Skip to content

Livraison GRATUITE à partir de 100 €

La renaissance du vinyle : comment Third Man Records donne du sang neuf à l’analogue

Third Man Records

Depuis 2001, le label indépendant de Nashville Third Man Records bouscule l’industrie musicale en participant activement au grand retour du vinyle ces dernières années. MOO connaît bien les avantages de l’objet tangible et nous sommes ravis de collaborer avec une société qui partage nos valeurs. Nous avons discuté avec eux de leurs modestes débuts et de la manière dont ils ont remis un vieux format musical au goût du jour.

La renaissance du vinyle

Jack White a fondé Third Man Records en 2001. À l’origine, l’objectif était simplement de ressortir d’anciens singles des White Stripes en vinyle. Le projet était audacieux pour une époque où le CD dominait les ventes. Jack White a réussi son pari. À mesure que les White Stripes gagnaient en renommée, les fans ont commencé à adhérer à l’idée de Jack White d’exhumer les vieux disques du groupe.

Third Man record store

On fait un bond vers 2009. Le vinyle avait acquis une telle popularité auprès des passionnés de musique que Third Man inaugurait son tout premier local en dur à Nashville, dans le Tennessee. Plus qu’un simple siège social, le lieu comportait aussi une salle de concert et un magasin de disques. Le label a récemment ouvert un autre bureau à Detroit, équipé d’une usine de pressage de disques.

Store Inside

Entre tradition et modernité

Tandis que la musique devient un phénomène de plus en plus numérique, Third Man s’est donné la mission de maintenir du concret dans l’expérience musicale : un disque, un livre ou encore un t-shirt. « Nous voulons faire vivre la musique hors ligne » témoigne Ryon Nishimori, directeur artistique de Third Man. « C’est agréable de jouer un disque du début à la fin et d’entendre toute la musique défiler. » Alors que l’expérience musicale numérique permet de jouer n’importe quelle chanson instantanément, le concept Third Man nous fait tendre l’oreille vers un autre temps, une autre façon d’écouter. « L’écoute sur vinyle respecte la façon dont la musique a été pensée. Le vinyle est le tout premier support d’enregistrement. Et si la première fois avait été la bonne ? »

Pour Ryon Nishimori, le format vinyle est le support idéal de tout directeur artistique. L’équipe interne de Third Man conçoit collectivement des pochettes de vinyles qui ravissent les collectionneurs et les fans de la marque. « Chaque album, chaque livre, chaque t-shirt est pensé comme un morceau de notre marque que nous diffusons à travers le monde. C’est pourquoi il est si important pour nous de maintenir un style cohérent sur tous nos supports. »

The venue at Third Man Records

Le numérique permet d’acheter et de lire instantanément la musique. Third Man cherche à reproduire ces avantages sur le format vinyle grâce à sa technique de gravure sur acétate. Les musiciens peuvent ainsi se produire sur la scène Third Man et enregistrer directement leur performance sur un disque vinyle. « Nous voulions faire le lien avec l’ère digitale en accélérant la technologie analogue, » explique Ryon Nishimori. Des artistes comme The Shins ou encore Neil Young ont enregistré ces LP gravés directement sur vinyle, qu’ils conservent désormais précieusement en souvenir de concerts improvisés. « De nos jours, les gens veulent les choses immédiatement. On essaye de s’adapter en proposant l’accord parfait entre tradition et modernité. »

Jack White détient d’ailleurs le record mondial de l’enregistrement le plus rapide avec son disque Lazaretto : Monté sur la scène de la Blue Room de Third Man Records à 10h, il a joué sa chanson qui a été enregistrée directement sur le vinyle. Le disque est passé à la production en utilisant des photos du concert puis à la presse pour produire des 45 tours. Le tout en quatre petites heures.

Un travail de passionné

Qu’est-ce qui fait tourner Third Man Records ? Selon Ryon Nishimori, ce sont les gens. « Les personnes qui travaillent à Third Man sont toutes passionnées de musique. Tout le monde participe et lance des idées. » Avec ses concerts hebdomadaires au QG de Third Man et un répertoire impressionnant de pointures du rock, du blues, et de la soul, pas étonnant que l’entreprise attire des employés passionnés.

BusinessCards

Third Man comprend l’importance de l’objet tangible et c’est pourquoi les Cartes de Visite des employés de l’entreprise reflètent la marque. « C’est en accord avec ce que nous représentons, » commente Ryon Nishimori. « Il faut bien que nous ayons aussi un objet concret pour communiquer nos coordonnées. »

BusinessCards2

Aux débuts du label, jack White et son co-fondateur Ben Blackwell avaient décidé que les intitulés de postes étaient inutiles, puisque l’entreprise ne comportait alors que quelques employés. Chaque employé choisit donc son propre intitulé. « Ça a démarré comme une blague à nos débuts, puis on a conservé la tradition à mesure qu’on s’est développé. », raconte Ryon Nishimori. « C’est la touche perso que les gens ajoutent à leur Carte de Visite. » Avec MOO Business Services, les employés Third Man se connectent sur leur propre plateforme pour commander leurs Cartes de Visite personnalisées à leur intitulé de poste.

Comme le précise Ryon Nishimori, « Les Cartes de Visite Third Man ont été conçues pour ressembler à la version moderne de vieilles cartes typographiées. » Ça leur va comme un gant, puisque c’est exactement ce que fait leur entreprise.


Racontez l’histoire de votre marque avec MOO Business Services

Chez MOO, nous aidons les entreprises à se faire remarquer partout dans le monde depuis plus de dix ans grâce à nos produits imprimés de qualité. Nos clients se sont développés, notre offre de services aussi. C’est pourquoi nous proposons désormais MOO Business Services aux entreprises de plus de dix employés. Ce sont les services MOO, avec des avantages supplémentaires. MOO Business Services met à votre disposition un gestionnaire de compte dédié, une plateforme de commande facile à utiliser et des services de design de qualité professionnelle. Cette offre tout-en-un permet aux entreprises de garder la main sur leur image de marque et d’en maintenir la cohérence. Vous économisez du temps, du stress et de l’argent.

Remplissez le formulaire ici et l’un de nos aimables gestionnaires de compte prendra contact avec vous.

L’illustrateur designer Tim Easley ne s’est pas toujours rêvé graphiste. Comment a-t-il réussi à aborder des clients comme Nike et Etsy ?

C’est un peu par hasard que la carrière de Tim Easley dans le design a été lancée. Disquaire dans les années 1990, Tim Easley s’est ensuite tourné vers le design et a élaboré un style très personnel, que l’on retrouve aussi bien dans ses projets personnels que dans les commandes de ses clients. Il décrit son travail comme un ensemble de « palettes vives et de lignes épaisses associées à des polices amusantes et des lettrages à la main. »

Influencé aussi bien par le kitsch urbain que la nature ou encore les néons, Tim Easley dispose d’un portefeuille de clients impressionnants, parmi lesquels Nike, BBC, Etsy et Disney. Comment est-il passé de disquaire à artiste pour Nike ? Et continue-t-il de développer cette impressionnante carrière de freelance depuis son canapé ?

Tim ! Comment avez-vous découvert le design et l’illustration ?

Je n’ai pas suivi des études de design. J’étais disquaire dans le sud de Londres à la fin des années 90 et nous n’avions pas les moyens de payer un designer, donc je me suis lancé tout seul. J’avais réalisé un très mauvais logo, j’ai essayé de créer un site et des Flyers.

Je travaillais à d’autres projets d’entreprise en parallèle, dont un site de vente de chaussures de sport dont j’ai aussi réalisé le design.

Quelques années plus tard, j’ai commencé à cherché des missions de design et des projets en indépendant. Je me suis rendu compte que c’était ce que je voulais faire. Je suis designer depuis six ou sept ans maintenant.

Pourquoi avez-vous lancé votre activité ?

Au cours de la période où je me suis mis à mon compte, j’ai travaillé en interne pour de grandes marques sur quelques projets, mais ça ne me convenait pas. Je préfère travailler à des horaires décalés. Je démarre souvent à midi pour finir à 22h. Mon travail demande beaucoup de réflexion. Dans un open space entouré de 200 personnes les yeux rivés sur leur écran, il est un peu difficile de mener ses recherches. Le statut d’indépendant me permet de travailler de la manière qui me convient.

Vous avez travaillé avec des clients incroyables. Qu’avez-vous fait pour développer votre portefeuille commercial à vos débuts ?

Nike a été l’un de mes premiers gros clients en 2012. L’équipe avait découvert mes travaux sur Tumblr. Ce n’est même pas moi qui avait publié mon travail ! J’ai reçu un email de la part de [Nike] disant que l’équipe avait repéré mon travail et voulait utiliser mon design sur un t-shirt.

Par ailleurs, Nike a beaucoup recours aux agences et un certain nombres de mes collaborations sont passées par ces agences, dans le cadre d’une campagne, par exemple. Cela dit, certaines agences me découvrent tout simplement par le biais des réseaux sociaux. Je publie beaucoup sur Instagram.

Vous avez travaillé un certain temps à Tokyo. Cela a-t-il influencé votre style ?

J’adore Tokyo, cela fait plusieurs fois que j’y vais. C’est une ville éblouissante. Il y a beaucoup de lumières, de néons, et cela a un côté un peu écrasant la première fois. J’adore les néons et la culture. Je considère que cette ville a eu une influence immense sur mon style et ma façon de travailler.

Expliquez-nous votre cheminement. Comment abordez-vous les mémos de vos clients ?

Quand je reçois un mémo, j’essaye d’obtenir autant d’infos que possible de la part du client. Ensuite, je réfléchis à ce que je vais produire.

J’arrive très bien à visualiser les choses, donc je suis en mesure de tout planifier dans ma tête, sur mon canapé ou dans mon lit. Il m’arrive même d’avoir des idées en dormant ! Ça serait génial si je pouvais encourager mon cerveau à faire ça plus souvent.

Selon si le projet est plutôt fluide ou très encadré, soit je commence par assembler des formes sur Illustrator, soit je réalise des esquisses. À ce moment-là, le client m’envoie ses commentaires et je modifie mon illustration ou bien je réalise davantage d’esquisses. Une fois que tout est finalisé, je réalise la version finale et je prépare les fichiers pour le client.

Vous travaillez depuis chez vous. Comment gérez-vous votre temps ? Avez-vous des conseils à donner aux artistes qui envisagent de travailler depuis chez eux ?

Je n’ai pas une routine à proprement parler. En revanche, je n’accepte qu’un seul travail à la fois. En général, tout se fait sur des durées très courtes. Il m’arrive de n’avoir que deux semaines pour travailler sur un projet. Je commence donc par travailler de manière frénétique, puis je m’arrête dès que je peux pour réfléchir à ce que j’ai fait, avant de démarrer le prochain projet.

Je pense qu’il est important de savoir comment on aime travailler. J’aime être à la maision et j’aime être distrait. Le dessin ne laisse pas toujours beaucoup de place à la pensée, donc j’aime bien avoir la télévision allumée ou écouter de la musique. C’est cela qui me convient, mais ce n’est pas fait pour tout le monde. Prenez le temps de vous connaître.

Ma copine a elle aussi sa propre entreprise, elle est DJ. Plusieurs fois par an, on s’assoit pour une réunion professionnelle. Nous discutons de nos ambitions pour le mois prochain, dans six mois et pour l’année prochaine et nous nous mettons d’accord sur des objectifs. Il est important d’avoir quelqu’un avec qui discuter de ce genre de choses.

Quel rôle jouent les réseaux sociaux dans votre carrière ?

Ils ont joué un grand rôle dans ma carrière jusqu’à présent. Comme je l’ai dit, Nike m’a repéré sur Tumblr et actuellement, nombre des commandes que je reçois me viennent d’Instagram. Certains clients s’adressent même à moi directement sur le réseau plutôt que de m’envoyer un email.

Je me concentre de plus en plus sur Instagram, Behance et mon site. Il y a tant de réseaux sociaux de nos jours que l’on peut facilement se perdre et finir par disperser son travail et sa présence en ligne si l’on essaye d’être sur tous les fronts. Sans oublier la masse de travail que la gestion de tous ces sites représente !

Comment utilisez-vous les produits MOO ?

Si quelqu’un m’achète une création, j’ajoute toujours une Carte de Visite ou un Autocollant dans le colis. Sinon, j’ai tendance à être un peu bizarre quand il s’agit de mes Cartes de Visite. Je n’en donne pas beaucoup. J’adore créer des cartes. Je prends beaucoup de photos de mes cartes, que je publie ensuite sur les réseaux. Je ne sors pas souvent en clientèle, donc le fait de créer des cartes et de les mettre en ligne est une autre façon de diffuser mes coordonnées et mes designs.

J’ai créé des cartes pour ma copine : elle rencontre toujours du monde donc les Cartes de Visite ont de l’importance pour elle. Quand elle les distribue, les gens lui demandent s’ils peuvent en prendre plusieurs. C’est exactement le but recherché et cela correspond parfaitement à ce que je veux faire : créer des choses qu’on ait envie de garder.

Quels sont vos conseils aux illustrateurs en herbe tentés de se lancer ?

Choisissez un réseau social qui vous convient le mieux et représente le mieux votre travail et exploitez ce réseau. Il est inutile de se disperser sur tous les sites pour se faire remarquer.

Créer vos propres Cartes de Visite

Nos clients sont créatifs, inventifs et ne manquent pas de génie : 3 illustrateurs de talent nous ont raconté leur histoire et celle de leurs jolis designs

Pop art survolté ou illustrations féériques inspirées de la forêt : ces trois illustrateurs ont attiré notre attention. Ils ont fait de leurs supports de marque des mini créations à offrir à leurs clients.

Ian Viggars

Illustrateur, peintre et designer, Ian « crée des travaux qui relèvent d’un pop art coloré. » Avant de devenir freelance, Ian jonglait entre les boulots alimentaires. La peinture et le dessin n’étaient alors que des loisirs pour lui. Désireux de vendre son travail, il s’est jeté à l’eau en créant sa boutique en ligne. Ian a d’abord vendu quelques peintures et a rapidement étendu sa gamme de produits. Il travaille désormais en indépendant sur des projets d’illustration et de design et a créé sa toute première peinture murale l’an dernier à Londres, dans le quartier de Stoke Newington.

  • Ian Viggars illustration
  • Ian Viggars mural

Si Ian adore les graphistes contemporains comme Kate Moross et Aaron James Draplin, son inspiration lui vient d’abord des premiers représentants du pop art : Roy Lichtenstein, Andy Warhol et Patrick Caulfield. Ian considère aussi que le style d’animation des Simpsons l’a influencé, parce qu’il a passé « la majeure partie de sa vie devant cette série. »

  • Ian Viggars business cards
  • Ian Viggars pin card

Pour ajouter une touche d’originalité à ses colis, Ian a créé des Autocollants. Il rédige un message de remerciement au dos de la plaque d’Autocollants et « espère que [son] client utilisera l’Autocollant ». Ian a également créé des cartes qui servent de support à ses pins en émail : « ces designs sont plus épurés car ils sont avant tout là pour mettre le pins en avant. La carte est d’une épaisseur idéale pour y accrocher un badge et les couleurs ressortent très bien, comme une minigravure ! » Les clients de Ian adorent ses produits. Ils « prennent souvent leur colis et leur Autocollant en photo ! »

Créez vos propres Autocollants de remerciement

Chloe Jasmine Illustration

Depuis son studio de Sydney, Chloe crée des illustrations féériques et forestières à l’encre et à l’aquarelle. Elle prépare en ce moment son premier livre pour enfants avec la maison d’édition Walker et tient une boutique Etsy sur laquelle elle vend ses propres Cartes de Voeux et impressions réalisées à la main. Avant de se lancer en tant qu’illustratrice, Chloe a étudié les beaux-arts à la National Art School, en se spécialisant dans la gravure.

  • Chloe Jasmine animal illustrations
  • Chloe Jasmine illustration art
  • Chloe Jasmine illustration
  • Chloe Jasmine art
  • Chloe Jasmine artwork
  • Art by Chloe Jasmine

Chloe aime trouver de la beauté dans les petites choses de la vie. La nature est un leitmotiv dans ses travaux et son style reflète son amour pour le grand air et les petits animaux qu’elle rencontre. « J’ai la chance de vivre près de l’océan. Quand je ne suis pas dans mon atelier, je me promène au bord de la mer pour me vider la tête et rêver à de nouvelles idées. »

  • Chloe Jasmine illustration business cards
  • Chloe Jasmine illustrated business cards with rounded corners
  • Watercolors and postcards by Chloe Jasmine
  • Chloe Jasmine business card
  • Chloe Jasmine mini stickers
  • Chloe Jasmine stickers

Après avoir cherché quelque chose qui soit à la fois abordable, esthétique et professionnel à ajouter à ses commandes Etsy, Chloe a décidé de créer des Cartes de Visite. Elle a adoré la possibilité de créer ses designs et de les importer sur des modèles vides. Chloe a imprimé ses cartes sur papier Classique avec finition Mate : « L’impression est d’excellente qualité et les couleurs très précises. Le papier est très robuste et la finition mate empêche que la carte se salisse ou s’abîme. J’ai toujours quelques cartes à portée de main, dans mon sac ou mon portefeuille, où que j’aille ! »

Créez des Cartes de Visite à ajouter à vos colis

Noe Onoff

Originaire des Canaries, Noelia est illustratrice autodidacte au Texas. Sous le pseudonyme Noe Onoff, elle crée des produits de papeterie et de décoration « conçus pour inspirer ». Avant de lancer son activité, Noelia était violoncelliste et prof de musique. Si elle adore la musique, elle a eu besoin de laisser sa créativité s’exprimer. Noelia a donc commencé à dessiner pour s’amuser, mais cette passion est rapidement devenue une activité professionnelle à plein temps.

  • Noe Onoff illustration
  • Noe Onoff art
  • Noe Onoff chicken home illustration

Elle s’inspire de la musique, des histoires, des films et des réseaux sociaux : « le bruit de la pluie, mon musicien préféré, les mots d’un audiobook ou les feuilles lors de ma promenade matinale. » « L’inspiration est partout, ajoute-t-elle. Il suffit de savoir ouvrir les yeux. » Noelia aime aussi discuter avec d’autres créatifs pour échanger des idées et montrer son travail.

  • Noe Onoff illustrated business cards
  • Noe Onoff business card front and back

C’est le papier Classique avec finition Mate qui a séduit Noelia pour ses cartes. Elle voulait un format qui lui permette de se présenter à des clients potentiels tout en montrant sa passion pour l’illustration : « Mes cartes sont magnifiques, professionnelles et l’impression est de grande qualité. Mes clients aussi les adorent et me demande toujours où je les ai commandées. »

Présentez-vous avec élégance. Créez des Cartes de Visite

De la liste toute bête au très chic tableau de Kanban, nos techniques d’organisation raviront les créatifs qui veulent exploiter pleinement leurs capacités...

 

1. Établissez vos priorités selon la méthode Ivy Lee

L’expert en gestion du temps James Clear considère la méthode Ivy Lee comme « la routine journalière recommandée par les experts pour atteindre la meilleure productivité ». Pour nous, cette méthode est surtout la technique à 400 000 $. Pourquoi ? Ivy Lee, fondateur de cette méthode, l’a enseignée à un groupe de dirigeants en 1918. Il leur a demandé de lui verser la somme que valait cette méthode selon eux. Trois mois plus tard, Ivy Lee encaissait un chèque de 25 000 $ (l’équivalent de 400 000 $ de nos jours). Voici en quoi consiste cette idée plutôt rentable :

  1. Notez les six tâches les plus importantes que vous devez accomplir demain.
  2. Hiérarchisez ces tâches.
  3. Travaillez à la première tâche jusqu’à ce que celle-ci soit terminée. Ensuite, passez à la tâche suivante.
  4. À la fin de la journée, transférez les tâches inachevées vers la nouvelle liste de tâches du lendemain.
  5. Répétez cette procédure d’un jour à l’autre.

James Clear a une théorie sur ce qui rend cette méthode efficace : elle est simple, pousse à prioriser et facilite l’identification de chaque tâche. Et voilà. Vous maîtrisez l’art de la liste.

 

2. Cédez à la tendance du Bullet Journalling (le Journal à puces)

Le Journal à puces a beaucoup fait parler de lui sur le web lorsqu’il a vu le jour en 2015. C’est l’une des méthodes de productivité les plus impressionnantes que nous ayons rencontrées (et c’est une méthode qui rend très bien sur Instagram). Des millions de personnes s’accordent à dire qu’il s’agit de l’un des systèmes les plus souples et les plus efficaces pour être productif. Elles ne peuvent pas toutes avoir tort, n’est-ce pas ?

Cette méthode ne requiert qu’un stylo, un carnet et (si vous êtes quelqu’un de soigné) une règle. Chaque page comporte un thème et une liste à puces de projets, d’événements, de notes et d’idées. Vous dressez vos listes en fonction de vos priorités, en différenciant les divers éléments à l’aide d’un système de symboles. Vous pouvez ajouter vos propres symboles aux symboles standards prévus par le système, afin de disposer d’un journal sur-mesure.

Le Journal à puces est à la fois un journal et un outil de planification. Vous pouvez aussi bien y noter un événement à venir (un anniversaire, par exemple) qu’enregistrer une date importante (par exemple, votre toute première vente à un client en ligne).

Nous savons ce que vous pensez. Vous allez devoir vous offrir un Carnet de Notes flambant neuf pour créer votre journal à puces. N’est-ce pas ? Heureusement, nous avons tout prévu. Ne cherchez plus : découvrez le petit dernier de notre belle famille de Carnets de Notes.

  • Timothy Goodman notebooks
  • Timothy Goodman notebooks
  • Timothy Goodman notebook
  • Timothy Goodman notebooks

Créé par Timothy Goodman, ce Carnet de Notes déjanté porte la marque distinctive de l’artiste en lettres argentées : « meetings kill creativity » [la réunion tue la créativité]. Avec 160 pages de papier Munken Kristall, conçu pour être posé à plat, il est aussi pratique qu’esthétique. Mais dépêchez-vous, ce Carnet de Note est en édition limitée !

  • Timothy Goodman notebook cover detail
  • Timothy Goodman notebook with yellow central pages
  • Timothy Goodman notebook detail

 

3. Programmez-vous avec des checklists

Nos vies sont remplies de tâches complexes que nous autres humains faillibles avons du mal à réaliser : configurer l’imprimante, préparer un dîner pour deux, etc. Atal Guwande est chirurgien, profession qui ne laisse aucune place à l’erreur. Il conseille de recourir aux listes de choses à faire pour mener correctement à bien des tâches de routine avec un effort minimum. En rédigeant une marche à suivre détaillée, vous vous assurez que rien n’est oublié ou mal fait, sans vous fatiguer à réfléchir à ce qu’il vous reste à faire.

 

4. Suivez vos progrès grâce à la méthode Kanban

Derrière un nom intimidant, le tableau de Kanban cache une idée toute simple. Il s’agit de trois catégories : à faire, en cours, terminé. Au départ, toutes les tâches sont réunies dans la colonne « à faire ». Vous déplacez ensuite les tâches dans le tableau à mesure que vous progressez dans votre liste.

D’abord utilisé dans le développement de logiciels, le tableau de Kanban existe en version virtuelle dans des applis comme Trello. Vous pouvez aussi épingler vos tâches sur un vrai tableau ou un mur. Votre tableau peut être aussi simple ou aussi déjanté que vous le souhaitez. Vous aimez les codes couleurs ? Faites-vous plaisir. Vous avez un vieux paquet de post-its un peu kitch dans un tiroir ? C’est le moment de vous en servir !

Comme le fait remarquer Andrew Kunesh sur le site Zapier, « la méthode Kanban est parfaite pour les équipes et pour les personnes qui aiment avoir une vision complète. Grâce à cette méthode, vous aurez toutes vos tâches, dates d’échéance et progressions sous les yeux. Plus rien ne pourra vous empêcher de vous concentrer. »

 

5. Arrêtez de procrastiner grâce au Principe de Pareto

Également connu sous le nom de loi des 80-20, le Principe de Pareto stipule qu’environ 80 % des résultats proviennent de seulement 20 % des efforts. En d’autres termes, cela signifie que la majeure partie des progrès accomplis proviennent uniquement de quelques actions. Même si vous êtes à votre bureau pendant 8 heures, vous abattez la majorité de votre journée de travail en moins de deux heures.

En s’appuyant sur ce principe, le Harvard Business Review conseille de noter les 6 priorités du jour et de rayer les 5 dernières. Ensuite, concentrez-vous sur la première priorité pendant 90 minutes d’affilée. Si vous vous retrouvé happé par un lolcat, notez à nouveau la tâche sur la liste et concentrez-vous de nouveau.

Une fois que vous aurez rempli votre objectif le plus important, vous pourrez (en théorie, du moins) passer le reste de votre journée à accomplir les tâches qui passent d’habitude à la trappe. Ou tout simplement à regarder des vidéos de chats. C’est vous qui voyez.

À la recherche d’un nouveau carnet pour vous organiser ? N’oubliez pas de vous offrir le très exclusif Carnet de Notes Timothy Goodman en édition limitée avant qu’il ne soit trop tard !