En fin d’année, vos clients restent votre priorité : voici pourquoi
La période des Fêtes est traditionnellement chargée : négociations commerciales, rédaction de rapports annuels, commandes de cadeaux pour les enfants et la famille… Au milieu de cette joyeuse agitation, un groupe est souvent oublié : vos propres clients. Pourtant, il existe quelques manières simples et efficaces de penser à eux.
Sortez du lot avec une note manuscrite
Recevoir une carte par la poste est toujours un peu spécial. C’est la preuve que quelqu’un a pris le temps de choisir une carte, d’écrire un mot, de retrouver votre adresse, d’acheter un timbre et d’aller poster le tout. À notre époque, ce n’est pas une mince affaire. Essayez, et vous vous ferez à coup sûr remarquer.
Les notes manuscrites ne vous placent pas seulement parmi une élite de rédacteurs de cartes, elles favorisent la satisfaction des clients et leur rétention. C’est ce qu’explique Matt White, directeur commercial chez Bond, dans une interview pour Loyalty360 : “ Comment expliquer qu’à une époque où les gens prêtent quasiment aussi peu d’attention au newsletters qu’aux bannières publicitaires, les notes manuscrites continuent d’être lues dans presque 100 % des cas ? C’est simple, nous avons besoin de donner du sens à notre relation au monde qui nous entoure, et c’est ce que les notes manuscrites, par l’investissement qu’elles représentent, permettent de faire.
Alors, bien sûr, vous n’allez peut-être pas recevoir de réponse. Vous aurez du mal à savoir qui a ouvert votre lettre et passé commande en conséquence. Mais c’est Noël, profitez-en pour expérimenter sans rien attendre en retour. Vous n’avez rien à perdre, si ce n’est un peu de temps et le prix d’un timbre.
Jouez la carte de la fidélité
Les Fêtes sont un moment propice à la réflexion. Vous célébrez vos succès, réfléchissez à vos difficultés et repensez à l’engagement de vos clients avec votre marque tout au long de l’année.
En envoyant quelques questions à vos clients à chaque fin d’année, vous leur rappellerez aussi leur attachement à votre entreprise. Encore mieux si vous leur offrez une carte cadeaux ou un code promotionnel pour récompenser leur fidélité. Ils le méritent bien. Après tout, ce sont eux qui vous soutiennent tout au long de l’année.
Le cadeau idéal : vos futurs produits
Votre e-mail de vœux/de fin d’année est aussi une belle occasion de donner un aperçu des produits qui attendront vos clients l’année prochaine. Vous avez une nouvelle collection en préparation ? Vous lancez bientôt de nouvelles fonctionnalités ? Faites le savoir ! Ensuite, gardez un œil sur les réponses que vous recevez. Spoiler : ce seront sûrement les premiers clients à qui faire une démo produit dans les semaines à venir.
Quelles sont leurs résolutions ?
Cet e-mail, c’est aussi l’opportunité d’en apprendre un peu plus sur les projets professionnels de vos clients — en leur posant simplement la question. Vous serez plus à même d’adapter votre offre à leurs besoins si vous connaissez bien leurs objectifs. Eux-mêmes vous en seront reconnaissants, et vous éviterez peut-être de développer un produit qui ne rencontrerait pas son public. Au final, tout le monde est gagnant.
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Nous savons combien un Carnet de Notes est essentiel à tout entrepreneur qui se respecte. Nous avons donc créé une gamme de carnets ludique, élégante et fonctionnelle. Parfaits pour vos journaux, les notes de votre prochain roman, vos gribouillis ou vos croquis.
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Et comme si vous n’aviez pas suffisamment de mal à en choisir un, vous avez aussi le choix entre des pages lignées, à points ou vierges. Choisissez le style de page qui correspond à votre façon de travailler : dessin, écriture ou les deux.
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Comme tous nos Carnets de Notes, il est en magnifique papier suédois Munken Kristall, un vrai plaisir à l’écriture. Les pages lignées sont idéales pour vos listes de courses ou les notes de votre prochain roman.
Ce n’est pas tout ! Les pages vierges de la séparation centrale sont en papier plus épais encore, de couleur différente, pour vos croquis ou vos grandes idées… Nous, on adore.
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Rien ne vaut le bonheur de recevoir un paquet longtemps attendu, à plus forte raison si l’emballage va faire des émules sur Instagram !
Ces trois artistes envoient les commandes de leurs clients dans de magnifiques paquets. Autocollants à gogo, Cartes Postales à instagrammer… Nous avons été conquis par ces petits souvenirs avant même d’avoir ouvert le paquet. Inspirez-vous des conseils de ces artistes pour faire revivre à vos clients la joie des matins de Noël, toute l’année.
Laura Mitchell
Installée à Minneapolis, Laura Mitchell travaille à plein temps à la conception et à la direction artistique de livres pour enfants auprès d’une maison d’édition. Avant de découvrir l’édition, elle travaillait dans une galerie d’art, où elle appréciait particulièrement l’opportunité de collaborer avec des artistes du monde entier. Laura Mitchell jongle désormais entre son travail salarié et son activité de designer et illustratrice indépendante. Elle a récemment créé sa propre boutique Etsy, où elle vend ses impressions abstraites et animalières.
Très influencée par les artistes et les illustrateurs avec qui elle a travaillé par le passé, elle puise aussi son inspiration dans les réseaux sociaux, notamment Instagram et Pinterest : « Je suis toujours étonnée de la diversité des travaux. Quand on croit avoir vu tous les styles, une nouvelle personne surgit dans le fil d’actualité avec un style unique et novateur ! »
Laura Mitchell a créé des Autocollants et des Cartes de Visite à partir de ses propres designs. Elle voulait créer des « supports de marque » à ajouter aux emballages de ses impressions. Pour elle, ses produits imprimés constituaient le « support idéal » pour montrer d’autres créations. Elle referme donc l’emballage de chaque illustration imprimée d’un Autocollant : « J’adore le fait qu’ils tiennent longtemps. Ils ont la taille idéale pour associer une petite illustration et l’URL de mon site. Tous mes clients les apprécient et font remarquer que les Autocollants ajoutent quelque chose à mes paquets. Qui n’aime pas les Autocollants ? »
Créez vos propres Autocollants de marque
Holly Young
Holly Young crée des œuvres d’art abstrait en Ontario, au Canada. Elle a toujours été créative : quand elle était petite, elle adorait dessiner des maisons et redécorer sa chambre. Après avoir fait les beaux-arts à Brock University, Holly Young s’est tournée vers la décoration d’intérieur. Elle travaille désormais depuis chez elle, ce qui lui permet de peindre quand elle veut et de « remplir [sa] tasse de thé quand ça [lui] chante. »
Holly Young est passionnée de brocantes, de design des années 1950 et de décoration vintage. Elle adore « explorer la ville, feuilleter de bons livres ou magazines de design et découvrir de nouvelles combinaisons de couleur. » Ses peintures sont très spontanées et sont inspirées de son environnement quotidien. Son travail se « caractérise principalement par une recherche de texture et de mouvement ». Elle est fascinée par « l’esthétique du jeu entre la forme, l’espace et la couleur. »
Elle a créé des Cartes de Visite et des Cartes Postales, pour accompagner les commandes de ses clients d’un « souvenir personnalisé » : « ajouter une Carte Postale à chaque commande est une façon très simple pour moi d’ajouter une touche de couleur à mes paquets. J’ai la possibilité d’écrire un message de remerciements au verso et le client peut accrocher, voire encadrer la Carte Postale où il en a envie. Les cartes sont de très bonne qualité, solides, épaisses, et la couleur reproduit bien celle de la peinture originale. J’ai hâte d’épuiser mon paquet de cartes pour imprimer de nouveaux designs ! »
Surprenez vos clients avec des Cartes Postales personnalisées
Art by Megan
Megan est l’artiste à l’origine d’Art by Megan. Elle crée des œuvres abstraites et des illustrations à Brooklyn, dans l’État de New York. Bien qu’elle ait étudié les arts, Megan a d’abord hésité à se lancer en tant qu’artiste à plein temps. Après avoir obtenu son diplôme, elle a donc décidé de s’adonner à une autre de ses passions, les langues, en enseignant l’espagnol et le dessin. Au fil du temps, Megan s’est mise à peindre de plus en plus, tous les jours. C’est ainsi qu’il y a deux ans, elle s’est lancée en tant qu’artiste à plein temps.
Son travail reflète « une posture d’expérimentation et une curiosité pour la beauté qui émane de la transparence et de la superposition d’idées. » Parmi ses sources d’inspirations, les paysages aquatiques, les couchers de soleil, les couleurs vives de la nature et les silhouettes créées par la lumière ou l’ombre. Megan adore collectionner les souvenirs, qu’il s’agisse d’une scène de plage, de belles fleurs dans un sac de jute dans le métro ou une simple promenade dans la nature et en faire des peintures.
Elle a créé ses Autocollants pour « donner du punch » à ses emballages, « en ajoutant un peu de couleur » au paquet en kraft et ficelle. En plus d’ajouter un Autocollant sur chaque paquet, Megan tient à envoyer une Carte Postale de remerciement à chaque client. Elle a aussi créé des Cartes de Visite : « les gens sont dingues de mes cartes et se disputent pour choisir leur peinture préférée. Une fois, on m’a même demandé su mes Cartes de Visite étaient à vendre ! J’adore le fait qu’elles aident à engager la conversation et aident les gens à reconnaître mon produit et ma marque. C’est amusant de surprendre mes clients avec une petite attention, et c’est exactement ce que font mes Cartes de Visite, Cartes Postales et Autocollants ! »
Donnez du punch à vos paquets avec des Autocollants
Emma Block est l’une de nos premières collaborations. Dix ans après, nous lui avons demandé ce qu’elle est devenue et pourquoi il vaut parfois mieux éviter Instagram…
Le don d’Emma pour les aquarelles n’a rien de surprenant : la verve artistique est affaire de famille. Son bel atelier lumineux est décoré d’œuvres de ses proches (son mari, musicien jazz, ou encore son grand-père) qui accompagnent ses propres peintures vives et délicates.
La relation d’Emma avec MOO remonte à ses débuts. C’est l’une des premières artistes avec qui nous avons collaboré – elle avait alors conçu des MiniCards comportant ses illustrations. Dix ans plus tard, nous l’avons rencontrée chez elle à Londres pour savoir comment elle a trouvé son créneau entre illustration, livres, événements et ateliers de peinture.
Vous avez démarré votre carrière d’illustration en ligne. Comment avez-vous trouvé votre public ?
Je venais juste d’entrer au lycée quand je me suis lancée dans l’illustration. Je suis tombée très malade à l’adolescence et j’ai raté trois ans d’école. Mon blog était pour moi un bon moyen de parler aux autres. D’ailleurs, c’était ma seule façon de parler à des gens ! Même si j’étais malade, je pouvais bloguer depuis ma chambre. Il était extraordinaire d’entrer en contact avec des personnes partout dans le monde à travers mes œuvres. C’est bizarre parce que certains lecteurs me suivent depuis dix ans maintenant et achètent parfois une impression.
J’ai commencé à lancer des défis réguliers, comme les vendredis de l’illustration, un défi hebdomadaire. J’avais un nouveau thème chaque semaine, ce qui m’a vraiment encouragée à continuer.
Comment pensez-vous que votre illustration a changé depuis ?
Ces défis étaient parfaits pour me donner un thème à interpréter. Mes premiers travaux étaient beaucoup plus expérimentaux, probablement parce que je n’avais pas encore trouvé mon style. J’ai eu de très bons enseignants à l’école, qui m’ont encouragée à continuer à bloguer, à être sur Twitter et à repousser les limites de ce que je faisais. Je réalisais aussi des impressions sur tissu et des modèles en 3D.
Aujourd’hui, l’illustration est une discipline beaucoup plus visible, qui attire beaucoup plus de monde. Il y a de nouvelles branches de métier. Quand on vient d’obtenir son diplôme, on s’imagine travailler sur des livres, des Cartes de Voeux, des magazines, mais il y a bien d’autres débouchés : illustration en temps réel, packaging, illustration à grande échelle sur des fenêtres ou des murs.
Comment vos ateliers ont-ils vu le jour ?
C’est un nouveau projet, lancé il y a quelques années. Je ne pense pas que j’aurais eu la confiance en moi nécessaire pour le faire quand j’ai commencé. Mais c’est génial, j’adore enseigner. Et j’adore illustrer en temps réel. C’est drôle parce que, si j’aime travailler au calme depuis chez moi, je me laisse très facilement distraire. Je mets de la musique ou un podcast, mais si j’ai une idée, il faut que j’arrête l’enregistrement pour y réfléchir. Ce n’est qu’après que je peux remettre le son. Oui, je suis très facilement distraite !
Au contraire, en atelier ou lors d’un événement d’illustration, je crois que j’entre dans une sorte de bulle. C’est peut-être dû au fait que l’activité est très intense. On peint le portrait d’une personne qui se tient devant nous, en dix minutes. Il y a des gens qui vous regardent et en général, on fait ça pendant deux à trois heures sans s’arrêter.
Dans quel cadre illustrez-vous en temps réel ?
On m’invite à illustrer en temps réel lors d’événements promotionnels, manifestations de blogueurs, animations organisées par des grands magasins. Je viens de confirmer que j’illustrerai en temps réel dans le rayon enfants de Harrods. Je pense que ça va être adorable. En résumé, les occasions sont variées. Quand les gens voient ce que c’est et combien ça plaît, ils comprennent l’intérêt de la prestation. Instagram est un autre canal important. Beaucoup de projets me viennent d’Instagram.
Comment partagez-vous votre temps entre votre travail littéraire et les ateliers ?
Tout tourne autour de mes commandes d’illustration. C’est mon coeur de métier, mais j’ai beaucoup d’autres projets. Je tâche de ne pas animer plus de quatre ateliers par mois, je pilote ma propre boutique en ligne et, de temps en temps, j’illustre en temps réel. Concrètement, je regarde mon calendrier pour voir ce qui y rentre !
J’ai besoin de maintenir un équilibre entre le temps passé chez moi, dans mon atelier, et le temps passé en extérieur. Si je ne quitte pas mon atelier de la semaine, ça ne va pas. Mais si je sors tous les jours pour me rendre à des événements, je finis la semaine sans avoir réalisé aucune illustration digne de ce nom.
Qu’est-ce qui vous inspire ?
Je pense qu’il est intéressant de savoir ce qui se fait dans les arts. Instagram est à double tranchant, notamment lorsqu’on est novice : on peut se sentir paralysé par les belles créations des autres. On en vient à penser que tout à été fait et qu’on n’a rien d’original à dire. Même si j’adore l’esprit de communauté professionnelle et la possibilité d’être en contact avec d’autres illustrateurs, pour l’inspiration et mes nouveaux projets, je me tourne davantage vers les voyages, les musées, les galeries, les sorties à Londres. C’est cela qui inspire mon travail. Sur Instagram en revanche, c’est plutôt les couleurs. Je vois une photo ou une illustration dont la palette va m’interpeller et je vais me dire : « tiens, il faudrait que j’essaie ça ».
Quel serait votre conseil à quelqu’un qui se lance tout juste ?
Ce serait de toujours se rappeler que les personnes que vous voyez sur Instagram font leur travail depuis longtemps. Je fais ce travail depuis dix ans maintenant. Tout est dans la pratique ; il faut beaucoup s’entraîner et montrer son travail. Il faut du temps pour arriver à ses fins, trouver des clients, obtenir le travail que l’on veut. Mais persévérez, ne soyez pas intimidé.
C’est drôle que les personnes dont j’admirais le travail à mes débuts, dont j’imprimais le travail pour le coller dans mon carnet, soient désormais mes pairs. C’est très étrange, mais c’est une sensation agréable.
Vous avez aussi été approchée par des marques, en qualité d’influenceuse. Comment ça s’est produit ?
J’ai travaillé avec Polaroid et P&O sur des campagnes qui comportaient de l’illustration. P&O a été une expérience particulièrement agréable. Ils ont invité les gens à publier des photos de leurs vacances pendant deux semaines. Ensuite, ils ont élu un gagnant dont je peindrais une illustration reproduisant leur photo de vacances, à partager sur Instagram. C’était une campagne très gratifiante, qui faisait appel aux réseaux sociaux de façon intelligente et mettait l’illustration au cœur de l’attention.
J’ai aussi animé des ateliers pour des marques. J’ai récemment animé un atelier pour Oasis au Zoo de Londres, dans le cadre d’une collaboration. Le jour de l’événement, l’équipe d’Oasis avait pris un peu de retard, dont j’ai passé un peu de temps avec les gardiens et j’ai donné à mangé aux hippopotames nains.
Vous disposez d’un bel espace de travail à domicile. Quels sont vos conseils aux personnes en télétravail ?
J’essaie d’avoir un espace rangé ! Mon mari travaille aussi depuis la maison. Il est musicien jazz et il dispose de sa propre pièce remplie de guitares, de banjos et autres instruments de travail. Comme ça, c’est un espace séparé sur lequel on peut fermer la porte. Je pense qu’il faut se connaître et savoir comment on travaille. Je connais beaucoup de gens qui ont un studio et pour eux ça fonctionne. Mais je me connais : je suis bavarde, facilement distraite, donc je finirais par ne jamais travailler si je partageais un studio.
J’aime la tranquillité et le fait d’avoir mon propre espace. À mes yeux il s’agit simplement de savoir comment on aime travailler. Je programme mes pauses, je sors à la Poste ou prendre un café. J’ai des horaires très souples, car mon mari travaille à des heures peu orthodoxes. Il rentre du travail à minuit ou à une heure du matin. Souvent, on passe la matinée ensemble, puis je travaille après le déjeuner jusqu’à tard le soir.
De plus, comme j’enseigne souvent le weekend ou bien je me rends à des événements, nous essayons de prendre nos lundis. J’ai appris qu’il était important de programmer du temps libre.
À quoi vous servent vos Cartes de Visite MOO aujourd’hui ?
J’adore MOO car leurs produits répondent à la question qui suit toujours quand on annonce que l’on est illustrateur, à savoir : « à quoi ressemble votre travail ? », parce que j’ai vraiment du mal à décrire ce que je fais. Il est beaucoup plus facile pour moi de dire : « eh bien, ça ressemble à ça », en sortant mes Cartes de Visite. C’est comme un mini portfolio.
Quel est votre prochain projet ?
Je viens de terminer un livre, Comment peindre des aquarelles. C’est un rêve qui se réalise. L’idée m’est venue l’été dernier. J’ai pensé qu’il manquait un bon manuel d’aquarelles, moderne et coloré, sur le marché. J’ai donc contacté des éditeurs et obtenu un contrat au début de cette année. J’y ai travaillé tout l’été et je me suis éclatée sur ce projet. Le livre sort en août 2018.
Lorsqu’on associe les plaisirs de la typographie à nos incroyables Cartes de Visite, il va sans dire que l’on tient une combinaison gagnante !
Dans cet article, trois de nos merveilleux clients ont partagé avec nous leurs jolis designs, levant le voile sur ce qui les a inspirés. Préparez-vous à découvrir des Cartes Luxe à l’esthétique très haut de gamme, des Cartes Coton que les clients s’arrachent et des Cartes Vernis Sélectif avec Relief qui ne passent pas inaperçues. Ces designs vous donneront envie de commander de nouvelles cartes… Si elles ne vous ont pas complètement hypnotisé !
Wit And Co.
Spécialisée dans la calligraphie et la typographie, Whitney Anderson est graphiste à Milwaukee, dans l’État du Wisconsin. En 2016, elle a créé Wit And Co. son studio de design où ses créations personnelles prennent vie. Passionnée de papeterie depuis toujours, elle crée désormais ses propres Cartes de Vœux, estampes, bloc-notes, pins en émail et bandanas. Le but étant que ses créations plaisent autant que possible. Elle reçoit par ailleurs des commandes d’illustration et de lettrages pour le compte de marques et d’entreprises, ainsi que des projets de design, branding et packaging en freelance.
Whitney Anderson s’inspire beaucoup des magasins d’antiquités. Elle adore regarder la typographie et les illustrations des vieux emballages, publicités et tout particulièrement des vieilles pochettes d’allumettes. « Mes créations font souvent référence aux allumettes, tout simplement parce que j’aime l’esthétique de cet univers : je possède une immense collection de vieilles pochettes et boîtes d’allumettes, qui sont mes sources d’inspiration. »
On retrouve cet attrait pour les boîtes d’allumettes dans ses Cartes de Visite. Whitney Anderson voulait créer quelque chose de ludique que les gens auraient envie de garder, tout en montrant l’étendue de son talent et de ses compétences. « Bien sûr, l’illustration est tirée d’une pochette d’allumettes, mais plutôt que de remplir des boîtes d’allumettes, je les ai remplies de mini crayons, mon outil de travail ! Le papier Luxe a un effet très haut de gamme. J’adore son épaisseur et sa texture, qui garantissent une excellente première impression ! Mes cartes comportent toutes les informations nécessaires. J’ai eu la possibilité d’imprimer plusieurs designs au recto, ce qui est super, car je n’arrivais pas à me décider. Bref, je suis ravie du résultat »
Laisser une première impression sans pareille avec le papier Luxe
DesignerMike
Connu sous le nom de DesignerMike, Michael Lopez est graphiste et calligraphe à Toronto. Il aide les entrepreneurs à faire fleurir leur activité en créant des identités visuelles « distinctes, élégantes et suffisamment adaptables pour évoluer avec l’entreprise. » Il se spécialise dans le lettrage à la main et la direction artistique pour le marketing de marque, la publicité, les enseignes, le packaging, le marquage, le design textile, l’édition et les contenus numériques. Avant de devenir designer, Mike Lopez a d’abord travaillé pour un éditeur de bande dessiné. C’est là qu’il a approfondi ses techniques d’illustration et sa maîtrise de Photoshop, au service des meilleurs illustrateurs de BD et artistes numériques en couleur du marché.
Il s’inspire avant tout du quotidien : « Dès que je sors de chez moi, je remarque des styles et des formes d’enseignes, de graphismes et de polices intéressantes. » De retour à son studio, il aime s’entourer de « livres spécialisés dans l’art et le design, un bon café et une musique de fond. » Au fil des années, Mike Lopez a appris que la meilleure manière de rester inspiré est « de créer sans cesse ». Lorsqu’il sèche, il « [reprend] les bases en copiant des alphabets, en apprenant une nouvelle technique ou en essayant de nouveaux supports et de nouveaux styles. »
Pour ses cartes, Michael Lopez souhaitait avant tout créer quelque chose de « facile à partager » tout en montrant son « style d’écriture personnel ». Il savait qu’il voulait intégrer une esperluette, car c’est sa « ligature préférée » et qu’elle représente bien sa vision du design : « il s’agit d’apprécier et de prêter attention à la façon dont divers éléments fonctionnent à la fois indépendamment et comme un tout. » Il a imprimé ses designs sur le papier Coton, parce qu’il voulait une « carte robuste à la texture naturelle » et a « adoré le fait que le papier soit à base de t-shirts recyclé ». « En général, les gens en prennent une, la regardent, passent le doigt dessus, la retournent et demandent s’ils peuvent en avoir deux. »
Épatez vos clients avec le papier Coton
Magenta&Green
Après avoir obtenu son diplôme de graphisme, Jo Drayton a travaillé pour plusieurs studios et agences sur des projets touche-à-tout, allant de la création de site web à la publication de magazine. Avec le temps, elle a accepté un poste de chef de projets chargée de compte, mais le design lui a vite manqué. Elle dirige donc maintenant son propre studio de conseil et de design à Toronto, Magenta & Green, qui lui permet de laisser libre cours à sa passion pour la typographie et l’impression. Jo Drayton travaille sur des projets de calligraphie, d’impression classique, de peintures murales, de peinture d’enseignes en émail et de packaging.
Les murs de son studio, son sac à main et son iPhone témoignent de ses sources d’inspiration : « J’ai tendance à mettre la main sur tout ce qui me parle, des sous-verres aux emballages en passant par les estampes et les menus de restaurant. Heureusement, j’ai aussi commencé à prendre des clichés de belles choses que je vois, parce que ça prend moins de place ! » Lorsqu’elle recherche de l’inspiration pour un projet particulier, Jo Drayton commence par « fouiller dans les piles pour retrouver des éléments clés » Et ça peut être n’importe quoi : « un type de papier ou une dorure, une enseigne que j’ai vue en voyage ou un stylo que j’ai acheté à la boutique d’art. »
Lorsqu’elle travaille sur des projets à l’impression, elle commence toujours par considérer la texture : « Nous sommes devenus si obsédés par le numérique que nous oublions parfois que notre travail fournit une expérience multisensorielle. » Les Cartes de Visite font partie intégrante de la stratégie de marque de Jo Drayton : « on me demande encore des Cartes de Visite et il n’y a rien de mieux que de pouvoir donner quelque chose qui me représente et qui montre ce que je fais, et de recevoir en retour un petit signe d’acquiescement. En tant que designer, je veux que les gens aient confiance en ma marque. Mes cartes doivent donc me représenter. La finition Soft Touch m’a apporté la texture que j’attendais et le Vernis Sélectif avec Relief attire l’attention sur mon logotype :les gens passent le doigt dessus et jouent avec les reflets de la lumière. Certains clients n’avaient probablement pas besoin d’une de mes cartes, mais ils m’en ont tout de même pris une, pour la garder ou, j’espère, pour la donner à quelqu’un d’autre. »