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Comment bien utiliser les cartes de visite à l’étranger

People exchanging business cards

Un échange de cartes maladroit peut compromettre votre réunion d’affaires à l’étranger. Découvrez nos conseils sur les codes à respecter pour le réussir.

Bien sûr, vos cartes de visite parlent d’elles-mêmes, mais si vous vous rendez à l’étranger, un petit rappel de vos connaissances sur les usages à respecter s’impose. Vous ne voudriez pas commettre un faux-pas qui empêche votre carte de visite d’être perçue aussi bien qu’elle le devrait, si ? Voici nos meilleures astuces sur les codes à respecter en ce qui concerne les cartes de visite, partout dans le monde.

Les codes en matière de cartes de visite en Asie

Le respect et la hiérarchie jouent un rôle plus important au Japon et en Chine qu’en Occident. Attendez-vous à ce que chaque aspect de la façon dont vous gérez les cartes de visite soit jugé, de la manière dont vous les présentez à l’étui que vous utilisez pour les ranger. N’hésitez pas à voir plus grand que ce que vous pensez nécessaire en termes de quantité, étant donné que l’usage est de de donner sa carte à tous les collègues d’un service (ou même, au Japon, à chaque personne que vous rencontrez).  Assurez-vous d’avoir sur vous un étui pour cartes de visite, c’est la seule manière acceptable de les ranger.

Les codes en matière de cartes de visite en Chine

Les pratiques en termes de business en Chine sont basées sur vos efforts pour comprendre et vous adapter à la culture locale. Par exemple, donner une carte de visite rédigée seulement en français ou en anglais à votre partenaire commercial dégraderait certainement de façon catastrophique votre relation.  

Quand vous faites traduire votre carte de visite, assurez-vous d’avoir utilisé la langue locale. Le chinois simplifié est utilisé en Chine continentale et à Singapour, tandis que le chinois traditionnel est utilisé à Hong Kong, Taiwan et Macao. Présenter une traduction dans la mauvaise version peut être perçu comme irrespectueux ou ignorant.

Vous devez inclure votre nom, votre rôle et les coordonnées habituelles. N‘hésitez pas à vous mettre en valeur : si votre entreprise est la plus importante dans son secteur en Europe, ou celle qui est en activité depuis le plus longtemps, mentionnez-le car cela a de l’importance en Asie.

C’est une bonne idée de mettre un peu de couleur dans votre carte de visite à destination de la Chine : le rouge est considéré comme portant chance.  MOO vous permet même d’ajouter un petit accent chic avec nos cartes de visite Luxe : ajoutez un éclat de couleur fortuit sans changer votre design d’origine.

People exchanging business cards

Les codes en matière de cartes de visite au Japon

Même si une carte de visite traduite n’est pas aussi déterminante au Japon qu’en Chine, le respect y prend une place peut-être encore plus importante, et les Japonais sont très cérémonieux en matière d’échange de cartes de visite. Assurez-vous que vos cartes soient facilement lisibles par vos interlocuteurs. Imprimez-les en chinois et japonais d’un côté, en anglais de l’autre. 

Les cartes doivent être reçues avec les deux mains. Il est d’usage de garder les mains vers le haut et prêtes à recevoir une carte, même après avoir proposé la vôtre. L’échange doit être accompagné d’une révérence et d’une introduction orale de qui vous êtes et de votre poste. Quand vous recevez une carte, confirmez aussi le nom de la personne qui vous la donne, pour lui montrer que vous allez vous souvenir d’elle.

Les cartes de visite doivent toujours être sorties, et placées soit au-dessus de leur étui, dans la direction de votre partenaire commercial, ou, si plusieurs cartes sont sorties, placées sur la table dans l’ordre correspondant aux personnes en face de vous, ce qui permet de se rappeler des noms plus facilement.

bumping fists

Les bonnes manières

Que ce soit la centième ou la première fois ce jour-là, montrez le même respect à chaque fois que vous donnez votre carte. Ne donnez pas l’impression que la carte que vous présentez est juste une parmi tant d’autres. Par exemple, poser une pile de cartes sur la table et les distribuer comme des cartes à jouer, ou même en avoir plus d’une dans la main, peut être perçu comme insultant.

Au fait, présentez toujours votre carte d’abord à la personne ayant la position la plus élevée dans la hiérarchie, en suivant ensuite l’ordre descendant. Les cartes de visite doivent être échangées en début de réunion. Restez debout, et ne les donnez jamais avec une seule main : présentez-les avec les deux mains, le côté traduit vers le haut. 

La carte de visite représente l’entreprise, donc prenez le temps de lire la carte que vous recevez avec appréciation : ne la rangez pas immédiatement.  Mettez soigneusement la carte dans un étui ou laissez-la sur la table pour pouvoir y jeter un œil si besoin.

Les cartes de visite en Inde 

Si vous vous rendez en Inde, les codes en termes de cartes de visite sont encore différents. Vous n’êtes pas obligé d’emmener des cartes de visites traduites dans la langue locale, étant donné que l’anglais est couramment parlé et largement accepté comme la langue internationale des affaires, mais assurez-vous de donner votre carte avec la main droite, comme l’usage le veut. L’éducation étant très valorisée en Inde, n’hésitez pas à faire mention sur votre carte de votre école ou de votre université et de vos diplômes.

People holding 3 business cards

Les codes en matière de cartes de visite au Moyen-Orient

Les codes à respecter au Moyen-Orient se situent entre ceux de l’Asie et de l’Europe. L’échange est beaucoup moins cérémonieux, mais vous devez avoir des cartes à deux côtés, en arabe et en anglais. Tout comme au Japon, les cartes de visite sont distribuées facilement, comme un geste amical envers les clients, collègues et autres contacts professionnels que vous rencontrerez pendant votre voyage. Présentez votre carte avec la main droite. 

Ne soyez pas surpris de l’atmosphère informelle de certains meetings, étant donné qu’il est courant au Moyen-Orient de mélanger relations professionnelles et amicales.

MOO business card being handed

Les codes en matière de cartes de visite en Europe

Présenter votre carte de visite en Europe et aux États-Unis n’est pas fondamentalement différent, mais il y a quelques détails qui donnent à l’échange une touche européenne. Même si un étui n’est pas considéré comme absolument nécessaire, en avoir un est bon pour votre image.

  • Au contraire des EAU et de l’Asie, en Allemagne, les cartes de visite représentent un moyen de partager des informations de valeur : vos coordonnées personnelles. C’est pourquoi vous ne devriez pas les donner à tout le monde, mais seulement aux personnes qui ont besoin de vous joindre directement.
  • En France, une carte de visite traduite sera très appréciée. Rédigez votre nom de famille en majuscules pour qu’il soit plus visible. 
  • Les Italiens apprécient aussi les cartes traduites dans leur langue, et une référence à votre diplôme ne fait pas de mal non plus.
  • Au Royaume-Uni, l’usage relatif aux cartes de visite est moins formel : elles peuvent être échangées à n’importe quel moment pendant la réunion, généralement vers la fin pour échanger les coordonnées et clore le meeting. La politesse veut que vous demandiez d’abord la carte de votre interlocuteur avant de proposer la vôtre.

Prêt à développer votre marque à l’international ? Moo a toutes les cartes de visite haut de gamme qu’il vous faut !

Nombreux sont ceux qui reviennent au papier-stylo pour rester organisés. Voici comment transformer un simple carnet de notes en un redoutable outil GTD.

Nous l’avons déjà dit mais il est important de le préciser à nouveau : apprendre à être plus productif est l’une des façons les plus rentables d’investir votre temps, quelle que soit votre profession.

Il existe en effet une foule de connaissances comme la technique Pomodoro de gestion du temps, des approches psychologiques relatives au habit stacking (empilement des habitudes) ou encore au temptation bundling (groupement des tentations). Mais que diriez-vous si un simple carnet de notes et un stylo pouvaient révolutionner votre productivité ?

Le bullet journal, LA nouvelle tendance anti-procrastination

De plus en plus de gens abandonnent les applications de productivité les plus sophistiquées pour embrasser pleinement le monde du papier-stylo. Carnets de Notes haut de gamme, jolis articles de papeterie, plaisir d’écrire, il existe mille et une bonnes raisons de remettre un bon vieux cahier au cœur de nos vies modernes.  

Déjà, parce que nos vies étant étroitement liées au numérique et à la technologie, revenir à des méthodes « manuscrites » permet aussi de répondre au besoin crucial de se déconnecter. Reprendre le papier pour booster son efficacité est une façon idéale d’opérer une detox digitale sans mettre sa vie en suspens. Pas de lumière bleue ici ! Vous pouvez donc vous y mettre la nuit sans risquer de perturber votre sommeil. C’est aussi une excellente façon de se concentrer sans l’interruption néfaste de notifications ou la tentation de jouer aux jeux de votre téléphone. 

Numérique ou papier ? Avantages et inconvénients

Il faut l’admettre, le papier-stylo est particulièrement attirant. Mais est-ce la bonne solution pour vous ? Pour vous aider à trancher, voici ce qui différencie les solutions de productivité papier et leurs équivalents numériques.

  • Espace et capacité
    Un agenda numérique, tel qu’une application de type to-do list ou tableau Kanban, n’est pas limité en termes d’espace. Vous pouvez ajouter autant de tâches ou de sections que vous le voulez sans avoir à en acheter un nouveau.
    Cependant, un support papier ne possède qu’un nombre limité de pages. Ce qui signifie que vous devez choisir un format qui vous offre toute la place dont vous avez besoin ou d’en avoir plusieurs exemplaires à portée de main. Pour ceux qui apprécient l’art de la papeterie et qui aiment collectionner les carnets, c’est un avantage clair. (Avons-nous déjà mentionné le fait que nos superbes Carnets de Notes Rigides MOO sont disponibles en 6 coloris différents ?)
  • Effacer les erreurs
    Si vous faites une erreur sur votre téléphone, sur votre ordinateur ou sur tout autre support mobile, il est très facile d’effacer et de recommencer. Un clic sur la touche retour en arrière, et le tour est joué. Personne, pas même vous quand vous relisez, n’avez besoin de savoir que vous vous êtes trompé la première fois.
    Mais il existe aussi des moyens de défaire ce que vous avez écrit sur papier, par exemple en gommant les marques de crayon, en effaçant l’encre de votre stylo, ou en griffonnant des mots écrits à l’encre indélébile. Même si, dans ce cas-là, il reste une trace du changement que vous avez effectué, ce n’est pas nécessairement un inconvénient. Cela demande simplement d’être à l’aise avec la prise de notes manuscrite et d’accepter les petites imperfections lorsqu’il y en a.
  • Singularité
    L’information numérique peut être sauvegardée, reproduite ou enregistrée sur le cloud pour permettre un accès rapide depuis de nombreux appareils mobiles. Votre carnet de notes, lui, est unique. Il n’en existe qu’une seule version et c’est la vôtre, ce qui en fait un objet précieux. Des accidents peuvent arriver. Si vous utilisez un carnet de notes, ce peut être une bonne idée de prendre l’habitude de photographier vos pages régulièrement. Vous disposerez ainsi d’une sauvegarde numérique de vos informations.
  • Personnalité
    Votre carnet de notes c’est votre monde, votre espace intime. Il est à votre image, entièrement personnalisé et aussi créatif que vous le voulez. Vous disposez de beaucoup de façons différentes de vous exprimer, depuis le choix de l’organisation des pages à la couleur de votre encre jusqu’aux petits gribouillages que vous pouvez faire dans la marge. Puis il y a aussi le choix de votre carnet, du type de papier que vous souhaitez utiliser et si vous préférez les lignes pleines ou en pointillés.
    Une application peut, elle aussi, offrir de nombreuses options de personnalisation comme la couleur du thème ou la présentation de l’agenda, mais elle ne sera jamais aussi personnalisée qu’un support sur lequel vous avez écrit de vos propres mains.
  • Disponibilité
    Avoir votre carnet de notes dans votre champ de vision vous rappelle physiquement votre emploi du temps et votre engagement à rester organisé et productif. Il est là, bien visible sur votre bureau ou à portée de main dans votre sac, contrairement à une application ou un programme qui se trouve intégré à votre téléphone. Il est également très facile d’avoir un aperçu de votre journée mais aussi de feuilleter les pages et de découvrir tout le chemin parcouru depuis que vous avez commencé, ce qui est excellent pour renforcer la motivation !

5 conseils clés pour vous aider à planifier votre vie sur papier

  1. Combinez supports papier et numériques

Même s’il existe des différences entre les supports papier et les outils numériques, il n’est pas obligatoire d’avoir à choisir entre l’un ou l’autre. Pourquoi ne pas opter finalement pour le meilleur des deux mondes ? Vous pouvez tout à fait combiner supports papier et numériques de la façon qui vous convient le mieux.
Vous pourriez, par exemple, programmer une alarme quotidienne sur votre téléphone pour vous rappeler de mettre à jour votre carnet. Vous pouvez également utiliser une liste de tâches numériques en complément de votre support papier. Cette option peut s’avérer intéressante si vous avez souvent des tâches dotées d’une composante numérique, ce peut être un lien vers votre application Maps pour obtenir un itinéraire, ou vers la Wishlist Amazon de votre meilleur ami lorsque vous organisez son anniversaire.

Astuce : mettez un symbole ou un caractère spécial à côté de ces tâches-là pour vous rappeler qu’elles ont également été ajoutées à votre application. Ainsi, vous combinez efficacement l’utilisation des deux supports.

  1. Vive les listes à puces

L’attrait de tenir un agenda devient évident lorsque l’on se penche sur l’univers du bullet journal en ligne (#bujo). Les amateurs de cette tendance, créée par Ryder Carroll, emplissent leurs blogs et leur compte Instagram de pages inspirantes extraites de leur carnet. Ils utilisent une papeterie de qualité pour faire de leurs carnets de véritables œuvres d’art fonctionnelles.

Après avoir exploré la tendance du bullet journal, il est maintenant temps de rentrer dans le vif du sujet et de comprendre comment celui-ci fonctionne réellement. 

Anatomie du bujo

Le bullet journal commence toujours par une page d’index. Il s’agit de la page de contenu numérotée de votre journal. S’en suit une série de listes ou de cases calendaires. Celles-ci sont généralement associées à des plages de temps comme les mois, les semaines ou les jours, bien que vous puissiez aussi avoir des « cases personnalisées » pour toutes vos tâches spécifiques ou vos événements à venir comme la préparation d’un mariage ou un départ en vacances.

Le langage du bullet journal se veut court et minimaliste. Il fait appel à une prise de notes concise et rapide. Contrairement à l’écriture qui se veut plus développée, il permet de condenser la tenue de votre journal en un minimum de temps, vous donnant pour le coup plus de temps à consacrer à votre travail. Selon le Bullet Journal website, la prise de notes rapide possède 4 composantes :

  1. a) Sujet
    Privilégiez les titres courts et informatifs pour vos pages comme par exemple « Checklist de vacances » ou « Janvier ». Ils vous permettent d’organiser vos pensées simplement et de regrouper vos tâches sur une même page.
  2. b) Numéro de page
    Ils sont importants car ils font correspondre les pages de votre bullet journal à la page index située au début de votre carnet, ce qui vous permet de trouver ce dont vous avez besoin en un clin d’œil – autre gain de temps ! 
  3. c) Phrases courtes
    Contrairement à un carnet de notes ordinaire, le but d’un BuJo est de vous faire gagner du temps. Vos notes doivent donc être courtes et concises. Au lieu d’écrire « aujourd’hui je dois emmener mon chien chez le vétérinaire », vous écrirez « chien chez le vétérinaire » ou « vétérinaire ».
  4. c) Liste à puces
    Elle est au cœur de l’organisation de votre BuJo. Différents types de puces existent pour vous aider à gérer votre temps et à suivre vos progrès.
  • Les points (.) pour indiquer une tâche
  • Les tirets (-) pour les notes
  • Les cercles (o) pour les tâches ouvertes
  • Les croix (x) pour les tâches terminées
  • Les étoiles (*) pour les tâches prioritaires

À la fin de votre journée, de votre semaine ou de votre mois, vous pouvez choisir de faire passer les tâches encore ouvertes sur la page suivante de votre carnet, ou de les éliminer en les barrant d’un trait. Ainsi, vous laissez une trace de la façon dont vous avez hiérarchisé vos tâches et cela pourra vous être utile pour vos futurs projets.

  1. Essayez un nouveau style de notation

Il ne fait aucun doute que le bullet journal est l’outil de productivité incontournable du 21e siècle. Mais il n’est pas le seul outil de notation manuscrite. D’autres systèmes existent, comme par exemple Strikethru. Ce système est intéressant car il reprend certains codes du tableau Kanban, une liste numérique de choses à faire qui a pour principe de déplacer les tâches d’un endroit à un autre.
Avec Strikethru, vous divisez votre carnet en 3 parties fondamentales :

  • Live list
    Votre liste de choses à faire qui se trouve dans le premier tiers de votre carnet. Chaque jour, remplissez une nouvelle page avec une liste de tâches, que vous devez rayer (d’où le nom) lorsqu’elles sont terminées.
  • Vault
    C’est la section centrale de votre carnet. Elle contient des objectifs à long terme ou des idées qui peuvent être déplacées dans la Live list lorsque vous êtes prêt à les aborder.
  • Dump
    Il s’agit du dernier tiers du carnet. Celui-ci est réservé aux notes rapides, aux idées que vous devez rédiger à la hâte, aux numéros de téléphone, aux gribouillages et à tout ce qui vous fait plaisir. Si vous utilisez l’un de nos Carnet de Notes Rigide MOO, les pages colorées plus épaisses au centre seraient parfaites pour cette section.

Vous pouvez également inclure une section calendrier dans le premier ou le dernier tiers de votre carnet Strikethru afin de garder une trace des événements importants, des dates d’anniversaire et des échéances. Sachez toutefois qu’aucune règle ne vous impose d’adopter un seul système et de vous y tenir. Vous pouvez combiner certains éléments du bullet journal et de Strikethru d’une manière qui vous convienne. C’est votre carnet de notes après tout.

  1. Planifiez vos moments en tête à tête avec votre carnet

L’une des plus grandes difficultés à laquelle les gens semblent être confrontés avec les carnets de productivité est de savoir bien les utiliser. 

Les carnets adoptés au début avec enthousiasme peuvent finir par prendre la poussière sur une étagère, à moins que vous ne réussissiez à prendre l’habitude de vous y référer régulièrement. Une utilisation quotidienne permet également de maximiser les avantages de ce processus, car vous constituez un historique de votre activité au fil du temps. 

Routine = habitude

En vous fixant un moment précis dédié à l’utilisation de votre carnet, vous prendrez l’habitude de l’utiliser chaque jour. Réservez un créneau de dix minutes par jour pendant lequel vous vous concentrez sur votre carnet. Il peut s’agir de la première chose que vous faites le matin en buvant votre café, ou de la dernière chose que vous faites le soir en terminant votre journée et en réfléchissant à vos objectifs du lendemain. 

Pour avoir les meilleures chances de réussir, choisissez le moment de la journée où vous vous sentez généralement le plus alerte et le plus engagé, et assurez-vous d’avoir suffisamment de temps ininterrompu pour faire votre travail. 

Pile of hardcover notebooks with cloth cover in various colors

  1. Faites preuve de créativité avec le format de votre carnet

Pas besoin d’avoir fait Maths sup pour modifier l’aspect de votre carnet et lui permettre d’étendre ses pouvoirs de productivité… Voici quelques astuces simples à réaliser à partir des petits objets courants qui se trouvent dans le tiroir de votre bureau !

  • Le Dutch door
    Un système intelligent pour consulter deux pages à la fois. La réalisation d’un dutch door implique de couper et de plier certaines pages de votre carnet afin de voir les autres pages derrière.
    Certaines personnes font un dutch door à l’horizontal pour pouvoir tourner les pages quotidiennes tout en gardant une page hebdomadaire ou mensuelle visible sur la partie supérieure. D’autres le font à la verticale, en coupant ou en pliant une page en deux en son centre pour qu’elle forme un encart dans une page hebdomadaire ou quotidienne.
  • Pochettes
    Collez un morceau de papier rigide sur trois côtés à l’intérieur de votre carnet. Utilisez de la colle ou du washi tape, et vous obtenez une poche pratique ! C’est parfait pour ranger en toute sécurité vos Cartes de Visite, vos timbres, coupons ou autres. Sachez que notre Carnet de Notes Rigide MOO est proposé avec des pochettes autocollantes très faciles à poser. Pas besoin de bricoler ! 

Marque-page
Ne perdez plus de temps à trouver la bonne page grâce à un signet super pratique. Vous pouvez utiliser le ruban de votre carnet MOO, ou en attacher un avec du ruban adhésif au dos ou sur la couverture intérieure.

Réussir le lancement de son entreprise est une expérience exaltante, mais aussi un défi. Pour le relever, vous devez avoir une vision claire de votre marque et une connaissance parfaite de votre produit.

La Directrice de Geo Heaven a trouvé sa niche. Elle crée des bijoux géométriques uniques, imprimés en 3D. Si le design n’a rien de révolutionnaire, le processus de production est entièrement nouveau. Sarah a créé un produit et sa marque en seulement quatre mois. Elle vend désormais ses produits en ligne et dans plusieurs enseignes. Nous l’avons rencontrée afin de découvrir comment elle a fait décoller une activité du soir hors du commun.

Pourquoi avez-vous commencé à créer des bijoux ?

Je savais depuis un certain temps que je souhaitais lancer ma propre bijouterie. Je travaille dans l’enseignement et je voulais avoir une activité plus créative. J’avais beaucoup d’idées, mais aucune ne me semblait assez originale. Sur la route du retour des Midlands l’an dernier, j’ai décidé tout à coup que je voulais créer des bijoux imprimés en 3D. Je savais exactement à quoi ces bijoux devaient ressembler, le nom que je voulais donner à l’entreprise. Ça a été une véritable illumination !

Expliquez-nous votre processus de création. Comment êtes-vous arrivée à votre produit final ?

Je savais que je voulais créer des bijoux géométriques grâce à l’impression 3D. Les gens apprécient les formes géométriques parce qu’on les retrouve partout dans la nature. En faisant ce choix, je savais que mes créations seraient intemporelles. Comme j’utilisais l’impression 3D, je voulais créer des structures en 3D. J’ai adoré les jeux d’ombres et le rendu des armatures créées, comme des fils de fer. C’est ainsi qu’est née ma première collection.

Je conçois tous mes designs d’une suite logicielle de conception assistée par ordinateur. Mon mari est programmeur informatique et il m’a donc appris à utiliser ces logiciels, ce qui m’a permis de réaliser mes idées de design. Il faut des calculs très précis pour générer une symétrie parfaite. Après avoir créé mes premiers prototypes, j’ai commencé à expérimenter les techniques de teinture pour donner naissance aux produits que je vends aujourd’hui.

Comment parvenez-vous à prioriser entre votre travail en journée et votre activité du soir ?

Il n’est pas évident de concilier un poste à plein temps et le lancement de sa propre entreprise. J’adorerais que mon activité secondaire devienne mon activité principale. Je passe la plupart de mes soirées à travailler à mes bijoux et j’organise mes priorités en fonction de cette activité. Il m’arrive de recevoir des commandes alors que je suis de sortie avec des amis. Une fois rentrée, je prépare ces commandes avant de me coucher, afin d’y répondre le jour suivant. C’est possible si l’on est motivé.

Comment avez-vous développé votre marque et comment envisagez-vous l’importance de la cohésion entre votre branding et vos produits ?

J’ai passé beaucoup de temps à réfléchir à l’image de ma marque. Je voulais avoir une marque affirmée et cohérente dès le lancement. J’avais déjà reçu beaucoup de conseils sur l’importance d’une identité forte. Il fallait que le nom de ma marque rappelle la notion de géométrie. C’est pour cela que j’ai choisi Geo Heaven.

Mon amie Steph, qui dirige une entreprise appelée Donut Press, a réalisé mon branding. Elle est très créative. J’ai créé une planche d’inspiration à partir de laquelle Steph a créé ma charte graphique.

Je pense qu’il est crucial que la marque colle au produit, car cela encourage les clients à investir. J’ai donc longuement réfléchi à ma palette de couleurs. Toutes les couleurs de ma marque sont également présentes dans ma ligne de bijoux. Il faut passer beaucoup de temps et d’efforts à son branding, si l’on veut être pris au sérieux. J’ai d’abord essayé de créer moi-même mon logo, mais le résultat n’avait rien à voir avec mon produit. Je suis ravie d’avoir fait appel à un graphiste qui baigne toute la journée dans le branding.

L’impression 3D est une technique relativement nouvelle. Comment commercialisez-vous votre produit et comment dépassez-vous les objections et les craintes face à la nouveauté ?

Beaucoup de gens n’ont pas encore compris le processus de l’impression 3D. Il est possible d’acquérir des imprimantes 3D domestiques, mais ce sont des imprimantes à jet d’encre avec filament. Elles impriment en couches épaisses, ce qui ne convient pas vraiment aux bijoux, qui nécessitent une finition lisse.

J’utilise un processus de frittage sélectif au laser. Le processus consiste à chauffer de la poudre de nylon au laser et laisser durcir le nylon une fois que l’on a obtenu la forme désirée. J’ai dédié toute une section de mon site internet à la méthode de production des bijoux. J’ajoute toujours un carton d’information aux commandes de mes clients, ce qui leur permet de mieux comprendre et apprécier leur achat.

De quoi s’inspire votre ligne de bijoux ?

Ce sont les formes qui m’inspirent, en 2D comme en 3D, que ce soit un simple croquis sur papier ou un bâtiment dans une rue. Ma collection a été très influencée par un séjour à Cracovie, en Pologne. Nous y avons visité le MOCAK, musée d’art moderne local. Il y avait cette structure géométrique rouge gigantesque, que l’on pouvait contourner. Je pense que c’est ce qui a été le point de départ de Geo Heaven.

Comment développez-vous votre marque ? Que faites-vous pour la diffuser ? Quelle utilisation faites-vous des produits MOO ?

Je suis avant tout présente sur les réseaux sociaux. Je fais la promotion de mon site et de mes revendeurs sur Facebook, Instagram et Twitter. Cela fonctionne assez bien, c’est d’ailleurs ainsi que certains revendeurs m’ont découverte.

Je distribue mes Cartes de Visite Luxe à tous mes revendeurs, afin qu’ils les proposent à leurs contacts. La qualité des Cartes de Visite fait l’unanimité et les gens apprécient tout particulièrement la tranche de couleur. J’utilise aussi les Autocollants MOO pour personnaliser mes sacs et mes emballages. Même les enveloppes matelassées dans lesquelles j’envoie mes bijoux ont un Autocollant. J’adore l’idée que mes clients voient ma marque dès l’instant où ils reçoivent le paquet.

Quels sont vos conseils aux bijoutiers en herbe qui seraient tentés de créer leur activité secondaire ?

  • Il est très important de prendre sa marque au sérieux et d’avoir une vision très claire de son image de marque. Si vous ne le faites pas, les autres n’y croiront pas non plus.
  • Les réseaux sociaux constituent une plateforme très puissante pour les petites entreprises. Il faut bien réfléchir à ce que vous voulez inclure dans vos profils, afin de vous constituer une image cohérente. Par exemple, j’aime présenter tous mes produits sur un fond en béton. Les gens passent en moyenne 4 secondes sur votre profil avant de décider s’ils veulent vous suivre ou non. Vous avez donc intérêt à attirer leur attention !
  • Enfin, investissez dans des contenus marketing et promotionnels de qualité pour votre marque. Pour ma part, j’utilise les Cartes de Visite Luxe. Ce ne sont pas les cartes les moins chères, mais elles portent bien leur nom ! Elles ont un bon rapport qualité-prix. Elles donnent une bonne image de ma marque et je reçois toujours des compliments à leur sujet !

Quels sont vos projets pour la suite ?

La prochaine collection explorera les propriétés et les différentes couches que l’on peut obtenir à travers l’impression 3D. En gros, le fait d’imprimer quelque chose à l’intérieur d’autre chose. Affaire à suivre !

Découvrir la collection Luxe

Cette artiste à qui l’on avait interdit de peindre a peaufiné son style, sa marque et réuni une foule de fans, à force de persévérance et d’humour !

Dans la campagne du Surrey se trouve le village verdoyant de Farnham. C’est le décor improbable d’une idylle artistique : le studio de l’artiste spécialiste de l’abstrait Kia Cannons. Kia, qui sévit sous l’alias Sticks and Ink, nous a invités dans son jardin-atelier pour lever le voile sur son talent remarquable. Et notamment comment celle à qui l’on avait interdit les cours d’art à l’école est devenue une artiste accomplie.

Kia ! Vous êtes très populaire sur Instagram, célèbre pour votre style original et votre magnifique palette. Comment avez-vous démarré ?

J’ai toujours voulu faire quelque chose de créatif. Pendant des années, j’ai épaulé mon mari dans la création de son agence de graphisme, sur des tâches administratives et de gestion de projet. Il savait ce qu’il voulait faire à la sortie de l’université, contrairement à moi. Je me suis donc engagée à l’aider dans cette entreprise, sachant qu’il me soutiendrait à son tour dans mon projet.

Je savais que je voulais faire quelque chose de créatif, mais je ne savais pas quoi. À l’école, ma prof de dessin m’a dit qu’on devrait m’interdire de peindre, parce que selon elle, je ne savais pas dessiner. Comme je n’étais qu’une enfant, j’ai pris ce qu’elle m’avait dit pour argent comptant.

J’attendais une permission (de qui, je ne sais pas) et je cherchais toujours une excuse pour traîner du côté du département des beaux-arts. J’y allais pour voir une amie et la simple vue des pinceaux dans les pots faisait battre mon cœur. J’ai passé des années à languir devant les fenêtres des ateliers.

Qu’est-ce qui vous a poussée à vous lancer ?

Mon plus jeune avait deux ans, il en a cinq maintenant. Je suivais un atelier couture avec une amie dans un centre de loisirs de ma commune et il y avait une exposition. J’étais tellement peu cultivée que je n’étais jamais allée à une expo ! Il y avait des œuvres abstraites partout et immédiatement, je me suis dit : « Attends, moi aussi je peux faire ça ! Et je pense que c’est ce que je veux faire ! ». Mon amie m’a encouragée à prendre des cours.

Je continuais à me dire que je ne savais pas dessiner et que ça serait du gaspillage. Mais au moment de partir, nous avons pris un flyer du centre et de nombreux cours pratiques étaient proposés.

Les cours démarraient en septembre, au moment où mon petit dernier allait commencer la maternelle. Pour la première fois en cinq ans, j’allais avoir du temps pour moi, après plusieurs années à être maman à plein temps. Rien que l’idée de déposer mon fils à l’école puis d’aller à mon cours de peinture me semblait vraiment osée !

Dès le départ, je me suis sentie dans mon élément. Au bout de deux mois, ils organisaient une exposition et j’ai préparé quelques cartons. Histoire d’essayer, je leur ai donné le prix qu’ils valaient à mes yeux, et quelqu’un m’en a acheté un. C’est comme ça que je me suis lancée. Je me suis donné deux ans pour réussir l’expérience, car de toute façon, je ne voulais pas revenir à un travail de bureau !

Vous associez un style très gestuel à la technique du batik. Où avez-vous appris cette technique ?

J’ai appris la méthode du batik dans mon cours pratique et j’ai adoré cette technique. On apprend beaucoup de techniques différentes dans ce cours : le tissage, l’illustration botanique… À la fin du cursus, j’étais absolument sûre que c’était avec des pinceaux et de la peinture que je voulais travailler. C’est comme ça que j’ai commencé à expérimenter et que j’ai découvert que j’adorais peindre instinctivement en donnant de grands coups de pinceau gestuels. D’ailleurs, ce n’est même pas avec des pinceaux que je préfère peindre, mais plutôt avec des lames !

  • Sticks + Ink portrait at work
  • Sticks + Ink painting in her studio

Quand j’ai découvert Instagram, j’ai découvert tout un univers d’artistes abstraits. Or la dernière chose que je voulais, c’était faire comme tout le monde. Je savais qu’il fallait que je trouve quelque chose de vraiment original. Or j’étais encore habitée par mon expérience du batik. C’est là que je me suis demandée si je ne pouvais pas combiner les deux.

  • Sticks + Ink portrait with brush
  • Sticks + Ink working in her studio
  • Sticks + Ink working on a painting

Voilà comment j’ai commencé. J’ai appris que mon style de peinture était gestuel, j’adore toujours le batik et c’est la nature qui m’inspire : la montagne, les lacs, la mer et le temps. Au cours des 18 derniers mois, j’ai mélangé ces influences. Et voilà le résultat !

Votre palette est très constante et très personnelle. D’où cela vous vient-il ?

C’est l’avantage de n’avoir aucune expérience ! Je suis allée dans une boutique d’art en cours d’année en me disant que j’avais envie de peindre, tout simplement. Je ne savais rien de la différence entre l’huile, l’acrylique, l’aquarelle ou encore la gouache. Rien du tout ! Je me suis tout simplement dit que j’allais acheter ce qui me plaisait, ce qui m’attirait.

J’adore les pastels gras ; ils me font penser à du beurre ! Donc j’en ai acheté quelques-uns. Je suis ensuite allée du côté des acryliques et j’ai adoré les couleurs. Quand on démarre les cours d’art on peut tout simplement acheter une grande palette où tout est inclus, mais je regardais les palettes et je me suis dit « bof, c’est juste des couleurs primaires. » Inconsciemment, les couleurs primaires me rebutaient un peu. J’ai préféré me promener dans les allées et prendre ce qui me plaisait. Au bout de six produits, j’ai regardé mon panier et j’ai réalisé que mes couleurs allaient si bien ensemble que je n’avais même pas besoin d’en acheter d’autre !

Je suis sûre qu’un jour, je vais m’en lasser et vouloir utiliser d’autres couleurs. Mais pour le moment, je les adore ! Voilà la première raison de cette cohérence. La seconde, c’est Instagram. Les autres artistes avaient de beaux profils, agréables à regarder. Au départ, je publiais des photos de ce que je peignais en cours, mais je n’aimais pas trop ce que je publiais. Je voulais un beau profil, parce que je voulais inciter les autres à peindre.

Beaucoup de gens qui me suivent me disent que mon travail les incite à peindre, eux aussi. Je trouve que le fait de tenir un beau profil Instagram joue un rôle important dans ce sentiment.

Instagram a joué un grand rôle pour votre activité. Comment cela s’est-il fait ?

Je voulais être en mesure de montrer mon travail et de le présenter comme un ensemble. J’ai donc opté pour la plateforme la plus visuelle : Instagram. J’ai passé des soirées à me renseigner sur les hashtags, l’algorithme, comment réaliser la meilleure photographie… J’ai peut-être passé un an à suivre des webinaires chinois à minuit, histoire d’écouter quelqu’un qui en saurait peut-être un peu plus que moi.

Bref, c’est une année entière à apprendre autant que je le pouvais. Je me suis dit que si j’allais vendre mon travail via Instagram plutôt que sur un site internet, il fallait que j’en sache autant que possible sur ce réseau. J’ai commencé à appliquer ce j’avais appris et mon taux d’engagement a commencé à monter, ainsi que mon nombre de followers, et j’ai commencé à vendre des œuvres. Je publiais quelque chose à vendre environ une fois par semaine, et en trois minutes c’était vendu !

C’est à ce moment-là, au bout d’environ six mois, que tout a commencé à prendre tournure. Mon style s’est affirmé, mon profil était de plus en plus joli, je savais comment aborder les gens et créer de beaux contenus. C’est aussi à ce moment-là que j’ai commencé à recevoir des messages qui me demandaient comment je faisais pour y arriver.

Vous avez d’ailleurs rédigé un ebook pour diffuser vos connaissances. Comment avez-vous eu cette idée ?

Je me suis rendue compte que je passais beaucoup de temps à répondre aux gens qu’il y avait tant de choses à dire sur le sujet que je pourrais écrire un livre ! Donc au bout d’un moment, à force de le dire, j’ai fini par le faire.

C’est ça, mon moteur. Savoir ce que j’aime dans la vie et le faire. Et comme ça me passionne, je souhaite la même chose à de parfaits inconnus ! J’ai écrit cet ebook avec l’objectif de permettre à d’autres de connaître le même succès que moi, afin de ne pas me retrouver à envoyer des emails à longueur de journée au lieu de peindre.

J’ai écrit mon livre petit à petit. Je faisais un long trajet pour voir un kiné toutes les semaines. J’avais toujours peur d’être en retard ou de rater mon rendez-vous. Du coup, j’arrivais très en avance et je me posais dans un café pour écrire ce livre. La structure du livre s’est très vite imposée. J’ai mis sur papier tout ce qu’il y avait dans ma tête et aujourd’hui encore, le livre se vend très bien. Ce sont un an de conseils, au même endroit. Vendre ce livre me permet de continuer à peindre en paix.

Vous adressez-vous principalement à des collectionneurs potentiels ou à des artistes en quête d’inspiration ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes les attentes, car mon public est très varié : des collectionneurs potentiels, beaucoup d’artistes plus jeunes, mais aussi de petites entreprises créatives qui voient comment mon activité s’est développée et qui se demandent comment j’ai fait.

Tous les dimanches, je publie des trucs et astuces, quelque chose d’informatif pour mes followers. Certaines personnes me suivent pour ces publications. Je reçois beaucoup de messages de personnes qui me considèrent comme un mentor. C’est la raison pour laquelle j’aime dire que je suis une Instamarketeuse par accident, parce que rien de tout ça n’a vraiment été planifié !

Parlez-nous de vos cartes MOO !

MOO m’accompagne depuis mes débuts, ma première exposition individuelle dans un bar. Dès que cette exposition s’est confirmée, j’ai su qu’il me faudrait des Cartes de Visite ! Je savais qu’il me faudrait une marque autour de mes peintures, au cas où quelqu’un achèterait l’une de mes peintures en mon absence. J’ai scotché une Carte de Visite au dos de chaque tableau.

  • Sticks + Ink business cards
  • Sticks + Ink stickers on brush box

Quand j’ai commencé à vendre en ligne, j’ai voulu ajouter des Autocollants sur mes emballages, pour les rendre plus beaux et plus intéressants. Un peu plus tard, j’ai ouvert une boutique éphémère, où j’ai vendu des paquets de Cartes de Note et d’autres cartes que j’avais découpées pour en faire des Cartes Cadeaux. Quand je vends un grand format, j’ajoute une Carte de Remerciement dans le paquet. Bref, j’ai toujours un peu de MOO avec moi.

Vous venez de déménager votre activité dans un atelier, plutôt que chez vous. Comment gérez-vous l’équilibre entre votre vie personnelle et professionnelle ?

Je dis depuis longtemps que je veux peindre sur de grands formats. Mais j’étais limitée, assez littéralement, par la taille de ma table à manger. J’avais des affaires partout, je renversais des choses sur les chaises… Il me fallait vraiment un atelier. Heureusement, j’ai trouvé un espace vacant à The Maltings, un espace artistique de Farnham. J’ai appelé et j’ai immédiatement obtenu l’espace.

Le plus difficile dans mon travail, c’est que le batik à la cire chaude doit être posé à plat. On ne peut pas le faire sur un chevalet. Et comme chaque couche met longtemps à sécher, j’ai tendance à travailler sur jusqu’à 20 tableaux à la fois. Quand il s’agit de petites toiles, c’est une chose. Mais pour les grands formats c’est presque impossible à gérer dans un petit espace. Je ne sais pas trop comment ça va se passer, mais j’ai vraiment besoin d’un espace plus grand !

Côté équilibre, je suis intransigeante sur le fait que je suis soit artiste, soit maman. Dès que mes enfants rentrent de l’école, c’est fini, je redeviens maman. J’ai essayé de jongler les deux, mais je me suis rendue compte que si je voulais bien faire les deux, il fallait que je sache faire la part des choses. Mais dès que les petits sont au lit, je retourne à mes webinaires, parce que j’apprends sans cesse. Je veux rester au courant de ce qui se fait !

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Vous allez aux événements de networking en traînant les pieds ? Vous n’êtes pas seul. Tout le monde peut se sentir mal à l’aise. Comment rendre l’exercice plus naturel, et le jeu en vaut-il la chandelle ?

Les événements de networking sont l’occasion d’étendre son activité et de faire des rencontres décisives. 70% des postes pourvus le sont à travers le networking. Mais parfois, ces bonnes raisons ne suffisent pas pour vous lancer. Pour ceux qui n’aiment pas passer leur temps libre à rencontrer et à impressionner des inconnus, l’expérience du networking peut être rébarbative.

Soyons honnêtes : il est plutôt difficile de briser la glace en commentant les petits fours. Il vous faut donc une stratégie bien préparée pour tirer le meilleur de vos événements de networking. Heureusement, nous sommes là pour vous guider. Si l’art du networking n’est pas donné à tout le monde, quel que soit votre but, vous ne parviendrez pas à vos fins si vous ne jouez pas le jeu. Passons en revue ces six choses que l’on déteste en networking et comment y remédier.

Networking handshake

1. Je déteste faire la conversation

Personne n’aime parler de la pluie et du beau temps. Rendez l’exercice plus naturel en trouvant un co-équipier. Il sera beaucoup plus facile d’ajouter une troisième personne à votre conversation que de démarrer à froid. Abordez donc quelqu’un et commencez à bavarder. Si vous ne savez plus quoi dire, baissez votre garde et dites-le, tout simplement : « La conversation, ce n’est pas mon truc. Le networking, c’est un peu artificiel, n’est-ce pas ? »

Il y a de grandes chances pour que vos interlocuteurs pensent exactement la même chose. Vous posez ainsi les bases d’un dialogue honnête.

2. J’oublie toujours les prénoms

Révisez ! Mémorisez les noms des intervenants et prenez des notes à leur sujet. Cherchez qui participe à l’événement. Vous pouvez contacter l’organisateur ou consulter la page de l’événement. Une fois que vous avez votre liste de noms, menez votre enquête sur LinkedIn. Cela vous permettra de vous assurer que vous ne perdez pas votre temps auprès de personnes avec qui vous ne souhaitez pas garder contact.

Le jour de l’événement, utilisez l’astuce suivante pour vous rappeler les prénoms : dès qu’une personne se présente, utilisez son prénom dans votre réponse.

Vous pouvez même mettre les autres au défi de faire la même chose ! De cette manière, vous réunissez plusieurs personnes qui ne se connaissent pas autour de l’une des grandes difficultés du networking. Ce faisant, vous en apprendrez beaucoup plus à leur sujet que leur prénom.

3. Je suis timide en public

Le premier obstacle consiste souvent à prendre la parole. Ajoutez à votre boîte à outils (métaphorique, entendons-nous) une liste de sujets propices à la conversation, afin de les dégainer le moment venu.

Nous savons que vous pouvez faire mieux que la question bateau « Que faites-vous dans la vie ? ». Demandez quelque chose d’un peu plus intéressant, qui vous amènera à vraiment connaître votre interlocuteur. C’est ainsi que l’on crée des contacts qui vous rappellent.

Voici quelques idées pour vous aider :

« Que voulez-vous tirer de cet événement ? »

Vous allez droit au but et vous ouvrez la voie vers une discussion honnête.

« D’où venez-vous ? »

C’est une question très ouverte. Votre interlocuteur a la possibilité de répondre de manière professionnelle ou plus personnelle, or son choix est révélateur. S’il vous demande d’être plus précis, contentez-vous de répéter la question.

« Pour quelle raison êtes-vous le mieux connu ? »

Cette question est amusante, car les gens aiment parler des domaines où ils excellent, or ont rarement l’opportunité de le faire. Pour certains, c’est une question à laquelle il est difficile de répondre et cela les oblige à creuser le sujet.

« Quelle est la couleur du cheval blanc d’Henri IV ? »

Rien de tel pour briser la glace. OK, celle-là, c’était juste une blague.

Networking book list

4. J’ai du mal à aborder de nouvelles personnes

Faites parler vos vêtements pour vous. En portant un vêtement fantaisiste, comme une cravate colorée, un ras-du-cou ou autre bijou que vous ne portez jamais, vous vous faites remarquer en donnant aux autres une occasion de vous aborder et de se souvenir de vous.

Les Cartes de Visite originales ou innovantes, si elles sont de qualité, constituent également un sujet de conversation. C’est la raison pour laquelle nos Cartes de Visite NFC, Feuille d’Or ou encore Luxe sont plébiscitées. Grâce à elles, vous serez inoubliable.

5. C’est une perte de temps, on en retire jamais rien

C’est cliché de le dire, mais ce que vous retirez d’un événement est proportionnel à votre investissement. Si vous faites tapisserie en laissant aux autres l’initiative de la conversation, vous finirez par discuter uniquement de ce qu’ils veulent.

Arrêtez de tergiverser et prenez les rênes de la conversation : vous recherchez un emploi ? Des employés ? Des associés ? Notez votre objectif ou, mieux, faites une capture d’écran que vous mettrez en image d’accueil sur votre téléphone. Ainsi, à chaque fois que vous regarderez l’heure, vous verrez un rappel de ce pour quoi vous êtes venu. Cela vous motivera à tout faire pour réaliser vos objectifs.

En outre, le networking ne se termine pas à la fin de l’événement. Les messages sincères de suivi vous permettent de cimenter vos nouvelles relations. Après l’événement, notez ce dont vous vous souvenez à propos de vos nouveaux contacts, puis envoyez un email faisant référence à votre conversation. Et si vous voulez vraiment impressionner, créez des Cartes Postales personnalisées sur lesquelles vous inscrirez un message à la main.

6. Je ne rencontre jamais les personnes que j’espère rencontrer

Avez-vous jeté un œil à la liste d’invités ? Avez-vous clairement déterminé votre but ? Si tel est le cas, cet événement est-il à-même de répondre à vos attentes ? Tous les événements de networking ne sont pas égaux. Souvent, plus il est facile d’y entrer, moins l’événement est intéressant. Cherchez des événements dont les organisateurs et intervenants ont quelque chose à vous apporter et ont suffisamment confiance dans le contenu proposé pour émettre des places payantes. En vous montrant plus sélectif, vous rencontrerez plus facilement les contacts que vous recherchez.

Il n’est pas facile de rencontrer de nouveaux contacts à des événements, mais cela devient plus naturel avec le temps. Si vous suivez ces conseils, le networking n’aura bientôt plus de secret pour vous !

Vous sortez ? Faites le plein de Cartes de Visite