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4 idées marketing sur les réseaux, au-delà d’Instagram

Person looking at website

Variez les plaisirs ! Voici quelques stratégies méconnues sur les réseaux sociaux qui vous aideront à promouvoir votre petite entreprise.

 

1. Cultivez votre côté old school sur les forums

Avant Facebook et même avant Google, on sociabilisait sur Internet via les forums, des espaces de discussion électroniques dédiés à des centres d’intérêts, des endroits ou une tranche d’âge, organisés en sujets et en fils de discussion. Aujourd’hui encore, on retrouve ces forums sur des sites comme Doctissimo.

En tant qu’entreprise sur les forums, il est essentiel de vous présenter comme un professionnel en bonne et due forme, avec une voix humaine, plutôt qu’un compte promotionnel. Vous devez aussi être stratégique dans le développement de votre présence. L’une des voies possibles est de cibler votre marché en identifiant un ou deux forums qui correspondent bien à votre marque et à vos produits. Une autre approche consiste à multiplier les forums en vous concentrant sur les sujets qui vous concernent. Pour cela, vous pouvez recourir à un outil comme Boardreader, moteur de recherche spécialisé dans les forums.

2. Trouvez votre niche sur Reddit

Reddit est bien connu pour être particulièrement récalcitrant à la pub et au marketing. Pour autant, les internautes cyniques et avertis du réseau ont déjà été séduits par des grandes marques comme Amazon. En partenariat avec Nissan, Amazon avait demandé aux utilisateurs de mentionner l’achat le plus dingue qu’ils pourraient faire sur Amazon.com et envoyé à l’un d’entre eux une voiture neuve dans un paquet Amazon géant.

Vous n’avez pas de voiture à offrir ? Ne vous inquiétez pas. Votre statut de petite entreprise pourrait jouer en votre faveur sur Reddit, en vous donnant une image plus humaine et plus authentique qu’une multinationale. Le site fonctionne sur le principe de questions-réponses, ce qui est très pratique pour établir des relations et mettre en avant vos compétences et vos connaissances de professionnel. C’est d’autant plus le cas si vous avez des compétences pratiques en bricolage ou en cuisine. Si quelqu’un cherche des conseils dans votre domaine, intervenez et répondez à cette personne tout en faisant connaître votre marque.

3. Montrez vos atouts sur Behance

Appel à tous les designers : vous ne pouvez pas ignorer Behance. Il s’agit d’un réseau lancé par Adobe pour permettre aux artistes visuels et aux designers de faire leur promotion. Son avantage principal est de vous donner tout l’espace dont vous avez besoin pour vous exprimer, grâce à des portfolios en ligne et des galeries personnelles que les internautes peuvent facilement visionner et commenter. C’est également une incroyable source d’inspiration, car vous pouvez voir le travail d’autres artistes.

4. Exploitez les blogs et les chaînes vidéo

Tout comme les forums, les blogs sont une tradition du web antérieure à la plupart des réseaux sociaux. En commentant les publications et les vidéos, vous faîtes connaître votre entreprise auprès d’un nouveau public. Nombre de blogueurs et de YouTubeurs sont actifs depuis suffisamment longtemps pour avoir une portée immense, comme le démontre la tendance actuelle au marketing d’influenceur.

Comme sur les forums et sur Reddit, la règle d’or est de rester authentique et de vraiment apporter quelque chose à la conversation, plutôt que de bombarder des messages promotionnels. Montrez ce que vous valez mais ne le dites pas. En rédigeant régulièrement des commentaires intelligents et pertinents, vous vous faites connaître des blogueurs et de leur public. Cet article de SEOmoz propose 10 autres conseils pour faire du commentaire une stratégie marketing.

N’oubliez pas l’art ancestral du marketing hors ligne : utilisez nos jolis Flyers pour faire connaître votre petite entreprise.

Une image différente sur chaque carte ? Mille fois oui ! Inspirez-vous de ces incroyables designs .

Imprimez vos meilleurs travaux et emportez un mini portfolio dans votre poche, ou montrez vos produits phares partout où vous allez. Vous pouvez même vous montrer créatif en imprimant des badges ou des étiquettes pour votre prochain événement ou salon.

Avec Printfinity, imprimez un design différent sur chaque Carte de Visite, Carte Postale, Flyer ou Autocollant d’un même pack. Pas mal, non ? Il n’y a aucune option à sélectionner, aucun code secret à deviner. Il vous suffit de commencer à créer ! Mais avant de vous lancer, inspirez-vous de ces magnifiques designs de nos clients.

 

Nicole Mueller

Nicole Mueller est peintre et plasticienne, actuellement installée à San Francisco. Elle peint de grandes fresques abstraites et crée des collages colorés qui « célèbrent l’ordre, le chaos, le brouillage des frontières et le changement. » Nicole Mueller a toujours été artiste et entrepreneuse. Elle a travaillé comme muraliste, conseillère d’admission scolaire ainsi que d’autres fonctions dans les galeries et musées par le passé.  Elle se concentre actuellement sur la construction d’une carrière solide d’indépendante et anime un podcast intitulé Beyond the Studio, qui porte sur les métiers de l’art, en complément de son atelier.

  • Nicole Mueller artwork
  • Nicole Mueller postcards
  • Nicole Mueller postcards
  • Nicole Mueller postcards in various designs

Nicole a choisi trois peintures à grande échelle d’une de ses dernières séries, qu’elle a réduites pour les adapter au format de la Carte Postale. Elle a opté pour une finition Mate au recto, afin de pouvoir écrire des messages au verso : « J’ai la place d’écrire un petit mot, et je peux ajouter mon nom et l’adresse de mon site. J’adore avoir la possibilité d’ajouter une image différente au dos de chaque Carte Postale. Cela aide les gens à saisir la diversité de mon travail. »

  • Nicole Mueller postcard
  • Nicole Mueller postcard
  • Nicole Mueller postcard

Nicole se sert de ses Cartes Postales comme Cartes de Remerciements, qu’elle glisse dans les colis, en accompagnement de la peinture originale. « Je les adore, c’est comme des mini impressions. Je les expose dans mon atelier pour mes visiteurs et je les emmène toujours aux événements auxquels je participe – comme ça, les gens ont quelque chose à emporter. »

Créer des mini impressions sur Cartes Postales

 

By Anna Bay

Anne van den Berg est illustratrice aux Pays-Bas. Elle crée des « mondes minimalistes emprunts de douceur » à partir de papier et d’objets qu’elle trouve chez elle. Anna veut montrer que la douceur ne s’apparente pas à la faiblesse : « Il n’y a pas de joie sans vulnérabilité et les petites choses peuvent avoir de grandes répercussions. » Son goût pour les « petites choses », Anna le cultive depuis son plus jeune âge. « J’ai commencé par créer mes tampons, des habits de Barbie, des petites figurines d’argile et des mini collages. » Elle a par la suite étudié l’illustration à l’Académie d’art et de design St. Joost. C’est là que les choses ont pris de l’ampleur.

  • Anna Bay art in progress
  • Anna Bay art
  • Anna Bay bird artwork
  • Anna Bay seagull artwork
  • Anna Bay bike artwork
  • Anna Bay artwork
  • Anna Bay art

Après avoir terminé ses études, Anna a démarré son activité d’indépendante et continue de se concentrer sur les petits formats. « Ça me vient naturellement. J’adore le défi que représente le petit format. Les défauts sont sublimés et le design prend vie. Pour couronner le tout, la concentration que demande la conception d’objets minuscules me met dans un état méditatif, une joie pure et simple. Que demander de plus au travail ? »

  • Anna Bay business cards with examples of artworks
  • Anna Bay business cards in various designs
  • Anna Bay business card
  • Anna Bay business cards

Anna imprime un design différent sur chacune de ses Cartes de Visite : « J’ai toujours un portfolio de poche sur moi. Les gens choisissent leur image et ce faisant, ils se sentent impliqués et ont l’impression de recevoir un cadeau. Certains de mes contacts ont même commencé à collectionner mes Cartes de Visite ! Les gens sont toujours très enthousiastes quand je leur montre mes cartes et ils me demandent souvent d’où elles viennent. J’adore le papier mat Classique. Je l’ai choisi lors de ma première commande et désormais, c’est une tradition. »

Créez vos propres Cartes de Visite à collectionner

 

Gordon Leverton

Gordon est artiste en techniques mixtes à plein temps à Hamilton, en Ontario, « ancienne ville d’acier au cœur de la Rust Belt. » Après avoir travaillé des années dans l’industrie de la musique, Gordon à commencé à travailler de chez lui en vue de fonder une famille avec sa femme. C’est donc entre les biberons et les siestes que Gordon a démarré sa carrière artistique.

  • Gordon Leverton artwork
  • Gordon Leverton art

Pour Gordon, la création d’une peinture tient de la construction d’un édifice : « on commence par réfléchir à la composition, comme pour les fondations d’un bâtiment. Si la composition n’est pas bien pensée, le reste en pâtira. » Il aime « décomposer la ville en éléments constitutifs : les ombres, les bâtiments, le panorama urbain… Tout s’assemble sur un même plan comme les pièces d’un puzzle. »

Cette méthode se retrouve dans la façon dont Gordon a créé ses Cartes de Visite : « J’aime découper des bandes dans mes peintures et les associer dans de nouvelles compositions. » Printfinity joue un rôle clef dans l’impression de ses cartes. Il adore créer des « séries limitées de certains designs » et avoir la possibilité de « présenter [son] portfolio lors de salons ou d’événements. Les gens ont du mal à choisir un seul design. Je vais peut-être devoir commencer à les vendre ! », plaisante-t-il !

Créez votre propre portfolio de poche

Artiste, designer, adorable, Timothy s’inspire de tout : Kanye, ruptures… Nous lui avons demandé ce qu’il aime et pourquoi il voit dans le design un exercice, pas un métier.

Pour Timothy Goodman, routine est un gros mot. Il alterne entre la réalisation d’installations dans le monde entier et les périodes de travail dans son atelier à domicile, à New York City. Cet emploi du temps chargé doit aussi tenir compte des réunions avec les clients et de ces fameux coups de fils impromptus qui vous font passer la nuit sur un projet. Mais Timothy apprécie cette vie professionnelle variée qu’il s’est constitué. « Ça change tout le temps », raconte-t-il « Et j’adore ça. »

La réunion, c’est la mort de la créativité

C’est cette fébrilité qui a inspiré notre dernière collaboration. Timothy Goodman a conçu avec nous un Carnet de Notes en édition limitée auquel il a ajouté sa patte graphique, dont le texte sarcastique qui s’étale en lettres argentées sur la couverture est caractéristique : « meetings kill creativity » [« La réunion tue la créativité » ndlt].

Comme tout le monde, il reconnaît que, paradoxalement, ces rendez-vous interminables sont nécessaires. « En tant que créatif, je hais les réunions. Et pourtant, en tant qu’entrepreneur, je ne peux pas m’en passer. J’adore l’ironie qu’il peut y avoir à utiliser mon Carnet de Notes en pleine réunion. Je voulais en quelque sorte riposter par l’art. » Exactement le genre d’attitude qu’on apprécie.

  • Timothy Goodman notebook
  • Timothy Goodman notebooks
  • Timothy Goodman notebook cover detail
  • Timothy Goodman notebook with yellow central pages
  • Timothy Goodman notebook detail

Peindre des murs, puis peindre sur les murs

Contrairement à nombre de ses pairs, Timothy Goodman n’a démarré sa carrière ni dans les beaux-arts, ni dans le graphisme. C’est un tout autre genre de peinture qui l’a lancé. « Après avoir obtenu mon bac de justesse, j’ai commencé à bosser pour un type qui s’appelait Dave et qui avait une société de travaux de peinture et de rénovation à Cleveland, dans l’Ohio. Pendant trois ans, j’ai travaillé à plein temps comme peintre en bâtiments, à faire du faux-fini sur les murs. Je suivais des cours du soir à l’université de la commune. »

Cette expérience du grand format perdure dans une grande partie de son travail. Outre ses graphismes audacieux, ce sont ses fresques interrogatives qui ont fait la renommée mondiale de Timothy Goodman. « Par la suite, j’ai déménagé à New York pour étudier à la School of Visual Arts (SVA), une école de design. Après coup, j’ai réalisé combien j’apprécie la dimension physique de la fresque, et la possibilité de transformer un espace grâce à mon travail. »

Le passage des services commerciaux au travail créatif n’est pas une mince affaire. Nous avons demandé à Timothy comment il a réussi à opérer une telle transition. « Je crois beaucoup aux bienfaits des mentors. Je pense qu’il est crucial de trouver quelqu’un qui vous aide d’une façon qui vous apprend quelque chose de la vie. J’ai eu la chance de me nourrir de l’expérience de beaucoup de personnes au fil des années. Je dis toujours à mes étudiants d’SVA : préoccupez-vous moins de ce que vous voulez faire, et réfléchissez davantage à pour qui vous voulez travailler. » Timothy a aussi une autre opinion tranchée, celle que le design n’est pas un métier. Il persiste et signe : « Il faut envisager le graphisme comme un exercice, pas une profession. »

Le point de bascule

Il arrive qu’un seul projet suffise à faire basculer votre carrière. Pour Timothy, ce moment clé est survenu alors qu’il travaillait à plein temps chez Apple, à San Francisco. « Il y a six ans, j’ai pris la décision d’avoir davantage la main sur mon travail », raconte Timothy. « Tout a commencé quand on m’a proposé de réaliser une fresque pour l’Ace Hotel à New York. Je me suis enfermé dans la chambre d’hôtel pendant trois jours et je ne me suis pas arrêté. C’est ce projet qui a changé toute ma carrière. Je suis passé d’un graphisme plus traditionnel en branding à la création en indépendant de fresques et d’installations pour des clients partout dans le monde. »

Cette diversité de projets implique des influences très éclectiques : nous n’avions jamais travaillé avec quelqu’un dont la liste de sources d’inspiration était aussi longue. Il cite : « Les films, les documentaires, la politique, les biographies, la musique, Bob Dylan, Kanye, l’histoire du jazz et son influence sur l’identité américaine, les producteurs de l’industrie du disque, la NBA, écrire, voyager, les avions, tomber amoureux, avoir le cœur brisé, faire des erreurs. »

Où est-ce qu’on signe ?

Ce qui le fait vibrer

La passion, c’est un cliché dès qu’on parle d’un artiste. Mais il va de soi que derrière un tel tissu d’influences se cache une grande passion. Timothy est intimement convaincu de l’influence que peut avoir un bon design (quelque chose qui nous tient nous aussi à cœur). « J’ai appris que ma plus grande joie en tant que designer est la possibilité de toucher d’autres êtres humains à travers mon travail. », confie-t-il. « Je pense aussi que le fait de partager ses histoires personnelles est un acte militant. Je veux presser le citron et repousser autant que possible les limites de mon travail, sans me perdre dans la course au résultat ou les échecs qui font partie du chemin parcouru. »

Toutefois, quel que soit le projet, Timothy ne perd pas de vue son objectif principal : sa motivation. « J’essaye de réaliser des travaux qui me stimulent et qui touchent le public, » explique-t-il. « En tant que designers, nous avons la possibilité d’aborder des sujets qui n’ont pas encore été explorés. »

Comment réussit-il à créer quelque chose qui exprime une idée que le langage échoue à formuler ? En regardant les mots eux-mêmes. « J’ai toujours essayé de créer des projets d’abord motivés par une idée ou un contenu. J’ai toujours adoré écrire et au fil des années, j’ai fini par faire accepter que je signe mon travail, qu’il s’agisse d’une fresque pour une chaîne de supermarchés comme Target, mon livre Marker art pack, les réalisations pour Instagram comme mes séries Memories of a Girl I Never Knew ou encore des projets comme 40 Days of Dating et 12 Kinds of Kindness [non disponibles en français] avec mon associée Jessica Walsh. Tout mon travail est centré sur l’écriture et sur ma propre voix d’auteur. C’est aussi ce que j’ai fait pour le Carnet de Notes MOO. »

Qu’est-ce que Timothy nous réserve d’autre ? « J’adore mes clients et je veux continuer de travailler pour d’autres clients formidables, mais je veux aussi poursuivre des projets personnels solides, qui ont un intérêt pour moi et pour les autres. Mon amie Amélie Lamont et moi-même venons de lancer People of Craft, un annuaire de designers en ligne. Et je lance une collection de t-shirts et de sacs avec Uniqlo cet hiver, un projet qui m’enthousiasme beaucoup. » C’est le moment de trier nos armoires !

MOO X Timothy Goodman : le Carnet de Notes

Nous étions si heureux d’avoir la possibilité de travailler avec Timothy Goodman que nous étions aux anges que le plaisir soit partagé. « J’ai toujours été fan de MOO. J’ai commandé des Cartes Postales et des Cartes de Visite chez eux à plusieurs reprises. J’étais surexcité à l’idée de créer un Carnet en collaboration avec eux ! » Oh Timothy. Vous nous faites rougir.

  • Timothy Goodman notebook
  • Open Timothy Goodman notebook
  • Timothy Goodman notebooks with silver foil design
  • Timothy Goodman notebooks in cases
  • Timothy Goodman notebook
  • Timothy Goodman notebook

Vous le voulez, ce Carnet ? C’est par ici

 

Si vous jonglez entre 2 activités professionnelles, le temps vous est compté. Ces astuces vous permettront de tirer le meilleur de vos trajets quotidiens.

 

1. Développez vos compétences à l’aide d’un MOOC

Dans le métro, le bus, le tram ? C’est le moment rêvé pour suivre les cours d’un prof de Harvard. Allumez votre tablette, votre ordinateur portable ou votre smartphone et découvrez l’univers des MOOCs (Massive Open Online Courses). Proposés par les universités, écoles supérieures et autres établissements d’enseignement, les MOOCs constituent un genre d’enseignement à distance accessible à tous, parfois même gratuits.

Vous pouvez travailler à votre propre rythme, grâce à des conférences et vidéos préenregistrées. La plupart des MOOCs sont organisés en séries de modules, ce qui les rend idéaux à suivre lors de vos trajets réguliers. Découvrez des cours sur absolument tous les sujets, de la compta à la photo, sur Lynda.com, Coursera ou encore edx.org.

2. Devenez expert en podcast

Si vous vous rendez au travail en voiture, à pied ou si vous n’avez pas de place assise dans les transports, essayez donc les podcasts. Autrefois peu prisés, ils ont récemment envahi la culture populaire grâce à des créations addictives comme Serial. En 2008, moins de 1 000 nouveaux podcasts par mois apparaissaient sur iTunes, contre 6 000 en 2015, selon le sociologiste Josh Morgan. Comédie, débats, reportages, fiction, drame ou encore émissions spécialisées dans des domaines particulièrement geek : jeux vidéo, grammaire ou menuiserie.

Des applis comme Stitcher offrent une multitude de podcasts gratuits à découvrir sur votre smartphone. Certains services de streaming comme Spotify incluent des podcasts dans leurs offres d’abonnements. Vous n’avez même plus besoin de télécharger une appli pour les écouter.

3. Faites un peu d’exercice

Tonifiez votre corps et générez des endorphines, même dans une boîte à sardines ! Certes, vous aurez du mal à faire du cardio (à moins que les autres passagers soient particulièrement compréhensifs), mais vous pouvez toujours étirer ou solliciter certains groupes musculaires : ceinture abdominale, lombaires, pelvis ou encore vos jambes, et ce sans bouger. Voici douze exercices à faire en route sur Active Times.

4. Planifiez votre soirée de travail

Dès que vous êtes installés dans les transports, ouvrez votre Carnet de Notes ou votre appli de notes sur votre smartphone et planifiez votre soirée de travail. Non seulement c’est une excellente façon de clore votre journée et de vous concentrer, mais cela vous permet aussi de ne rien oublier une fois que vous avez passé la porte et que vous êtes en proie à mille et une distractions. Si vous manquez de temps, le journal à puces ou bullet journal est une bonne solution.

5. Créez votre palais mental

Si vous faites le même trajet tous les jours, vous pouvez vous en servir comme les fondations de votre palais mental. C’est une technique qui remonte à l’antiquité romaine. Bien qu’elle soit utilisée notamment par les génies fictifs Sherlock Holmes et Hannibal Lecter, elle est très facile à suivre.

Pour construire un palais mental, vous associez des faits avec des endroits réels ou imaginaires. Si votre trajet comporte des arrêts, des points de repères, des bâtiments particuliers, vous pouvez vous en servir de coffrets pour certaines informations, comme votre code PIN, votre mot de passe, des mots d’une langue que vous apprenez ou encore des souvenirs heureux que vous souhaitez vous rappeler. En créant une image mentale correspondant à chaque endroit, vous avec une clef qui ouvre les portes de votre palais mental.

6. Essayez-vous aux techniques de méditation

Inutile de vous asseoir sur un coussin dans une atmosphère baignée d’encens pour ajouter un peu de pleine conscience à votre journée. Dix minutes de méditation par jour suffisent à vous mettre de bonne humeur, atténuer vos douleurs et améliorer votre sommeil, selon mindbodygreen.

Certes, le bus et le métro ne sont pas vraiment des environnements calmes, mais vous pouvez mettre des écouteurs et pratiquer votre pleine conscience sur fond de musique douce ou en suivant un enregistrement de méditation guidée. YouTube fourmille de tutoriels de méditation de 5 à 10 minutes.

Couchez vos idées sur le magnifique papier Munken Kristall et laissez-vous porter.

Par ici pour des designs de Cartes de Visite avec une surprise à la clé.

On a généralement du mal à dissimuler notre émotion lorsque l’on déniche des pépites en Cartes de Visite. Avec les Cartes de Tyler et de Kane, on était carrément surexcités. Découvrez ce qui a influencé leurs designs et comment le papier Supra les a aidés à montrer leur différence.

 

Tyler Pate

Installé à Charleston, en Caroline du Sud, Tyler Pate est illustrateur et directeur artistique chez Blue Ion (agence de marketing numérique) le jour. La nuit, vous le trouverez à travailler sur des projets de design en freelance. Tyler a toujours été passionné d’art et de design, mais c’est la peinture qui le fait vraiment vibrer. Après le lycée, il a suivi des études supérieures de communication visuelle, ce qui l’a amené à découvrir de nouveaux supports et de nouvelles méthodes de travail.

  • Tyler Pate art
    A selection of Tyler's personal work
  • Tyler Pate artwork
    A selection of Tyler's personal work
  • Tyler Pate stickers
    A selection of Tyler's personal work
  • Tyler Pate art
    A selection of Tyler's personal work
  • Tyler Pate artwork
    A selection of Tyler's personal work
  • Tyler Pate art
    A selection of Tyler's personal work

Tyler a récemment travaillé sur un projet avec Blue Ion intitulé « Outpost ». Les cartes de visite qu’il a créées ont vraiment attiré notre attention ! « Outpost est une initiative qui interroge le lien essentiel entre les gens et la nature », explique Tyler. « Le but est de nous inciter à sortir et à explorer davantage la nature. En tant que professionnels du marketing, rédacteurs, designers et programmeurs, nous passons trop de temps à l’intérieur, assis devant un écran d’ordinateur. Nous faisons partie d’un projet plus vaste qui encourage les gens à trouver un équilibre entre faire le travail qu’ils adorent et leur bien-être. Nous voulions faire partie de la solution. »

  • Tyler Pate spot UV business card
  • Tyler Pate spot UV business card
  • Tyler Pate spot gloss business cards
  • Tyler Pate sticker

Tandis qu’il songeait à l’orientation artistique d’Outpost, Tyler a été inspiré par « les textures rugueuses de la linogravure et par la simplicité des badges de scouts. » Tyler a imprimé ses Cartes de Visite sur un papier Supra, auquel il a ajouté une finition Vernis Sélectif : « J’avais des spécifications exactes en tête, bien avant même de commencer à concevoir l’apparence des cartes. Le papier Super a un bon poids et je suis un grand fan du Vernis Sélectif. J’aime mettre en avant la simplicité des designs en ajoutant des éléments subtils. Et, pour ceux qui apprécient les détails, comme moi, les designs en Vernis Sélectif sont, espérons-le, un petit geste caché qui sublime le tout ! »

Ajoutez des surprises à vos designs avec la finition Vernis Sélectif

 

Kane Ordonez

Kane Ordonez est étudiant en dessin industriel à l’Université d’État de San Jose en Californie. C’est sa dernière année d’études et il a hâte de se lancer. Kane est captivé par l’art et le design depuis son plus jeune âge. Les projets d’artisanat et de bricolage l’ont notamment toujours attiré. Au lycée, il a étudié le design numérique et le graphisme, mais ce n’est qu’à l’université qu’il a découvert le dessin industriel (également connu sous le nom de conception de produit). Cela lui a ouvert de nouvelles portes en lui permettant d’innover et de donner vie à ses idées en trois dimensions.

Le dessin industriel a appris à Kane à regarder le monde différemment, à tenir compte des détails et à tout décomposer en formes et en motifs. Il est très inspiré par les années 50 : « J’apprécie vraiment la simplicité des meubles, les couleurs et les motifs de l’époque. Je veux incorporer ces influences dans mon travail. »

Comme ses études touchent à leur fin, Kane voulait créer ses propres Cartes de Visite et son image de marque en vue de son projet de diplôme : « J’ai conçu mon propre logo. Je voulais que ce soit un « K », la première lettre de mon prénom. Les 4 lignes représentent les quatre lettres de mon prénom. Pour ma palette, je me suis inspiré des couleurs des années 50. » Kane aime la « qualité mate et douce » de ses cartes et l’épaisseur du papier Supra ajoute selon lui une « dimension premium et sophistiquée ». Kane a posé ses Cartes de Visite sur la table de présentation de son projet de fin d’études. Elles ont connu un véritable succès, ce qui l’a aidé à se faire remarquer ce jour-là.

Définissez votre marque avec les Cartes de Visite Supra

Jeune designer textile, Hannah fait déjà des vagues ! Découvrez comment elle a trouvé son style et où elle puise son inspiration.

Hannah Ottolangui est designer textile indépendante à Leeds. Ses jolis designs vifs et audacieux apportent une touche d’humour aux objets du quotidien. Le résultat ? Des tissus qui mettent de bonne humeur. À peine son diplôme du Leeds College of Art en poche après avoir repris des études, elle est en passe de créer sa marque de bijouterie et de prêt-à-porter – et quelle marque ! Découvrez comment elle bâtit sa carrière d’indépendante, en quoi les Cartes de Visite jouent un rôle central à sa marque et ses astuces pour créer un stand de marché artisanal.

Comment êtes-vous arrivée à l’illustration ?

J’ai toujours suivi des cursus créatifs. J’avais commencé un cursus dans les beaux-arts, mais c’était un peu trop large et conceptuel pour moi. Je savais que je voulais me tourner davantage vers l’impression. J’ai donc interrompu mes études pour trouver des cours d’impression textile. Cela me semblait plus adapté à mon profil et me permettait de faire ce que je voulais.

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dessiné. J’ai toujours été intéressée par le passage de l’illustration à l’impression. Le cours du Leeds College of Arts me convenait donc parfaitement !

Vous avez un style incroyable, que l’on reconnaît instantanément. Quelles sont vos influences

J’ai toujours été très inspirée par les autres cultures, notamment la culture de la jeunesse japonaise. Le style urbain japonais est complètement dingue. J’ai tout de suite adhéré. Je me suis toujours sentie un peu différente. Quand j’ai découvert cet univers, je me suis waouh, c’est mon rêve. Je suis allée à Tokyo l’été dernier. Je voulais m’imprégner de cette esthétique foisonnante et colorée dans son environnement.

La culture pop en général m’influence aussi beaucoup. Les palettes que j’utilise sont souvent tirées de films. Ma collection actuelle emprunte clairement au folklore des États-Unis. J’ai recherché cette palette kitsch américaine dans les films qui prennent place à Vegas, comme True Romance.

  • Hannah Ottolangui art
  • Hannah Ottolangui digital art

Avez-vous remarqué des changements dans votre style d’illustration avec vos études ?

J’ai toujours su ce qui m’intéressait et quel était mon style. Cela n’a jamais changé. Mais désormais, j’exprime mieux mes idées.

Quand j’ai démarré l’université, je ne savais pas utiliser Photoshop. Je me suis familiarisée moi-même avec l’outil au fil du temps et cela a complètement changé ma manière d’appréhender le processus de création. Sérigraphier tous mes motifs et designs serait extrêmement fastidieux. Photoshop me donne la possibilité d’imprimer mes designs tout en raffinant leur couleur de manière à obtenir exactement l’effet désiré.

Certains de vos imprimés se retrouvent sur des vêtements vendus sur ModCloth. Comment ce partenariat a-t-il vu le jour ?

Au cours de ma deuxième année à l’université, nous avons été emmenés à Première Vision à Paris, un grand salon professionnel de mode. Nous avions tous conçu une collection à vendre spécifiquement à l’événement. J’avais vendu deux imprimés à une entreprise appelée Alexander Henry Fabrics. Cette entreprise produit de nombreuses impressions illustratives, qu’ils vendent à d’autres entreprises textiles. ModCloth a acheté le tissu à Alexander Henry pour en faire des vêtements.

Je ne savais même pas que ModCloth avait créé des vêtements avec mon tissu, jusqu’à ce que quelqu’un m’envoie un message sur Instagram en demandant si l’impression était la mienne. C’était incroyable, mais un peu étrange, car personne ne sait vraiment que c’est mon imprimé. L’une des raisons pour lesquelles je veux travailler en freelance est la possibilité de signer mon travail.

Comment vous y prenez-vous pour construire votre carrière de freelance depuis que vous avez obtenu votre diplôme ?

En ce moment, je recherche des collaborations. J’ai exposé à New Designers, un salon de design à Londres. C’était l’occasion de réseauter et de présenter mon travail aux bonnes personnes.

Avez-vous des conseils pour créer un stand réussi lors d’événements ou marchés d’artisanat ?

C’est une question difficile : à part New Designers, je n’ai participé qu’à la foire artisanale de la Journée internationale de la femme. Je pense que mon principal conseil serait de vous assurer que votre stand reflète vraiment votre esthétique. Pour ma part, j’ai décidé d’imprimer mes designs sur des sacs fourre-tout et j’ai fabriqué des bijoux en plexi. Le stand était décoré avec mes impressions. J’ai tout disposé et affiché quelques croquis. Je ne voulais pas investir trop dans mon premier stand, car je n’étais pas certaine du résultat. Il se trouve que j’ai beaucoup vendu !

Les foires artisanales sont un excellent moyen de faire connaître votre travail et de recevoir les réactions brutes sur vos produits. Le fait d’avoir des Cartes de Visite à portée de main m’a beaucoup aidée, car elles font un peu office de miniatures de mon travail. Les gens qui n’achetaient pas prenaient tout de même une carte, ce qui m’a apporté de nouveaux contacts sur Instagram. Les gens ne veulent pas toujours acheter les choses immédiatement. Donnez-leur la possibilité de se rappeler de vous !

Vous avez mentionné vos Cartes de Visite. Pourquoi pensez-vous que le branding est si important pour les petites entreprises ?

Votre marque doit montrer qui vous êtes exactement à vos clients et prospects. C’est d’autant plus important pour une Carte de Visite que c’est souvent la première chose que les gens voient. Votre carte doit donc sortir du lot et bien vous représenter. Sinon, en quoi êtes-vous si différent des autres ? Pour ma part, le fait d’avoir un design différent sur chaque carte fait office de portfolio de poche.

Vous avez un très beau compte Instagram et vous vendez vos produits sur Etsy. Avez-vous d’autres moyens de faire votre promotion et celle de votre marque ?

Je souhaite assister à autant de salons artisanaux que possible pour me faire connaître. Je pense que les gens sont plus susceptibles d’acheter vos produits s’ils peuvent les voir en vrai et apprécier leur qualité. Parallèlement, je me concentre sur Instagram, parce que c’est une plateforme très visuelle. Même si on n’aime pas les hashtags, force est de constater qu’ils constituent un outil puissant pour présenter votre travail à votre population cible. Attention à ne pas trop en faire, cependant : il est important d’avoir des fans qui se sentent vraiment impliqués.

Quels sont les grands défis des petites entreprises à l’heure actuelle ?

La grande difficulté est de se faire remarquer, car le secteur est saturé. Dans mon domaine en particulier, il n’est pas évident de savoir s’il vaut mieux faire connaître son travail en vendant ses designs à des sociétés, de manière anonyme, ou en tentant sa chance en indépendant. Une fois que vous avez vendus vos droits, vous ne pouvez plus utiliser ces dessins. Les réseaux sociaux peuvent aussi être un peu traîtres. Si les plates-formes comme Instagram ont une portée incroyable pour votre promotion, il est facile de perdre la main sur vos travaux.

Quels sont vos conseils aux personnes tentées de se lancer ?

La confiance en soi et la persévérance sont des qualités essentielles. Ne vous mettez pas trop la pression et ayez confiance en vos idées. On est toujours sévère envers soi-même et, certes, il y aura des déceptions mais il suffit de passer ces caps en restant soi-même. Il y aura toujours des gens qui n’aiment pas votre travail, mais de la même façon, il y aura toujours des gens qui apprécieront ce que vous faites. Et n’oubliez pas que vous avez démarré votre activité parce que vous aimez ce que vous faites.

Définissez votre marque avec les Cartes de Visite