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Faites parler de vous avec des Flyers

Promouvoir une association caritative, faire rire ou dire merci… Les Flyers redéfinissent la publicité à l’ancienne

3 flyer use cases

Promouvoir une association caritative, faire rire ou dire merci… Nos clients montrent que les Flyers restent un moyen intemporel de faire passer le mot.

À l’ère de la promotion numérique et des publicités en ligne, il peut être difficile de sortir du lot. Le retour aux sources a parfois du bon. Voici trois façons de redéfinir l’utilisation des Flyers.

Olaf Falafel

Originaire de Suède, Olaf Falafel est humoriste, auteur et illustrateur. Auto-proclamé « huitième humoriste le plus drôle de Suède, » il passe en revue des sujets aussi variés que l’humour viking ou les blagues sur sa barbe. Olaf a retenu notre attention lorsqu’il a publié son folioscope de Flyers pour promouvoir son spectacle comique, The Marmosets of My Mind [Les Marmousets dans ma tête]. Nous avions vu des utilisations ingénieuses de Printfinity au fil des ans, mais des Flyers animés ?! Bien vu, Olaf Falafel. Bien vu.

Photo: Stuart Hogben, @stuarthogben

« Le fait qu’ils s’organisent en folioscope pousse les gens à s’arrêter et à prêter attention. » commente-t-il. « C’est particulièrement utile en festival, où les gens reçoivent constamment des papiers. » Les Flyers du spectacle ont été imprimés avec 8 designs différents, qui montrent un marmouset qui fait de la roue dans le cerveau d’Olaf Falafel. « Les Flyers sont imprimés, puis classés afin que je puisse les sortir de la boîte et les feuilleter pour montrer l’animation. »

En matière de folioscope, Olaf Falafel n’en est pas à son premier fait d’armes. « C’est la deuxième année que je réalise des Flyers animés., » raconte Olaf. « L’an dernier, c’était mes yeux qui bougeaient et un fromage qui tournait sur mes doigts, en promotion de mon spectacle « Olaf Falafel et le fromage de la vérité. » J’ai reçu des réactions très positives de fans sur les réseaux sociaux ! » D’abord un fromage, ensuite des marmousets… On sent qu’on va suivre cet humoriste audacieux de près pour connaître la suite.

Faites passer le message avec des Flyers

 

Panopli

Panopli est une plateforme en ligne qui donne aux artistes du monde entier la possibilité de vendre leurs créations sous forme d’estampes, de t-shirts ou de sacs en toile. Les utilisateurs ont la possibilité de choisir les produits qu’ils veulent créer et de mettre en place une boutique en ligne pour vendre leur travail. Fondée par deux entrepreneurs français, Maxime Delmotte et Adrien Salamon, Panopli est née du désir d’aider les artistes à « vivre de leur art ».

Parallèlement, Maxime et Adrien voulaient faire la différence en redonnant une partie des profits à une bonne cause. L’un des meilleurs vendeurs de Panopli, Balibart, a créé le hashtag #balibartsengage. Pour chaque publication d’artiste mentionnant ce hashtag sur les réseaux, Balibart donne un produit à une association caritative française. Panopli promeut cette campagne en envoyant des Flyers à chaque client. « Un produit physique est le moyen le plus efficace d’attirer l’attention, » commente Adrien. « Avec tous les moyens numériques que nous avons, rien ne remplace un Flyer. »

Les Flyers #balibartsengage ont été créés par le directeur artistique de Panopli, qui les voulait simples et efficaces. La communauté Panopli soutient largement l’initiative. « Nos clients apprécient le fait que nous leur donnons la possibilité d’avoir une portée sociale, » commente Adrien. La société a fait don de centaines de produits jusqu’à présent et espère poursuivre son engagement associatif aussi longtemps que possible.

Engagez-vous avec des Flyers

 

Latigo Coffee

Envie de vous faire plaisir à la pause déj’ ? Ça tombe bien. Uniquement sur abonnement, le torréfacteur de Los Angeles Latigo Coffee s’est donné la mission de livrer du café fraîchement torréfié partout aux États-Unis. Avec une livraison toutes les deux semaines et toute une gamme de cafés parmi lesquels choisir, Latigo vise à apporter les meilleurs cafés sur le pas de votre porte.

La marque Latigo met en avant un style de vie au grand air, encourageant ses clients à « prendre un café, sortir et se mettre au boulot. » Elle les incite aussi à partager des photos de leurs aventures sur Instagram avec le hashtag #latigocoffee. C’est le début d’une nouvelle ère pour les bars de campagne.

En tant que société dont l’activité est centrée sur le conditionnement et la livraison, il va de soi que Latigo met l’accent sur l’expérience client. « L’ouverture du colis était importante pour nous dès le départ, » explique Mark Finster, fondateur de Latigo. En signe de reconnaissance à chaque client, Latigo ajoute un Flyer de remerciement dans chaque paquet, avec une image de tandem et de cafetière. « Les Flyers Carrés MOO allaient parfaitement (assez littéralement, en fait) sur nos emballages. », raconte Mark. « Les gens adorent recevoir des petits mots. Ces ajouts font partie intégrante de notre offre. »

Émerveillez vos clients avec des Flyers

Halla Hákonardóttir et Helga Kjerúlf parcourent le monde à la recherche de textiles écologiques. Quel est leur secret pour une collaboration durable ?

Toutes deux passionnées de textiles écologiques, désireuses de faire passer leur message grâce au design et à un humour culotté, Halla et Helga se sont associées après s’être rencontrées sur les bancs de leur école d’art. Les idées ont fusé, un lien solide s’est formé et USEE a vu le jour. « USEE, c’est une marque positive et déjantée. »

Aujourd’hui, les créations du duo font passer un message d’actualité autour du développement durable, tout en célébrant une esthétique nordique unique. Qu’est-ce qui a inspiré cette collaboration insolite ? Comment Halla et Helga déterminent-elles si leurs designs durables sortiront du lot ? MOO les a rencontrées pour découvrir ce qui les fait avancer.

Comment vous êtes-vous rencontrées et quand avez-vous su que vous voudriez travailler ensemble ?

Nous nous sommes rencontrées à l’école d’art. J’étudiais l’architecture et Halla, le stylisme. Après nos études d’art, nous sommes parties chacune de notre côté faire nos propres expériences pendant quelques années, voyageant un peu partout. Puis nous sommes revenues en Islande exactement au même moment. Nous nous retrouvions souvent pour prendre un café et nous nous sommes aperçues que nous partagions beaucoup d’idées et d’aspirations. Nous avions un bon pressentiment à l’idée de travailler ensemble.

D’où vous est venue l’idée de lancer USEE ?

Nous partageons les mêmes opinions en termes d’esthétique et de développement durable. Nous imaginions notre concept et notre studio et un beau jour, nous nous sommes dit : « Jetons-nous à l’eau. » Nous sommes toutes deux plutôt impulsives, et cela a peut-être joué un rôle !

Quel est le message des designs USEE ?

Nos projets de design sont principalement réalisés à partir de déchets et de matériaux de récupération. Ils sont conceptuels et sans concession, mais avec un brin d’humour. Ces projets nous permettent de sensibiliser les gens au secteur de la mode, à la montée de la mode éphémère et de la production en masse.

Il faut que les consommateurs changent leurs habitudes, mais aussi que les créateurs prennent leurs responsabilités. Nous voulons montrer à notre génération que les vêtements recyclés et recoupés peuvent être à la mode et donner le sourire. Tous nos produits ont un message. C’est le cas de nos maillots de bain, par exemple. Allez voir !

Comment sélectionnez-vous vos matériaux ?

Nous nous rendons beaucoup dans des magasins d’associations caritatives, où nous achetons des tissus, fermetures éclair, bobines de fil et boutons d’occasion. Nous avons déniché de superbes tissus et les gens sont étonnés lorsque nous leur disons d’où ils viennent.

Pour notre ligne de streetwear REMIX, nous fabriquons des pantalons à partir de tissus de rideaux, des robes à partir de draps et nous créons des bagues, des boucles d’oreilles et des colliers à partir de miroirs pour notre ligne de bijoux.

Quelle est votre source d’inspiration principale ?

Parfois les idées nous viennent de livres que nous lisons, de la musique que nous écoutons, de nos voyages, de films ou de tout ce qui retient notre attention.

Sur le plan historique, nous apprécions l’art, le design et l’architecture de 1920 à 1980. Et plus particulièrement l’Art Deco : nous sommes allées à Miami, dernièrement, et les rues Art Deco de South Beach sont incroyables ! Nous avons adoré.

Sinon, nous nous inspirons du quotidien. Les choses qui traînent à la maison, ou encore des choses qui nous semblent exotiques et qui sont normales pour d’autres, comme les palmiers et les ventilateurs… Il n’y a pas de ventilateur en Islande !

Comment maintenez-vous des habitudes de travail durables alors que vous créez votre marque ?

Il nous a fallu du temps pour trouver notre rythme et organiser nos horaires et nos habitudes de travail. Il n’est pas toujours évident de poser des limites lorsque l’on est à son compte, mais nous nous améliorons. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous voyageons beaucoup. Nous échangeons des idées, mais les ordis sont à la maison.

Vous exposez et vendez votre travail dans des galeries d’art et des boutiques éphémères. Quels sont vos meilleurs conseils ?

Il faut que vous trouviez un moyen de vous faire remarquer, d’être intrigant et de susciter l’intérêt. En ce sens, les Cartes de Visite sont très importantes.

Lorsque l’on vend des produits chers, les gens ont tendance à vouloir prendre le temps de réfléchir avant d’acheter. Il est donc utile de leur donner une Carte de Visite afin qu’ils nous contactent s’ils prennent la décision d’acheter plus tard.

On est si facilement oublié dans le tourbillon de l’univers numérique. Nous pensons qu’il est important d’avoir quelque chose de tangible à donner. Et bien sûr, notre carte est en coton recyclé !

Quelles sont les valeurs de votre marque et comment les avez-vous choisies ?

L’éthique est au cœur de notre marque, ainsi que l’importance de la couleur en design, que nous célébrons, et un certain sens de l’humour. Chaque produit doit avoir un sens, un message caché ou une façon de sensibiliser les gens.

Nous pensons notre marque comme une personne tournée vers le développement durable, qui écoute de la musique et qui aime s’amuser. Imaginer cette personne nous a aidées à établir nos valeurs.

  • USEE design
  • USEE swimsuit
  • USEE clothing

Comment les gens réagissent-ils à vos produits ?

Beaucoup de gens nous disent que notre style est rafraîchissant, coloré, et que le concept est bon. Cela se passe mieux que nous osions l’imaginer au début. Nous aurions eu du mal à accomplir tout ce que nous avons fait sans un entourage qui croit en nous.

Quels sont vos conseils aux entrepreneurs en herbe tentés de se lancer ?

Lancez-vous ! Procédez lentement, donnez-vous le temps de vous épanouir et d’évoluer. Ne tergiversez pas et n’ayez pas peur de commettre des erreurs. C’est comme ça qu’on apprend. Il vaut mieux prendre de mauvaises décisions quand on est encore une petite marque.

Ne vous prenez pas trop au sérieux, mais ne vous rabaissez pas non plus. Ayez confiance en vos instincts et écoutez-les. Lorsque nous avons pris de mauvaises décisions, nous ne les avons pas considérées comme des erreurs, parce que tout ce que nous avons accompli nous a amenées là où nous sommes aujourd’hui.

Faites-vous remarquer en créant vos propres Cartes de Visite

De nos jours, faire ses courses en ligne est presque devenu automatique. La réalité était toute autre pour les pionniers de la vente au détail en ligne.

1. L’internet n’a pas toujours été haut débit

S’il existait déjà au début des années 2000, le haut débit était coûteux et réservé aux amoureux de la technologie. Jusqu’au milieu de la décennie, pour la plupart des gens, se rendre en ligne n’était pas une mince affaire. Il leur fallait connecter le modem à leur ordinateur sur la ligne téléphonique, qui sonnait alors occupée. La connexion était facturée par minute.

Il fallait donc une bonne raison de se connecter au web : l’envoi d’un message électronique ou une recherche particulière. L’hyperconnexion actuelle n’est apparue que très récemment comme moyen pour les vendeurs en ligne de se faire remarquer.

2. Il y avait le choix entre eBay et Amazon, et c’est tout

Et les deux plateformes n’avaient pas grand-chose à voir avec les sites que nous connaissons aujourd’hui. Si l’idée à l’origine d’eBay ou d’Amazon Marketplace a peu changé, le nombre d’utilisateurs de ces plateformes a proliféré. Selon BigCommerce, les ventes de l’e-commerce ont augmenté de plus de 18 000 % depuis 1997.

3. Les photos sont de bien meilleure qualité aujourd’hui

Si vous vendiez en ligne autour de 2002, vous deviez trouver un endroit où héberger vos images, car le débit était coûteux et les sites de vente aux enchères ne proposaient pas de service d’hébergement d’images gratuit. Il vous fallait donc généralement importer vos images sur un autre service et ajouter un lien vers ces images. Par ailleurs, ces photos provenaient de votre appareil photo numérique, puisque même le téléphone le plus sophistiqué ne disposait pas encore d’un appareil digne de ce nom. Vous deviez donc brancher votre appareil photo à votre ordinateur à l’aide d’un câble et transférer vos images.

4. Les smartphones n’existaient pas

À propos de téléphones, difficile d’imaginer qu’il y a quelques années seulement, il était quasiment impossible d’acheter quoi que ce soit sur un appareil mobile. Vos clients faisaient leur shopping depuis leur bureau ou leur ordinateur portable, mais pas dans le bus ou dans la rue. Avant qu’Apple ne lance l’iPhone en 2009, les smartphones n’existaient tout simplement pas, et encore moins les ventes mobiles. De nos jours, ces ventes comptent pour 30 % des ventes en ligne aux États-Unis.

5. Avant le décollage des réseaux sociaux, difficile d’accéder à des avis

Si Facebook a été lancé comme un réseau d’universités en 2004, ce n’est que plusieurs années plus tard que le réseau s’est étendu à un public général. Twitter était encore plus tardif, avec un lancement en 2007.

Au début des années 2000, on comptait MySpace ou Copains d’avant parmi les réseaux sociaux. Or aucun de ces sites n’avait de plateforme destinée aux avis de clients et aux recommendations. D’ailleurs, il était beaucoup plus facile d’y trouver des selfies émo ou des listes de chansons préférées que des mentions de marques et de produits. Si les sites d’avis de clients existaient, l’écosystème moderne de marques, de communautés d’utilisateurs et de commentaires n’avait pas encore vu le jour.

6. La notion d’expérience utilisateur était inconnue

Les sites de jadis étaient truffé d’encadrés,d’applets et de widgets, ce qui rendait la navigation particulièrement difficile si le site avait été conçu par programmateur inexpérimenté. à l’époque, Internet était encore un terrain de jeu réservé aux profils technologiques et n’était pas encore optimisé pour les débutants.

Il fallait que le client fasse preuve d’une volonté d’acier pour mener à bien un achat. Selon une étude du Nielsen Norman Group en 2001, seuls 56 % des clients qui essayaient d’acheter en ligne parvenaient à l’étape du règlement.

La vente en ligne est devenue un jeu d’enfant. Aujourd’hui, vous pouvez toujours vous démarquer avec des contenus physiques, comme une série de Flyers à ajouter aux colis de vos clients.

Que se passe-t-il lorsqu’une technique qui a traversé les siècles se met à la pointe de la technologie ?

Monotype's James Fooks-Bale

La typographie est partout. Si vous regardez autour de vous, il y a des chances pour que vous repériez de nombreuses polices différentes sur des objets, des produits et des affichages. Créer une police qui fonctionne sur tous les médiums et surfaces est une lourde tâche qui décourage plus d’un designer, et qui est d’autant plus ardue que ces médiums changent constamment.

Que réserve l’avenir, pour la typographie ? Le n°1 de la typographie Monotype a ses prévisions. Nous avons discuté avec le Directeur Artistique de l’entreprise, James Fooks-Bale, des nouvelles tendances qui révolutionnent la typographie.

Virtual Reality Fonts

  1. Supports virtuels et augmentés

Nos appareils mobiles évoluent sans cesse. Par conséquent, la possibilité de disposer de polices dont la taille est adaptée au format et aux spécifications de ces appareils est la clef d’une expérience utilisateur complète. Avec la montée des appareils et des applications de réalité augmentée (RA) et de réalité virtuelle (RV), James Fooks-Bale envisage la possibilité de redimensionner les polices en 3D. « Dans les prochaines années, il va devenir indispensable de créer des polices adaptées aux nouveaux environnements numériques. Cela influence certes la création de caractères, mais aussi le rendu et la lisibilité, qui varient constamment dans les environnements de RA et de RV. Monotype est en première ligne dans cette révolution. »

Variable Fonts

  1. Polices intelligentes

Les polices intelligentes sont des polices responsives qui s’adaptent en fonction des informations reçues. « Monotype a développé davantage de polices intelligentes et le potentiel de ces polices est infini. Elles s’adaptent à toutes sortes de situations. » explique James Fooks-Bale. Par exemple, les polices intelligentes réagissent en fonction de la lumière du soleil sur l’appareil, de l’angle de l’écran par rapport au visage de l’utilisateur ou des mouvements de l’appareil.

SST Font

  1. Une police pour toutes les langues

La création d’une police adaptable à toutes les langues a tout d’un défi difficile à relever. Monotype s’est montrée à la hauteur. « La police SST est l’une des créations les plus ambitieuses que j’aie vu depuis longtemps, » confie James Fooks-Bale. Les équipes de créateurs de caractères ont élaboré des glyphes qui s’adaptent à 100 systèmes d’écritures et à près de 800 langues. « Certaines marques mondiales ne veulent pas se limiter à une seule région dans leur communication et souhaitent une dimension universelle dans leur image de marque à travers le monde. Leur palette et leur typographie doivent être à leur mesure. »

Custom Fonts

  1. Polices personnalisées

C’est une chose de déterminer la voix de sa marque. Parvenir à communiquer cette voix au moyen du branding est une autre paire de manches. C’est là que les polices personnalisées entrent en jeu. « Les marques essaient de plus en plus de trouver leur propre voix afin de se différencier de leurs concurrents. », explique James Fooks-Bale. Monotype propose des services de création de police personnalisée qui aide les marques à créer une identité unique, qui correspond à la personnalité et à l’offre de la société. Si une marque ne souhaite pas se lancer dans un projet de police personnalisée, elle peut faire son choix dans la typothèque Monotype de plus de 2500 polices ou modifier le design d’une police existante pour l’adapter à ses besoins.

Aux yeux de James Fooks-Bale, ces tendances témoignent de la bonne santé du secteur de la typographie. « C’est l’un des aspects les plus passionnants de notre métier. La police est un élément qui doit évoluer de la même façon que les entreprises, et rester en avance sur son temps. »

Imprimez vos polices sur des Cartes de Visite MOO

Panopli aide les artistes et les designers à rentabiliser leur travail en leur proposant un moyen de vendre facilement leurs idées créatives.

Pas évident de mêler créativité et rentabilité. Bien qu’ils ne soient pas designers, les entrepreneurs français Maxime Delmotte et Adrien Salamon ont compris que leurs compétences commerciales seraient un atout précieux pour le secteur du design.

Le résultat ? Panopli, un site qui permet à des artistes de tous horizons de vendre leurs créations sous forme d’estampes, de t-shirts ou de sacs en toile.

MOO a rencontré Adrien Salamon afin de découvrir ce qui a incité le duo à se tourner vers l’art et comment l’entreprise se fait connaître auprès d’artistes et de clients.

Qu’est-ce qui a incité deux étudiants en commerce à s’immerger dans l’univers créatif ?

J’ai rencontré Maxime Delmotte, cofondateur de Panopli, lors de ma première année d’école de commerce. C’était mon coloc et nous étions tous deux passionnés d’art, sans être vraiment créatifs. Nous nous demandions comment nous pourrions mettre nos compétences commerciales au profit des artistes.

De discussion en discussion, nous avons créé une association étudiante destinée à aider les artistes à financer leur projet, proposant entre autres des services de comptabilité et de stratégie marketing. En deux ans, nous avons participé à plus de vingt projets, parmi lesquels des concerts, des expositions d’art et des enregistrements d’album.

Qu’est-ce qui vous a motivés à étendre votre projet ?

Après nos études, nous sommes partis au Caire travailler avec l’équipe fondatrice de Jumia, l’équivalent d’Amazon en Égypte. L’équipe comptait dix personnes à notre arrivée, 150 à notre départ. Jumia domine désormais le secteur de l’e-commerce en Égypte.

Cette expérience hors du commun nous a d’autant plus motivés à combiner nos deux passions du design et de l’e-commerce. Nous avons donc décidé de rentrer en France et de créer un site qui aiderait les créatifs à rentabiliser leurs designs grâce à des solutions e-commerce faciles à prendre en main.

Nous avons donc créé Panopli.co avec un objectif très précis : aider les créatifs à gagner plus. Nous voulions leur donner la possibilité de se concentrer sur ce qu’ils font le mieux, créer, et prendre en main le reste.

Comment s’organise votre activité ?

Nous voulions élaborer un service dédié qui permettrait à des marques comme Cantoche et le magazine européen Neon de vendre des t-shirts ou des estampes de qualité à partir de leurs designs. Ces produits sont fabriqués localement et imprimés à la demande dans nos ateliers français.

Nos vendeurs font leur promotion sur leur propre boutique et sur les réseaux sociaux. Nous avons aussi une équipe dédiée qui aide nos clients à dynamiser leurs ventes et organise des webinaires sur des thèmes comme la promotion.

Notre équipe produit, emballe et envoie chaque commande pour l’artiste. Ainsi, nos clients n’ont pas à se préoccuper de racheter du stock ou d’aller à la poste.

Les seuls frais de nos vendeurs sont les coûts de production pour chaque article. Nous avons passé toute l’année dernière à élaborer notre offre et nous sommes fiers que des milliers de talents l’utilisent désormais pour vendre leurs designs imprimés sur des produits.

Quel est votre moteur ?

Certains vendeurs qui utilisent Panopli sont des graphistes. Ils sont désormais en mesure de refuser les projets qui ne sont pas rentables, parce qu’ils savent que leur boutique générera suffisamment de revenus.

Certains utilisent ce complément de revenus pour acheter du mobilier, financer des expos ou tout simplement prendre des vacances ! Le fait de savoir que nos artistes sont en mesure de se concentrer davantage sur leur art, ça fait plaisir.

Du point de vue de nos vendeurs, nous faisons tout le travail fastidieux : nous créons la boutique en ligne, nous fabriquons les produits, nous les livrons, nous prenons en charge le service clients. Mais pour nous, c’est ça qui est facile !

Comment utilisez-vous MOO pour construire et promouvoir votre marque ?

Nous utilisons MOO de plusieurs façons. Tout d’abord, nous avons toujours nos Cartes de Visite sur nous. Nous assistons à de nombreux événements, expos et concerts et nous y rencontrons toujours des gens qui ont envie de créer leur marque de t-shirts ou qui ont besoin d’une solution pour vendre leurs produits en ligne.

Ensuite, nombre de nos vendeurs utilisent MOO pour promouvoir leur marque. Par exemple, Balibart, l’un de nos vendeurs les plus populaires en France, a créé une campagne promotionnelle très créative : chaque fois que vous utilisez le hashtag #balibartsengage sur Instagram ou sur Facebook avec une photo de l’un de nos produits, la société donne un produit à une association caritative en France. Pour diffuser cette campagne, ils utilisent les Flyers que nous envoyons à nos clients lorsqu’ils commandent sur le site.

Et le meilleur pour la fin : les Autocollants ! On les adore. Nous les collons partout, sur nos emballages, ordinateurs, téléphones portables…

Que conseillez-vous aux créatifs qui cherchent à vendre leur travail ?

C’est plus facile qu’il n’y paraît. Vous n’avez rien à perdre et vous pourriez même générer rapidement des revenus !

Nous conseillons à nos vendeurs de se concentrer sur les réseaux sociaux et d’interagir avec leurs clients pour vraiment comprendre leurs besoins. Nous les encourageons également à collaborer avec d’autres créatifs. La collaboration permet aux deux artistes de promouvoir le même projet. C’est gagnant-gagnant ! Et c’est une expérience intéressante !

Qui dit travail ne dit pas forcément routine. Créez vos Cartes de Visite, Flyers et Autocollants originaux.

Ces entrepreneurs créatifs ont imaginé des façons originales d’utiliser les MiniCards, en marque-page ou en étiquettes, pour mettre en avant leur activité.

Qu’importe la taille de votre entreprise, il est important de proposer une expérience dont vos clients se souviendront. Vous ne savez pas par où commencer ? Voici trois exemples à suivre.

YEAHYELHSA

YEAHYELHSA est la boutique en ligne d’Ashley Olinger, artiste installée à Pittsburgh. Elle vend des impressions, des autocollants et des cartes qui sont le reflet de sa personnalité déjantée, avec une pointe d’humour caustique. Lorsqu’elle ne crée pas des produits pour sa boutique Etsy, Ashley Olinger travaille en freelance sur des projets de design de pochettes d’album ou de logos qui montrent son goût pour le design moderne.

  • Yeahyehlsa postcard and envelope
  • Yeahyehlsa illustration
  • Yeahyehlsa art
  • Yeahyehlsa artwork
  • Yeahyehlsa stickers

Le reste du temps, elle passe au crible ses diverses sources d’inspiration à la recherche d’une nouvelle idée de produit. Qu’elle s’inspire d’autres illustratrices comme Lorien Stern ou Tara Booth, ou de la forme et de la couleur des fruits, Ashley Olinger trouve des façons innovantes et amusantes d’intégrer ces éléments de design à ses accessoires uniques en leur genre.

  • Yeahyehlsa mini business cards
  • Yeahyehlsa minicards with eyes

Elle ajoute à chaque commande de sa boutique Etsy une MiniCards aux couleurs de sa marque. « Mon travail est humoristique et imprévisible, donc je trouve à-propos le fait d’avoir ces toutes petites Cartes de Visite. », explique-t-elle. Ses MiniCards ont d’ailleurs suscité une réaction surprenante de la part de ses clients. « Les gens cherchent à les acheter, parce qu’ils pensent que ce sont de petites estampes. On peut dire que les cartes ont été bien reçues ! »

Un achat dont ils se souviendront avec les MiniCards

 

Dani Williams Illustration

Illustratrice autodidacte, Dani Williams crée à l’aquarelle des images de la vie sauvage qui ravissent les amoureux des animaux à tous les âges. Dani vend ces illustrations sous forme d’estampes, de cartes de vœux, de marque-pages et autres produits sur Etsy ainsi que dans plusieurs magasins da sa ville de Merseyside, au Royaume-Uni. Sa passion pour les animaux lui vient de son travail de zoologiste. Elle dessinait durant son temps libre et un beau jour, elle s’est rendu compte qu’elle pourrait mêler ses deux passions.

« Je m’inspire de la vie sauvage que je côtoie dans ma carrière de zoologiste ainsi que des magnifiques paysages naturels des alentours, » nous explique Dani Williams. Elle trouve sans cesse de nouvelles idées au détour d’une promenade dans les bois ou sur la plage près de chez elle. Son travail dans les musées trouve aussi sa place dans ses oeuvres. « Nombre de mes créations font un clin d’œil aux croquis traditionnels d’histoire naturelle, à une époque où beaucoup de gens découvraient certains animaux pour la première fois. »

  • Whale mini bookmarks by Dani Williams
  • Minicards used as bookmarks by Dani Williams
  • Mini business cards used as bookmarks by Dani Williams
  • Mini bookmarks by Dani Williams

La boutique en ligne d’impressions de Dani Williams présente son travail tout en permettant aux clients d’acquérir certaines illustrations. Grâce à Printfinity, elle a imprimé plusieurs illustrations sur des MiniCards auxquelles elle a attaché un ruban pour qu’elles puissent servir de marque-page. Son style plaît tout particulièrement aux enfants, pour qui la taille des MiniCards est idéale. « Mes MiniCards sont parfaites pour de petites mains, » commente-t-elle. « Et puis franchement, elles sont mignonnes ! »

Affirmez votre marque avec les MiniCards

 

Bowl Cut Ceramics

Bowl Cut Ceramics est l’entreprise artisanale de Ricky Kwong. Ce studio crée des céramiques artianales et fonctionnelles, comme des tasses, des assiettes, des pots de fleurs et des sous-verres qui ont beaucoup de caractère. Graphiste de métier, Ricky Kwong voulait appliquer ses compétences en marketing, en branding et en design à sa propre marque. Bowl Cut a donc d’abord été envisagé comme une expérience pour voir ce que cela donnerait.

  • Bowl Cut Ceramics founder
  • Bowl Cut Ceramics founder at work
  • Bowl Cut Ceramics with mini business card used as label

En portant son attention sur la marque, Ricky Kwong a été amené à créé un style de céramique bien à lui. « J’ai élaboré le motif de la ligne double pour apporter un contraste entre les formes imparfaites façonnées à la main et quelque chose de très stylisé et graphique. », expliqe-t-il. « C’est aussi un fil conducteur d’une création à l’autre, qui donne une identité visuelle à ma marque. J’ai continué à jouer avec cette idée en reportant l’allure de mes créations sur le design de mes cartes et de mes étiquettes volantes en MiniCard. »

  • Bowl Cut Ceramics
  • Bowl Cut Ceramics with minicards used as product tags
  • Bowl Cut Ceramics with mini business card
  • Bowl Cut Ceramics mini business cards

Ricky Kwong attache une MiniCard aux couleurs de sa marque en étiquette volante à tous les produits Bowl Cut qu’il vend. « Il fallait une étiquette suffisamment petite pour ne pas gêner l’utilisateur, mais suffisament grande pour comporter toutes les informations importantes. Le design des étiquettes reflète l’allure de la plupart de mes céramiques. Des petites taches blanches avec deux bandes. C’est ma signature graphique, que j’ai recréé à l’ordinateur pour l’appliquer sur la carte. Cela convient parfaitement à mes produits ! »

Étiquetez vos produits avec les MiniCards

Personne n’aime les plaintes de clients, mais souvent, elles sont facilement résolues & s’avèrent précieuses pour l’entreprise. Suivez notre guide de survie

1. Soyez à l’écoute

Faites en sorte de bien comprendre exactement ce qui s’est passé et comment le client a été affecté. Il se peut que certaines choses n’aient pas été à la hauteur de ses attentes. Par exemple, peut-être que les photos de présentation de votre produit l’ont induit en erreur concernant la taille et la couleur de l’article. Ou peut-être y a-t-il eu un problème que vous ignoriez lors de la livraison, qu’il s’agisse des délais ou de l’état du paquet.

En prêtant attention aux inquiétudes du client et en étant disponible pour répondre rapidement à ses messages ou appels, vous montrez que vous avez son problème à cœur et que vous voulez qu’il soit satisfait.

2. Tenez-vous en aux faits

Répondez de manière factuelle. Bien sûr, vous pouvez vous inquiéter du fait que votre client est insatisfait, mais concentrez-vous sur ce qui s’est passé et sur ce qui va se passer. Il arrive que le client ait plusieurs problèmes ou qu’il écrive un long message sur ce qui s’est produit. Si les esprits s’échauffent, il est plus simple de se concentrer sur les faits.

Il en va de même pour vos propres émotions. Vous vous sentez peut-être stressé ou menacé par la plainte. En restant factuel, vous prenez le recul nécessaire face au problème et vous êtes en mesure d’envisager la meilleure solution.

3. Parlez-en à un proche

Le premier avis négatif est déstabilisant. Pensez à votre bien-être en prenant soin de vous. Dites ce que vous avez sur le cœur à quelqu’un de confiance, de préférence extérieur à votre entreprise. Ce moment de décompression vous aide à rester calme et professionnel lorsque vous communiquez avec votre client.

Si vous n’avez personne à qui en parler, essayer d’écrire votre frustration sur papier, puis déchirez votre message et jetez-le.

4. Respectez votre plan d’action

Une fois que vous avez établi quelle mesure prendre en réponse à la plainte, soyez cohérent. Informez le client des prochaines étapes, qu’il s’agisse d’un retour, de l’envoi de photos, d’un remboursement ou de toute autre mesure dont vous avez convenu.

Si tout se passe bien, vous pouvez vous servir de cette expérience pour mettre au point une marche à suivre en vue de la prochaine fois que vous rencontrez le problème.

5. Gardez en tête le tableau général

On peut chercher longtemps à qui revient la faute, mais il vaut mieux prendre de la hauteur et réfléchir aux leçons que votre entreprise peut tirer du problème. Pouvez-vous faire quelque chose de différent pour éviter que le problème ne se reproduise ? Si vous pensez que la plainte de votre client n’est pas fondée, avez-vous beaucoup à perdre à long terme en restant campé sur vos positions ?

Avec le temps, vous pouvez aussi remarquer que les avis négatifs portent sur un aspect en particulier et montrent les améliorations à apporter ou les points à mieux communiquer. garder une trace des plaintes, en sauvegardant les emails ou en prenant des notes, est une bonne pratique.

Vous voulez faire la paix ? Que diriez-vous d’une plage d’adorables Autocollants personnalisés ?