients ?
Sur des illustrations de livres, j’aime lire au moins deux fois l’ouvrage. La première fois, je me plonge à corps perdu dans le récit. La seconde, je prends des notes dans mon carnet de croquis. À partir de là, j’esquisse une série de vignettes annotées, que j’envoie à l’éditeur pour avoir son avis. C’est un travail très collaboratif et spontané que j’apprécie beaucoup, avec les auteurs et la maison d’édition.
En général, mes peintures murales sont une extension de mon travail. À part le support et l’échelle, peu de choses changent. Je me rends toujours sur le site pour prendre des photos. Je me concentre ensuite sur les concepts en créant des vignettes que j’envoie au client, comme pour un livre. Je développe les idées en plusieurs étapes avec le client. Une fois que la version finale du design est acceptée, je passe généralement une semaine à monter les échafaudages, à peindre et à donner vie au design.
Pourquoi avez-vous décidé de vous lancer en indépendant ?
Ma carrière est encore en construction et je ne sais jamais où le prochain projet m’emmènera. J’ai été abordé par un cabinet d’architecte au début de mon activité d’indépendant, afin de réaliser une peinture murale grand format. C’était assez inattendu, d’autant que c’était quelque chose que je n’avais encore jamais fait, mais le projet me tentait. C’était un peu un coup du hasard et à partir de ce moment-là, le passage au statut d’indépendant s’est fait naturellement.
Vous travaillez dans un studio. Comment gérez-vous votre temps ? Avez-vous des conseils à donner aux artistes qui envisagent de travailler depuis chez eux ?
Ça m’a beaucoup aidé. Je n’avais jamais vraiment passé beaucoup de temps auprès d’autres créatifs et indépendants. Le fait de partager un studio est l’occasion de m’entourer d’autres personnes du métier. Nous discutons de nos projets et nous demandons des conseils les uns aux autres. Ça n’a pas de prix !
Quand je travaillais depuis chez moi, j’avais l’impression d’être resté étudiant, de ne jamais décrocher de mon travail. Au final, j’enchaînais les heures ! Le fait de passer à un travail en studio m’a vraiment aider à me concentrer, à segmenter ma journée et à mieux organiser ma charge de travail. Le fait d’avoir quelque part où aller m’a aussi amené à aborder les choses de manière plus professionnelle.
Je conseille vivement de prendre un studio si c’est possible !
Vous exposez beaucoup. Quels sont vos conseils aux artistes qui envisagent d’exposer pour la première fois ?
Vous pouvez vous inscrire à divers sites, comme Art News ou Art Jobs. Ces sites vous informent des expositions à venir. Vous pouvez envoyer votre travail à celles qui semblent correspondre à votre style et à ce que vous faites.
Le fait de partager un studio et d’être en contact avec des personnes de mon domaine donne la possibilité de partager des astuces et des conseils, ce qui est très utile. Je recommande aussi d’envoyer tout simplement son travail à toute personne dont vous pensez qu’elle pourrait être intéressée. Une bonne façon de le faire est d’imprimer son travail sur des Cartes Postales et de les envoyer.
Comment trouvez-vous de nouvelles idées ?
Je m’inspire principalement du cinéma, de la poésie, de la culture en général, de la vie politique et de situations. Je ne puise pas trop dans le monde de l’illustration, bien que j’aime aller à des expositions.
Quel rôle jouent les réseaux sociaux dans votre carrière ?
Instagram et les autres plateformes du genre ont beaucoup d’importance et sont idéales pour se faire connaître. Elles ont toutefois un côté stressant, parce qu’elle jouent sur votre besoin de reconnaissance. Je me surprends parfois à comparer mon travail, mes méthodes ou le nombre de fans avec d’autres artistes.
J’ai passé du temps à consolider ma présence en ligne et j’utilise désormais mon site comme une vitrine, qui lie vers ma boutique en ligne, mon blog et mes profils sur les réseaux sociaux.
Instagram est mon canal de choix. Ce réseau a changé la façon dont je trouve du travail et dont les gens me trouvent. Il suffit de faire ce qu’on a envie, sans trop se préoccuper de ce que font les autres.
Quel est l’enseignement principal que vous avez tiré de cette expérience de création d’entreprise ?
Montrez votre travail. C’est parfois une véritable corvée. Certains ont plus de chance que d’autres dans cet exercice. Les réseaux sociaux sont à double tranchant. Les gens qui vous embauchent ont désormais l’embarras du choix, tandis qu’autrefois, les possibilités étaient limitées aux illustrateurs londoniens, par exemple. D’un autre côté, vous touchez désormais beaucoup plus de monde.
J’ai parfois l’impression que les gens s’attendent encore à ce que l’on travaille gratuitement. Les gens qui acceptent de travailler gratuitement voient davantage leur travail comme une passion, plutôt qu’un métier. Dans ce cas, je pense qu’il faut développer une attitude plus commerciale. Le fait de mettre au point un contrat type aide beaucoup.
Comment utilisez-vous les produits MOO pour faire connaître votre entreprise ?
J’ai toute une collection de MOOcards ! J’utilise MOO depuis des années et mes Cartes de Visite et Cartes Postales forment désormais un mini portfolio de mon travail au fil des ans.
J’utilise aussi mes Cartes Postales pour les envoyer. Elles fonctionnent comme des échantillons de mon travail avec un message manuscrit au dos, adressé aux agences éditoriales susceptibles d’être intéressées par mon travail.
Créez votre propre portfolio en Cartes Postales
Mini impressions à collectionner, portfolios de poches & Cartes de Visite personnalisées… Ces photographes montrent leur travail sur de multiples formats.
Vous aussi, vous tombez sur des images à couper le souffle au détour de vos suggestions Instagram ? Nous, on adore quand ça nous arrive ! Nous avons donc rencontré trois pros de la photo au travail époustouflant et nous leur avons demandé comment ils transformaient leurs clichés numériques en produits imprimés.
Greta Rybus
Originaire de Portland, dans l’État américain du Maine, la photojournaliste Greta Rybus parcourt le monde. Spécialisée dans les portraits et la photographie documentaire, son travail explore les relations entre l’humain et la nature. C’est à l’adolescence, après avoir déménagé de l’Idaho pour le Nord du Japon, que Greta Rybus a développé son goût pour la photographie, stimulée par les nouveaux décors qu’elle explorait sur ce territoire inconnu. Cette expérience à l’étranger lui a donné soif de voyages tout au long de sa vie de photographe.
Partout dans le monde, Greta Rybus puise instantanément son inspiration de ce qui l’entoure. « Lorsque je travaille sur un reportage, je capture des moments uniques, » explique-t-elle, « Par conséquent, mon inspiration me vient en grande partie d’une réaction créative à la lumière, au paysage ou encore à la personnalité de l’espace et du sujet. » Et ça se voit : le style de Greta Rybus est cohérent, même s’il laisse le décor montrer ses caractéristiques uniques. Cette vision totale de l’inspiration photographique est efficace, puisqu’elle lui a valu d’être publiée maintes fois, du New York Times au National Geographic Channel, pour n’en citer que quelques-uns.
Lorsqu’elle travaille pour de nouveaux clients, il est important pour Greta Rybus de montrer son travail sous son meilleur jour. C’est pourquoi elle a imprimé ses meilleurs clichés au dos de ses Cartes de Visite Luxe. « En tant que photographe, je fais très attention à la qualité de l’impression. », nous confie-t-elle. « J’aime que la qualité et la tonalité de la couleur soit fidèle à l’original sur mes cartes. » Grâce à Printfinity, Greta Rybus a la possibilité de présenter toute une série de photos de son portfolio à ses clients. « Printfinity me permet de sélectionner la Carte de Visite qui reflète le mieux l’intérêt et l’esthétique de la personne à qui je tends la carte. »
Imprimez votre portfolio sur des Cartes de Visite
Vanessa McKenzie
Des couleurs vives, une vision artistique ludique et une imagerie détonante, voilà ce qui caractérise la photographe de San Diego Vanessa McKenzie. Au bout de huit ans de carrière dans le graphisme, elle a décidé d’étendre ses horizons créatifs, notamment en abordant la photographie. Elle aspirait à affiner son image de marque et à se concentrer davantage sur les projets en indépendant, tout en dédiant plus de temps à ses envies artistiques personnelles et collaboratives. Un changement de priorité qui a du bon, puisque Vanessa McKenzie compte de nombreux clients aussi impressionnants que variés, des musées d’art aux épiceries fines en passant par des restaurants.
Comment a-t-elle réussi à convaincre ces gros clients ? Il s’avère que les réseaux sociaux ne servent pas seulement à inspirer. « Je suis très gourmande de sources d’inspiration, » confie Vanessa McKenzie. « J’explore sans cesse Instagram et Tumblr à la recherche de nouvelles perles. » D’abord envisagé comme un réceptacle d’inspiration, le Tumblr de Vanessa McKenzie a rapidement conquis des fans qui la suivent désormais depuis des années. « Je n’ai même pas eu besoin de faire de la pub. Le nombre de fans a augmenté à mesure que je publiais, » explique-t-elle. « Internet est un univers farfelu. J’apprécie particulièrement les GIF d’animaux. » Nous aussi, Vanessa.
Sa popularité croissante sur les réseaux sociaux a conduit Vanessa à réfléchir davantage à sa marque et à la façon de communiquer à ses fans. « J’ai tendance à être très exigeante quand il s’agit de ma marque. J’ai donc créé un design qui pouvait se décliner en différentes couleurs. » Son logo vif et anguleux et le choix de police reflètent parfaitement l’esprit de son site et de son portfolio en ligne, rappelant l’énergie communiquée dans son travail. Elle tire une certaine fierté du succès de ses Cartes de Visite, qu’elle n’hésite pas à distribuer. « Je reçois beaucoup de compliments des gens qui ne sont pas du secteur et de clients potentiels. » Et peut-être de la personne la plus importante de toutes : « Ma grand-mère m’a demandé si elle pouvait en garder une ! »
Déclinez votre image de marque sur des Cartes de Visite Luxe
Marc Provins
Artiste visuel et photographe, Marc Provins travaille actuellement à l’Université John Moores à Liverpool, au Royaume-Uni. Ses photos merveilleusement simples mêlent des éléments de graphisme qui dénotent une grande sensibilité à la théorie de la couleur et à l’éclairage. Marc Provins a enseigné la photographie pendant des années au Trafford College, à Manchester, ce qui lui a permis de s’immerger dans l’univers de la photo et de l’art tout en ayant la possibilité de financer ses projets et aspirations créatives annexes.
Aujourd’hui, il souhaite réunir son amour pour la nature et son intérêt pour le design. Il en résulte une quantité titanesque de travaux réalisés dans le petit studio qu’il a improvisé chez lui. Il se sert de la lumière naturelle et de spécimens de son jardin pour produire des images à la fois étranges et familières. « C’est un projet très personnel, parce que j’ai donné vie à ces plantes et que je les prends en photo à mesure qu’elles se développent, en choisissant le bon moment pour les capturer. » Il choisit ensuite un échantillon d’une couleur présente dans l’image pour en faire un élément graphique, ce qui donne un côté très moderne aux photos.
Le travail de Marc Provins l’a conduit à un festival de photographie en France. Une commande de Cartes de Visite s’imposait pour l’occasion. Il a donc imprimé certaines de ses photos préférées sur des Cartes de Visite Carrées, qui correspondent bien aux proportions de son travail. Cela lui permettait de distribuer son portfolio aux galeristes en même temps que ses coordonnées. Il a opté pour une finition mate, afin de maintenir une simplicité visuelle et de rendre justice à l’image. « Les gens ont bien réagi à mes Cartes de Visite, » nous raconte-t-il. « Certains m’ont même dit que c’était comme si je distribuais des mini œuvres d’art, qu’ils avaient envie de collectionner ! »
Distribuez des mini œuvres d’art sur des Cartes de Visite Carrées
Nous sommes ravis d’avoir découvert ces photographes. Utilisez le hashtag #moocards sur Instagram et sur Twitter pour faire connaître vos designs !
Vous connaissez l’histoire du patron de start-up tout content d’aller à la banque ? Suivez nos conseils et cumulez les avis positifs en ligne.
1. Tout est dans le timing
On dit que le temps c’est de l’argent, mais dans l’univers de la vente en ligne, le temps, c’est aussi de la satisfaction client. Selon Business Insider, 53% des clients qui optent pour un achat en magasin physique plutôt qu’en ligne font ce choix car il leur permet de profiter immédiatement de leur achat. Il est donc essentiel de livrer vos articles rapidement et de communiquer sur les différentes étapes et les délais à prévoir. Assurez-vous que votre client reçoive rapidement les réponses à ses questions et notifiez-le régulièrement de l’évolution de sa commande.
2. Ayez de l’à-propos
Lorsque vous préparez votre lancement de produit et vos supports marketing, ajoutez des références à l’actualité. Les fêtes comme Noël, la Fête des Pères ou Pâques sont des succès garantis. C’est l’occasion pour vous de diriger vos clients vers des articles de circonstance, au moyen d’un email envoyé au bon moment ou d’un message promotionnel sur votre site. Vous pouvez aussi tirer parti d’occasions plus originales, comme la Journée internationale du jazz (le 30 avril). Si cette stratégie vous convient, allez encore plus loin, en liant vos produits à des événements positifs de l’actualité, tendances, éléments de la culture populaire ou encore tout ce qui est dans l’air du temps et qui peut vous aider à dynamiser vos ventes. Ne partez pas trop loin cependant : une gamme de couvre-théières sur le thème de Game of Thrones risque de ne pas toucher suffisamment de monde pour justifier les coûts de production.
3. Faites-vous entendre
Un bon humoriste est capable de monter sur scène, de prendre la parole et de se faire entendre. Rien de tel qu’une bonne phrase d’accroche pour attirer l’attention.
Dans le monde de la vente en ligne, vous pouvez suivre ce principe en créant des supports marketing marquants, qui montrent une approche proactive dans la promotion de votre travail. Il peut s’agir d’une nouvelle présence physique, avec un stand de salon, la participation à un événement de networking ou encore une campagne de publipostage auprès de fournisseurs et de clients potentiels.
4. Impliquez-vous
Les humoristes sont connus pour prendre leur public à partie. Bien sûr, il ne s’agit pas pour vous de faire des blagues au sujet de la personne qui prend un appel au premier rang. Toutefois, vous pouvez utiliser votre modèle commercial pour établir une relation personnelle avec votre cible de façon positive. Il existe de nombreuses façons d’y parvenir, des messages de remerciements personnalisés qui rendent l’ouverture du paquet unique à la publication de messages de clients et de leurs photos sur votre boutique en ligne.
5. Ne perdez pas de vue le mot de la fin
Quelle que soit votre stratégie pour démarquer votre entreprise, il y a un objectif important : vendre vos produits. Comme un humoriste, il faudra surveiller un certain nombre de facteurs, comme la réaction de votre public, quand donner votre prochaine réplique (ou quand envoyer votre prochaine livraison) ou encore comment maintenir une bonne dynamique. Mais surtout, vous devez conserver l’intérêt de vos clients et les inciter à faire des achats. S’ils reviennent, vous faites ce qu’il faut, même si vous ne suivez pas les conseils généraux. N’ayez pas peur de faire les choses à votre façon et de briser les règles. Un peu comme un humoriste, en somme.
Retrouvez le sourire avec une commande de MiniCards MOO toutes neuves
On dit souvent que tout ce qui brille n’est pas d’or. Ces designs de clients devraient vous prouver le contraire.
Rien de tel que de démarrer l’année en explorant notre hashtag #MOOcards, afin de découvrir les trésors d’inventivité de nos clients. Une cidrerie d’Austin au Texas, un designer touche-à-tout à Bristol au Royaume-Uni… Partout dans le monde, nos clients font tourner les têtes avec leurs designs en or. Voici leurs histoires…
Libby Parfitt
Libby Parfitt est graphiste et illustratrice à Bristol, au Royaume-Uni. Après y avoir obtenu son diplôme de design, Libby a occupé plusieurs postes et réalisé plusieurs stages afin de peaufiner ses compétences. Si elle travaille désormais à temps plein en tant que graphiste pour une maison d’édition, Libby continue d’accepter des projets en indépendante pour laisser libre cours à sa créativité et alimenter son portfolio déjà bien rempli.
En s’inspirant d’Instagram et de Pinterest, Libby a développé un style ludique qui mêle de nombreuses techniques, du collage à l’illustration. D’une simplicité confiante, son travail associe des fonds neutres et des accents de couleurs vives. « Je trouve de l’inspiration partout à Bristol », raconte Libby. Et ça se voit ! Ses illustrations reproduisent la profusion d’images, de motifs et de textures que l’on retrouve dans toute la ville.
Les œuvres de Libby l’ont amenée à exposer dans des expositions et marchés d’artisanat de la région. C’est à ces occasions qu’elle se sert de ses resplendissantes Cartes de Visite Feuille d’Or. L’idée du design de ses Cartes de Visite lui est venue du besoin de revoir son site internet. « Je m’amusais à gribouiller sur Adobe Illustrator avec ma nouvelle tablette graphique et j’ai produit ce motif. J’ai décidé d’y ajouter un peu de couleur et mon logo et… Tadaaa ! » La finition mate et le logo en Feuille d’Or ont ajouté un plus à son design. « J’adore la Feuille d’Or ! Je suis fière de montrer mes cartes et les gens aussi les adorent ! »
Sublimez vos designs en Feuille d’Or
Austin Eastciders
Austin Eastciders est une fabrique de cidre à Austin, au Texas. Créée en 2012 par Ed Gibson et Mark King, Eastciders s’était donné la mission de faire redécouvrir le cidre aux Américains en créant un cidre parfaitement équilibré. Associant le savoir d’Ed Gibson, originaire de la région anglaise d’origine de cette boisson et les compétences commerciales de Mark King, le duo a créé Gold Top, son tout premier cidre. C’est là que tout a commencé. Gold Top mêle l’amertume des pommes européennes au sucre des pommes de dessert de la côte Nord-Ouest de États-Unis pour créer un cidre facile à apprécier, qui a gagné le cœur des amateurs de bière artisanale des quatre coins du Texas.
Avec l’ambition d’étendre leur gamme, les deux associés ont installé leur brasserie ultramoderne ainsi qu’un bar attenant dans le centre d’Austin. Inspirée de la scène culturelle dynamique de la ville, la cidrerie présente une ambiance accueillante et chaleureuse, invitant les amateurs de cidre à s’y retrouver. Eastciders propose aussi une série de concerts, « Eastciders Rambles » qui réunissent la scène musicale locale autour d’un cidre artisanal.
« Le design du logo et des cannettes Austin Eastcider sont d’une simplicité qui rappelle l’artisanat, » commente Danica Ferrell pour Eastcider, « Cela va de pair avec notre approche traditionnelle de la brasserie. » Le logo et le lettrage indiquant le parfum sur les cannettes ont été réalisés à la main. Seule la couleur permet de faire la différence entre les parfums. Le design est fini avec des accents dorés, clin d’œil à la robe dorée du cidre.
Austin Eastciders décline le doré dans tout son branding, des cannettes aux Cartes de Visite Feuille d’Or. En tandem avec son Gestionnaire de Compte Business Services, l’équipe Eastciders a importé les modèles de Cartes de Visite Feuille d’Or sur sa plateforme attitrée, afin que tous les employés passent commande. « Chaque fois que je tends ma Carte de Visite, les gens sont impressionnés. Et quand ils voient nos cannettes, ils font immédiatement le lien. », témoigne Danica Ferrell.
Gagnez de nouveaux contacts avec la Feuille d’Or
Paul Karas de Ware Mfg
Ware Mfg est un studio de création à Detroit, dans le Michigan. Fondé en 2012 par Paul Karas, Ware Mfg accepte des projets sur mesure d’architecture d’intérieur, de dessin industriel et d’ingénierie qui donnent vie aux rêves de ses clients. Paul est le visage de sa société, mais il s’associe à d’autres artisans de Detroit afin de satisfaire aux besoins et à l’échelle unique de chaque projet.
Avant de lancer Ware, Paul a suivi des études de design et travaillé en tant que chef de projets pour un studio de design. Il ne manquait alors pas d’occupations dans son temps libre : « Je créais toutes sortes de choses et j’étais obsédé par la volonté de comprendre le monde. » C’est cette curiosité qui l’a amené à développer son style unique, puisant son inspiration de ses voyages, des gens et de l’architecture de Detroit. « Dernièrement, j’emprunte beaucoup à l’architecture et à l’imaginaire Maya. » Le mot d’ordre de son entreprise est d’ailleurs lié à ces sources d’inspiration : « Ware Manufacturing crée, traduit et organise le désordre des grandes idées. »
« Je viens de recréer le logo Ware Mfg pour en faire un bâtiment où tous les rêves prennent vie et les seules émissions sont des émissions de bonnes idées. Un peu comme l’usine de Willy Wonka, mais plus accueillante, parce que les billets d’entrée s’achètent librement et ils sont tous en or ! »
Les Cartes de Visite Ware reflètent bien cette aspiration à traduire les idées en objets. Lorsque Paul Karas a découvert l’option Feuille d’Or de MOO, il a su que c’était ce qu’il fallait à ses designs. « J’adore tout dans mes cartes ! J’adore avoir la possibilité de créer plusieurs designs au verso grâce à Printfinity. Désormais, lorsque je distribue mes cartes, les gens marquent une pause, sourient et la placent soigneusement dans leur poche. »
Imprimez de nombreux designs en Feuille d’Or avec Printfinity
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Imaginez que tous vos documents importants vous suivent partout dans un petit nuage. Avec le stockage en cloud sécurisé, ce rêve est devenu réalité.
Qu’est-ce que le Cloud ?
Malheureusement, il ne s’agit pas d’un vrai nuage de compagnie qui vous suit partout. Le terme « nuage », traduit de l’anglais Cloud, désigne des fichiers stockés à distance sur des serveurs auxquels on peut se connecter depuis n’importe où, du moment que l’on a accès à Internet. Plutôt que sur disque dur, USB ou disquette (vous vous rappelez ?), les fichiers sont stockés avec ceux de nombreuses autres personnes par des sociétés spécialisées dans le stockage de données.
Parallèlement au stockage en nuage, il existe aussi des logiciels en tant que service, c’est-à-dire des outils numériques accessibles via un site web plutôt que sur le bureau de votre ordinateur. Google Docs en est un, proposant un traitement de texte en ligne à utiliser sur votre navigateur.
Quel est l’intérêt ?
Le stockage en nuage est idéal pour les personnes amenées à travailler à différents endroits (espaces de travail collaboratif, cafés ou bureaux dans plusieurs villes). Cette solution vous permet aussi de travailler en déplacement, si vous vous rendez à l’étranger pour le travail ou pour rendre visite à vos proches. Ainsi, vous voyagez léger, même si vous avez besoin de données volumineuses, comme des fichiers Adobe Illustrator. Et surtout, vous ne risquez pas d’oublier quelque chose d’important en route.
Le stockage en nuage est aussi une manière pratique d’archiver vos documents, en doublant votre disque dur d’une copie dans le cloud. Par exemple, vous pouvez paramétrer Google Photos de façon à stocker une copie de chaque photo que vous prenez sur votre téléphone. Si vous perdez votre téléphone ou si vous avez besoin de faire de la place dans sa mémoire, vos photos restent en sûreté.
Est-ce sans risque ?
Il va de soi que l’idée de conserver ses fichiers personnels sur le serveur de quelqu’un d’autre peut vous faire hésiter pour des raisons de sécurité. Heureusement, les mesures de sécurité utilisées pour protéger les données du Cloud ont fait leurs preuves. Si vous utilisez un service de messagerie web comme Hotmail, Gmail ou Yahoo, vous stockez déjà des données personnelles dans un nuage protégé par un mot de passe. Nombre de fournisseurs de stockage en nuage utilisent la même technologie que les interfaces de messagerie, de banque ou de vente en ligne : un compte protégé par un mot de passe, parfois associés à des questions de sécurité.
Autre outil de sécurité important : le cryptage. Ce procédé sert à masquer le données lorsqu’elles passent du nuage à votre ordinateur et vice versa. Les données sont converties sous un format illisible grâce à un encodage compréhensible uniquement par votre ordinateur et par le réseau du prestataire. Vous pouvez déterminer si votre ordinateur envoie ou reçoit des données cryptées grâce à la présence d’un petit cadenas en haut à gauche de la barre d’adresse de votre navigateur. Le bog HowStuffWorks vous fournit davantage de détails sur le fonctionnement du cryptage.
Combien ça coûte ?
Il existe de nombreuses solutions de stockage en nuage gratuites, notamment Dropbox ou Google Drive. Généralement, les services en nuage vous offrent un volume de données limité (d’ordinaire quelques GB), puis offrent des mises à niveau payantes qui donnent davantage d’espace.
Qu’est-ce que la synchronisation ?
La synchronisation est le processus de mise à jour automatique de votre contenu à plus d’un endroit, de sorte que tout soit… synchronisé ! La synchronisation est une manière intelligente d’utiliser le stockage en nuage pour sauvegarder vos fichiers. Elle peut également être utilisée pour maintenir la cohérence sur plusieurs appareils, par exemple avoir les mêmes signets sur votre PC à la maison et au bureau, ou les mêmes listes de lecture sur votre ordinateur et votre téléphone. Les dernières versions sont envoyées depuis le cloud vers chaque appareil synchronisé, de sorte que lorsque vous effectuez une mise à jour à un endroit, vos modifications s’affichent partout ailleurs.
Comment choisir mon service de stockage en Cloud ?
On est tenté d’opter pour l’option la moins chère ou celle qui propose le plus d’espace gratuit. Cependant, ne choisissez pas votre nuage uniquement en fonction du prix. Considérez aussi :
- si la société a une bonne réputation en matière de sécurité
- si vos données vont être protégées par cryptage
- si le système proposé est facile à utiliser
- si vous préférez que le stockage soit lié à un compte de messagerie existant (à l’instar des services de Google et de Microsoft)
Il vaut aussi mieux vérifier la politique suivie par l’entreprise en cas d’incident. Un bon fournisseur intègre un système de sauvegarde dans son réseau, ce qui signifie que de multiples copies des données sont stockées à des endroits différents. Une sauvegarde de vos sauvegardes, en quelque sorte. Vous pouvez obtenir davantage d’informations sur la sauvegarde grâce à ce guide de la BBC.
Prêt à avoir la tête dans les nuages ? Pourquoi ne pas commencer par créer vos propres Cartes de Visite MOO sur notre site Internet ?