Skip to content

Livraison GRATUITE à partir de 100 €

Miam ! Les cartes à croquer d’entreprises gourmandes

On <3 a communauté MOO ! Chaque jour, nous découvrons de nouvelles personnes, partout dans le monde, qui font de leur créativité un métier. Il y a de grandes chances pour que vous aussi, vous soyez inspirés.

C’est bien connu : Instagram est friand de ces photographies culinaires qui donnent faim. Parmi les plats photographiés, il y a les créations d’entrepreneurs de talent que nous avons la chance de compter parmi nos clients. Découvrez comment quatre créateurs de marques du secteur alimentaire ont développé leur entreprise et créé des cartes au design… appétissant.

Spice Mama

Shaheen Hughes a fondé Spice Mama, projet de cuisine et de recettes indiennes traditionnelles, en hommage aux femmes de sa famille. Shaheen Hughes mélange à la main des épices selon des recettes transmises de génération en génération. Elle partage ces recettes ancestrales au cours de ses ateliers de cuisine dans sa ville natale de Perth, en Australie Occidentale.

« La cuisine indienne est l’une des plus anciennes au monde. », raconte Shaheen Hughes. « Ce sont des milliers d’années de connaissances sur l’utilisation thérapeutique de l’alimentation et sur comment avoir une alimentation saine. » C’est cette pratique, communiquée de mère en fille, que Shaheen Hughes veut faire vivre. « Je veux préparer des plats traditionnels, faits maison, qui soient esthétiques et faits avec amour », ajoute-t-elle.

Shaheen s’est servie de Printfinity pour créer ses cartes. Cela lui permet de présenter tous ses plats préférés. « La cuisine indienne est une expérience multi-sensorielle. », déclare-t-elle. « C’est une explosion de couleurs, de parfums et de textures. Il faut d’abord la goûter avec les yeux pour vraiment l’apprécier. »

Shaheen a imprimé ses cartes en finition mate. « J’adore leur texture lisse et le papier résistant. Elles ont une dimension très tactile, qui fait vraiment ressortir mes images. », raconte-t-elle. « Les cartes évoquent l’esprit de ma marque – forte et simple, colorée, belle et pleine de passion. Elles me permettent de souligner l’expérience sensorielle que je souhaite que les gens vivent, lorsqu’ils goûtent mes plats. Il est parfois difficile d’exprimer les mille et une choses que vous voulez dire à propos de votre marque. Désormais, il me suffit de tendre une simple carte, et le message est passé. »

Shaheen Hughs ajoute que si elle pouvait ajouter une chose à ses cartes, ce serait d’en faire des cartes à gratter qui révéleraient un parfum : « Je leur donnerais différents arômes, comme la cannelle, le cardamome ou encore les clous de girofle. » Miam !

Créez des Cartes de Visite qui parlent pour vous

 

Kate Prihodko

Originaire de Riga, en Lettonie, Kate Prihodko est photographe culinaire à Tallinn, en Estonie. Son activité a démarré sur un blog où elle partageait des recettes qu’elle avait créées avec de belles photographies pour les accompagner. Un an plus tard, elle met son talent de photographe au service de restaurants. Elle apprécie tant cette nouvelle profession qu’elle a décidé de développer son activité dans cette direction.

Elle photographie désormais pour des restaurants, des bars et des magazines. Elle réalise également des publirédactionnels en complément des recettes qu’elle continue de publier.

Bien entendu, les Cartes de Visite de Kate sont centrées sur le thème de la nourriture, sa principale source d’inspiration. La décision la plus difficile était de choisir entre les asperges et les artichauts, ses deux aliments préférés. Elle a opté pour les artichauts (très bon choix). Son ami Tomas, graphiste de profession, l’a aidée à réaliser les illustrations.

Les cartes de Kate ont une finition mate. « J’aime les finitions classiques », explique-t-elle. « J’ai été ravie du résultat, du papier comme de la finition. Mes cartes sont bien représentatives de mon activité. »

Commander vos propres Cartes de Visite Mattes

 

Latigo Coffee

Latigo Coffee est un service de livraison par abonnement à Los Angeles. Fort d’une expérience en caféiculture et en e-commerce (une combinaison inhabituelle), son fondateur, Mark, aspire à partager avec sa communauté les histoires de cafés les plus incroyables à travers le monde.

Tout a commencé en 2012, lorsqu’il a démissionné de son travail de bureau pour s’installer à Hawaii et travailler sur une plantation de café. Les cinq années qui ont suivi, il a parcouru le monde à la recherche des meilleures expériences de café. C’est au cours d’un tour de la côte californienne à vélo, l’an dernier, que Mark a eu l’idée d’un abonnement de café. Il a d’ailleurs nommé son idée d’après la plage Latigo Beach à Malibu.

Latigo Coffee est disponible exclusivement en s’inscrivant en ligne. L’expérience de l’emballage est donc primordiale. Comme elle avait peu d’expérience en design, l’entreprise Latigo Coffee a fait appel à son artiste préféré sur Instagram et lui a fait part du style général qu’elle attendait. Ensemble, ils se sont arrêtés sur la forme du tandem, figure de surf en couple caractéristique de Hawaii, qui rappelle vaguement la forme d’une cafetière.

Latigo Coffee a imprimé le design sur les Flyers Carrés qui sont envoyés avec chaque première commande de leurs clients. « Les Flyers allaient parfaitement (assez littéralement, en fait) sur nos emballages. », raconte Mark. « Ils conviennent parfaitement à nos envois. Chaque Flyer présente le tandem au recto, et nous rédigeons un message de remerciement à la main au verso pour chaque client. »

« Comme il s’agit d’une petite entreprise auto-financée, les ajouts de qualités ont des retombées immenses. Il est amusant de voir à quel point les Cartes de Remerciement, ou encore notre scotch personnalisé Lumi, ajoutent de la valeur à la marque, et ce, même si nous sommes une petite structure. Les gens adorent recevoir des petits mots. Notre expérience d’ouverture du paquet fait partie intégrante de notre activité. »

Faites parler vos emballages pour vous : créez vos propres Flyers

 

Gabi Zuniga

Gabi Zuniga est une illustratrice indépendante spécialisée dans le domaine culinaire. Son objectif est d’améliorer et de styliser son sujet, en montrant ses caractéristiques les plus intéressantes, tout en conservant la familiarité de la nourriture que nous connaissons et aimons tous.

Pour ses Cartes de Visite, Gabi souhaitait mettre en avant la nourriture, pour attirer le regard des gens sur ses délicieux designs. « J’adore pouvoir distribuer une carte dont je suis fière à mes prospects et aux personnes que je rencontre. »

Gabi présente son portfolio grâce à Printfinity, sur une finition mate : « La possibilité de présenter des designs différents au dos des cartes a joué un rôle décisif lorsque j’ai choisi MOO. J’aime voir les gens essayer de choisir leur design préféré. Ils traitent mes cartes comme des objets de collection. »

Présenter votre portfolio avec Printfinity

Tout le monde aime le travail flexible : c’est un facteur de confiance, de cohésion et donc de bien-être. Mais comment maintenir une image de marque solide lorsque vos employés sont partout dans le monde ? Suivez nos cinq astuces.

Selon Forrester, 34 millions d’Américains travaillent de chez eux : c’est la preuve que le télétravail fonctionne. Mais jusqu’à quel point ?

Certes, les employeurs toucheront davantage de candidats et auront des équipes plus motivées en accordant à leurs employés la possibilité d’être mobiles. Certaines études suggèrent même que ce genre d’aménagement rend les employés plus productifs. D’après Hubspot, le télétravail élimine certains éléments perturbateurs propres au bureau, comme les collègues bruyants ou les réunions imprévues.

Toutefois, si vos employés sont répartis partout dans le monde, vous risquez de perdre en esprit d’équipe ce que vous gagnez en efficacité. Or une équipe soudée reste un atout vers le succès.

En tant qu’entrepreneur, comment équilibrer souplesse et culture d’entreprise ?

1. Fixez-vous une raison d’être

Le Harvard Business Review rappelle que « la force de la culture d’entreprise émane d’une vision ou d’une mission. Ces textes simples dictent les valeurs d’une entreprise et lui donnent une raison d’être. » Faute d’engagement collectif, les équipes ont tendance à s’éparpiller et à se diviser.

Demandez confirmation aux 70% de la population active mondiale qui, selon Forbes, ne connaissent même pas la mission d’entreprise de leur employeur. On ne s’étonnera donc pas qu’un sondage Gallup de l’an dernier montre que 87% des travailleurs à travers le monde ne se sentent pas impliqués dans leur travail.

Pour enrayer cette tendance, donnez à votre entreprise un objectif autre que la finalité financière. Il peut s’agir d’une visée sociale, environnementale, humanitaire, voire idéologique ! La marque de vente au détail Life is Good ambitionne de « répandre le pouvoir de l’optimisme. » De son côté, Twitter souhaite « donner à chacun le pouvoir de créer et de partager des idées et des informations. »

Vos employés en télétravail connaissent-ils vos valeurs d’entreprise ?

2. Communiquez

Rien de tel que la communication pour mettre les collègues en relation. Or les dirigeants se doivent de montrer l’exemple.

« Un bon PDG fait l’effort de connaître personnellement ses employés, » affirme la spécialiste du sujet Alexandra Levit, auteur d’Inspiration at Work [non-traduit]. « Intéressez-vous à la vie des membres de vos équipes (employés, associés et même clients) et soyez enclin à partager la vôtre. Plus vous vous montrez accessible, plus vos équipes seront solidaires de vos décisions. »

Communiquez fréquemment et ouvertement, et encouragez vos employés à entretenir des liens solides. Les plateformes de discussion en ligne comme Slack facilitent la communication et la rendent plus amusante.

3. Rencontrez-vous régulièrement

Ce n’est pas parce que vos employés ne sont pas sur place que vous ne pouvez pas les rencontrer de temps à autre. En mettant un visage sur un nom, vous cimentez votre relation de façon durable, au-delà de la simple réunion.

Selon Emil Skandul, fondateur de l’agence web américaine Capitol Foundry, qui emploie des personnes dans toute l’Europe, « La rencontre en personne est cruciale. Chaque année, notre entreprise choisit le pays de l’un de nos employés en télétravail, et toute l’équipe s’y rend. Les répercussions sur l’ambiance de l’équipe sont très précieuses. Cela vaut bien le prix du billet d’avion. »

Comme Emil Skandul, n’hésitez pas à organiser une réunion annuelle, si c’est possible, ou tout simplement une grande fête pour célébrer les accomplissements de vos équipes.

4. Montrez votre reconnaissance

Comme le dit si bien Maya Angelou, « Les gens oublieront ce que vous avez dit, ils oublieront ce que vous avez fait, mais n’oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir. » Tout le monde aime recevoir des compliments. En montrant à vos employés combien vous les appréciez, vous cimentez leur relation avec votre entreprise en rendant cette dernière plus sympathique.

D’après notre expérience, il vaut toujours mieux montrer sa reconnaissance de manière personnelle. Oubliez la montre en or au logo de la société et privilégiez les petites pensées spontanées : remerciez régulièrement vos employés, publiez au sujet de leurs accomplissements sur les réseaux sociaux, multipliez les avantages, créez un système de récompense et n’hésitez pas à leur accorder une prime qui les aidera à payer les grosses dépenses de l’année, comme des vacances ou encore les appareils dentaires de leurs enfants.

5. Misez sur les supports imprimés pour votre communication marketing

Harmonisez votre image à l’international au-delà du simple site internet. Donnez une image tangible à votre société, grâce à un Papier à en-tête très pro et des Cartes de Visite sur mesure. Ces éléments donneront à vos employés une représentation physique de votre marque. Ainsi, partout dans le monde, ils auront le sentiment de travailler dans une entreprise bien dirigée, qui vaut bien davantage que la somme des parties qui la composent.

Il est donc toujours possible de cultiver une culture d’entreprise forte ! Il suffit pour cela de communiquer efficacement autour d’une cause commune et de cimenter les relations autour de la reconnaissance du travail et de l’image de marque. En suivant ces conseils, vous profiterez des avantages du travail modulable sans pour autant perdre les bienfaits d’une culture d’entreprise forte.

Avoir un bon produit ne suffit pas pour développer son entreprise. La clef est de trouver la grande idée, la motivation qui vous fait avancer. Nous avons rencontré Amanda Wayne, fondatrice de la boutique de bien-être Head and Hands, afin de découvrir comment elle s’y est prise (et pourquoi elle aime tant son Carnet de Notes MOO).

Les petites entreprises qui ont un grand cœur, motivées par un objectif plutôt qu’un produit, ont plus que jamais la chance de rencontrer le succès à l’ère de l’économie numérique. Nous sommes toujours ravis de découvrir au sein de notre communauté des entrepreneurs qui, au-delà de créer leur entreprise, aspirent à donner vie à une idée. Établie à Londres, la créatrice entrepreneuse Amanda Wayne aspirait à lancer une entreprise, Head and Hands, centrée sur l’idée du bien-être.

Que fait votre entreprise Head and Hands ?

Head and Hands a trois activités. C’est d’abord un magasin, autrefois physique, désormais en ligne. Nous proposons aussi des ateliers de création, animés par moi-même ou par d’autres artistes et artisans. Et c’est par ce qui est désormais notre troisième activité que tout a commencé : le massage indien de la tête.

Le nom « Head and Hands » (la tête et les mains, en anglais) évoque une connexion avec le moi intérieur, en occupant vos mains et en apportant du bonheur à votre esprit. J’essaye d’inciter les gens à marquer une pause, à se centrer sur eux-mêmes et à être heureux et détendus.

D’où vous est venue cette idée ?

J’ai des problèmes de santé chroniques. Alors que je cherchais une thérapie plus holistique, j’ai compris qu’il fallait que je commence par me donner le temps de me détendre. Je suis donc allée voir une spécialiste de la réflexologie faciale (comme pour les pieds, mais sur le visage !). C’était génial. Elle m’a vraiment beaucoup aidée, d’autant qu’elle avait ce magnifique espace… Un vrai sanctuaire.

Nous avions des discussions très intéressantes lors de mes séances et j’avais vraiment l’impression d’être écoutée. Je me suis aperçue que j’adorerais avoir une profession comme la sienne, mais en y associant mes compétences créatives et artisanales. C’est ainsi que j’ai suivi une formation de massage indien de la tête, car cette discipline met en relation la tête et les mains.

Comment votre première carrière dans le design vous a amenée à créer cette entreprise ?

Avant Head and Hands, je travaillais pour un studio de design, qui proposait beaucoup d’ateliers à la communauté. J’ai travaillé avec des communautés qui allaient connaître des changements, afin de les aider à déterminer certains éléments du design de leur nouvel environnement.

Après mes études en graphisme et en dessin, j’ai travaillé dans des écoles, où j’ai associé mes compétences artistiques à un travail relationnel. L’humain a toujours été au cœur de mes préoccupations. C’est de cette façon que j’ai compris qu’il se passe quelque chose de très intéressant en nous lorsque nous créons quelque chose. Ce sont les vertus apaisantes de la création. J’ai travaillé avec des gens très fragiles qui peuvent véritablement se transformer lorsqu’ils apprennent, qu’ils créent, qu’ils travaillent de leurs mains.

Quand j’ai démarré mon activité de graphiste-illustratrice après le diplôme, j’ai nommé ma marque « With your hands » (Avec les mains), parce que j’étais très intéressée par une approche manuelle et simple. J’ai toujours privilégié la dimension corporelle du geste à la technologie. Lorsque je reviens sur mon expérience, je vois bien ce qui lie mes expériences passées : tout a joué un rôle.

Comment avez-vous trouvé votre magasin ?

C’est une histoire un peu bizarre. J’ai suivi ma formation de masseuse, sans trop savoir pourquoi, si ce n’est que je voulais faire quelque chose de nouveau. Puis un local s’est libéré dans mon quartier à Walthamstow. Il y avait un projet d’incubateur d’entreprises. Je me suis rendue compte que je pouvais créer non seulement un espace de massage, mais plus encore. Je connaissais des artistes et des artisans dont je pouvais vendre les créations. En outre, j’organise des ateliers : c’est ce que j’ai toujours fait… Pourquoi ne pas combiner ces trois activités ?

À l’époque, je n’avais ni mobilier, ni stock, juste une idée sur le papier qui avait fini par m’habiter au moment où je déposais ma candidature. Certes, j’avais un nom, mais pas grand-chose d’autre. C’était juste une idée qui me semblait être la bonne.

Je me suis retrouvée dans un entretien pour le local et on m’a immédiatement proposé de l’occuper. Je n’avais qu’un mois et quelques mesures. Je me rappelle recréer au scotch la superficie du magasin dans la cour de mon immeuble, et sortir mon mobilier pro afin de visualiser comment tout allait tenir. Le magasin était si petit !

Comment avez-vous trouvé vos fournisseurs ?

Tous les produits que je vends sont tournés vers le bien-être et le fait de prendre soin de soi. Il s’agit aussi de mettre en avant le travail de divers artisans. La règle est que tout doit être fait à la main. Je connais beaucoup de bijoutiers et de potiers, donc j’avais déjà une gamme de produits à disposition. J’utilise beaucoup Instagram. Le réseau m’a permis de repérer d’autres artisans dont j’appréciais le travail, et de les contacter.

Je leur ai parlé de ce magasin qui n’existait pas encore et je leur ai demandé s’ils voulaient participer à l’expérience. Ils ont tous accepté ! J’ai donc commencé à passer des commandes, par exemple des produits très originaux issus de l’herboristerie américaine. Là-bas, on trouve des infusions extraordinaires qui ne sont pas accessibles au Royaume-Uni.

Instagram est un excellent moyen pour moi de rencontrer d’autres artisans, car c’est un réseau très visuel, qui donne une vision très claire de l’éthique d’une marque. J’avais un budget très serré, mais la présentation finale de mes produits s’est avérée satisfaisante le soir du lancement.

Comment avez-vous combiné les différents produits dans le même espace ?

J’ai tout simplement accumulé du stock. Je n’avais aucune idée des quantités appropriées et bien sûr j’avais toujours mon budget en tête. J’ai convaincu des amis de m’aider à fabriquer des meubles et j’ai fait quelques trouvailles sur Ebay. J’avais peu d’espoir de réussir et pourtant, tout s’est bien combiné, un peu comme un signe. Je n’avais jamais préparé de commandes pour un magasin. J’avais donc beaucoup de nouvelles compétences à acquérir.

La soirée de lancement a été formidable. Tout s’était parfaitement déroulé. D’ordinaire, je suis une vraie procrastinatrice, incapable de me concentrer. Mais le magasin m’a forcée à prioriser et à aller jusqu’au bout de mon projet. C’est en partie dû au fait que tout se soit passé si vite. Tout s’est déroulé exactement comme il le fallait.

Beaucoup de gens ont dit que j’avais très bien orchestré le projet et c’est ce mot, « orchestrer », qui désigne le mieux ce que j’envisage pour Head and Hands. Je veux orchestrer la présentation de produits très divers et raconter leur histoire.

Une fois la période d’incubation terminée, comment avez-vous reproduit l’expérience en ligne ?

Rien ne vaut la relation établie dans un magasin en dur. J’ai eu des conversations très intéressantes avec mes clients, sans l’urgence d’acheter et de repartir. Il s’agissait avant tout de créer un environnement agréable.

Il est très difficile de recréer cette expérience en ligne, parce qu’on ne peut pas toucher les produits. C’est un aspect auquel je dois encore m’habituer. En ce moment, j’essaie de créer une série audio de portraits d’artisans et de leurs produits, afin de donner plus de vie au nouvel espace en 2D. C’est une transition intéressante.

Bien sûr, cette nouvelle plateforme est l’occasion de personnaliser les commandes et de créer de beaux emballages. Ces aspects me plaisent beaucoup. J’écris à chaque client un petit mot au moment d’expédier le paquet. J’ai aussi des Autocollants aux messages positifs, afin que l’ouverture de la boîte soit un moment où l’on se fait plaisir. C’est un peu l’équivalent d’une conversation agréable avec un client.

Vous avez beaucoup de choses à gérer. En quoi votre Carnet de Notes MOO vous est-il utile ?

Il est tellement bien présenté, et solide, avec ça ! Je peux être un peu maladroite (je renverse beaucoup de choses), donc j’ai plaisir à posséder quelque chose de soigné. L’étui protecteur, l’organisation du carnet et la possibilité de tenir un journal de mes pensées, voilà autant d’éléments qui m’encouragent à prendre mieux soin de moi.

Je passe beaucoup de temps sur mon téléphone ou à me disperser. Le carnet me permet de me recentrer. J’aime le fait que l’on puisse le poser à plat et plus particulièrement la partie centrale qui se prête à dessiner sur une double page.

On peut l’utiliser de diverses manières, c’est d’ailleurs mon cas. Je m’en sers pour dresser mes listes de choses à faire, inscrire mon emploi du temps de la semaine, croquer quelques idées… D’habitude, je n’aime pas trop les carnets. Je finis par dessiner sur toutes sortes de petits papiers que j’agraphie ensuite. Mais le design du Carnet MOO est si agréable que je dessine avec plaisir sur ses pages. On dispose de la structure des lignes, mais ces lignes sont assez fines. Pour moi, cela signifie : « Il y a un cadre si tu en as besoin, mais tu peux t’en affranchir. »

Suivre Head & Hands

Twitter: @headandhands_
Instagram: @headandhands_
Facebook: headandhandslondon

Choisir votre Carnet de Notes MOO

Vous développez votre activité ? En faisant appel à des indépendants, vous disposez du savoir, des compétences et de la main d’œuvre nécessaires dès que vous en avez besoin. Voici six conseils pour une collaboration sans accroc.

D’ici 2020, les indépendants représenteront la moitié des actifs aux États-Unis. Embaucher un free-lance n’a jamais été aussi facile. Mais comment vous assurer que vous collaborez avec des personnes qui s’investissent dans vos projets, votre activité et votre clientèle ? Voici nos six astuces sur le sujet.

1. Donnez la priorité à votre culture d’entreprise

La culture d’entreprise joue un rôle central dans la réussite de votre société. Auteur d’Osez sortir du rang !, ouvrage sur l’anticonformisme dans la culture d’entreprise, Adam Grant a observé que les sociétés qui embauchent des personnes en accord avec leur culture d’entreprise ont un taux d’échec de zéro pour cent sur trois ans, par rapport aux entreprises qui mettent l’accent sur le talent ou les compétences à l’embauche. Dans les petites entreprises, la culture cimente les activités.

De la même manière que pour les employés, il est important d’embaucher des indépendants qui correspondent à votre marque. Si vos nouveaux collaborateurs ont l’habitude d’être en retard ou d’apporter une réponse brouillonne à un point par mail, cela donne une mauvaise image de vous. Il vous faut donc une personne qui soit en accord avec la culture de votre entreprise. Tout comme vous, les indépendants doivent croire aux valeurs et aux objectifs de votre activité et vouloir faire partie de l’équipe.

Durant la phase d’embauche, apprenez à les connaître et demandez-leur quels sont leurs projets pour l’avenir, ou encore quelles valeurs ils mettraient en avant s’ils étaient à la tête d’une société. Et, bien sûr, comment ils perçoivent votre entreprise.

Pour que les indépendants s’investissent dans vos projets, vous devez faire l’effort de vous intéresser à eux comme s’ils étaient vos employés à plein temps. Donnez-leur les mêmes outils techniques, fournitures de papeterie et Cartes de Visite que vous vous offrez à vous-même. Cela leur permettra de se sentir intégrés et d’interagir avec vos clients de la même manière que le reste de vos équipes.

2. Établissez des normes de qualité

Les projets sur lesquels les indépendants que vous avez embauché travaillent, et les résultats qu’ils obtiennent, sont aussi les vôtres : le résultat a des répercussions sur l’image de votre société. Bien sûr, la première étape est de bien sélectionner la personne à l’embauche.

Prenez le temps de bien définir ce qui correspond à un travail bien fait, afin que vos free-lances puissent se référer à un modèle. Partagez votre guide de marque, vos supports, votre guide de style… Cela permettra aux indépendants de plonger dans l’univers de votre entreprise et de votre marque. De cette façon, ils comprendront mieux votre identité visuelle et produiront un travail de meilleure qualité.

Vous pouvez également mettre en place un léger processus de révision. Votre équipe pourrait bien s’apercevoir qu’en informant simplement les indépendants qu’un système est en place, la qualité du travail pourrait être améliorée.

3. Formulez clairement vos attentes, dès le départ

Il est important d’exprimer vos attentes dès le début, tout comme vous le faites avec vos employés. Cela vous sera d’une aide précieuse, à vous comme à la personne dont vous supervisez le travail. Fixez des dates butoirs aux projets, programmez des réunions et donnez un format clair pour les rapports.

N’oubliez pas de diffuser et de discuter de la culture de l’entreprise. Organisez des réunions avec vos collaborateurs indépendants et maintenez une collaboration étroite entre eux et votre équipe. Cela permettra à vos free-lances de vraiment comprendre votre manière de procéder. Vous vous apercevrez que le travail sera terminé plus vite et les questions et inquiétudes résolues directement.

Enfin, faites confiance aux indépendants. « À notre époque, le management est un exercice de jardinage, pas un jeu d’échec », commente le Général Stanley McChrystal dans son ouvrage dédié au management d’entreprise Team of Teams [indisponible en français].

4. Respect, compréhension et retours positifs sont les clefs de la loyauté

Toute relation positive est fondée sur un rapport de confiance. Qu’importe la durée de votre collaboration (que ce soit deux mois ou un an), traitez votre collaborateur indépendant de la même façon que vous traiteriez vos autres employés. Faites des compliments lorsqu’ils sont mérités et prenez le temps d’évaluer régulièrement le travail fourni. Rien n’est plus motivant que de savoir que son travail est apprécié. Dale Carnegie, auteur du célèbre ouvrage Comment se faire des amis, déclare : « Criez vos compliments sur tous les toits ! »

C’est un facteur de sympathie qui vous fera marquer des points en vue des moments plus difficiles de votre collaboration, par exemple en cas de projet de dernière minute. Vous vous apercevrez que les gens ont envie de répondre favorablement à vos attentes, ce qui vous dispensera d’être toujours derrière eux.

5. Rémunérez les indépendants par projet et à temps

Non seulement cela facilite la gestion de votre budget, mais c’est aussi une manière de donner une image valorisante de votre entreprise. Personne n’aime être rémunéré en retard. Les indépendants sérieux apprécient cette régularité, qui vous donnera une bonne réputation au sein de la communauté free-lance. De fait, 50 % des indépendants font valoir la stabilité des revenus comme leur première préoccupation lorsqu’ils se lancent, selon l’association américaine Freelancers Union.

En outre, la rémunération par projet s’avère beaucoup plus simple que l’estimation horaire, car il reste difficile de contrôler le temps passé sur un projet. Heureusement, certaines plateformes de free-lance, comme UpWork ou Fiverr, ont conçu des logiciels de chronométrage qui facilitent grandement la vie des indépendants… et la vôtre.

6. Donnez de l’importance aux ambitions des indépendants

Ce n’est pas parce que l’on est indépendant que l’on n’a pas d’objectif ni d’ambition de carrière. Selon Freelancers Union, seuls 27 % des indépendants exercent leur activité en supplément d’un poste à plein temps, pour arrondir leurs fins de mois ou gagner en expérience. Les autres envisagent leur situation comme le premier pas vers la création de leur entreprise ou leur prochain poste.

Traitez vos collaborateurs indépendants comme vos propres employés. En les respectant et en les aidant, vous tissez des liens qui renforceront leur implication dans votre société et sa clientèle.

Mettez à profit leurs points forts et diversifiez les tâches que vous leur confiez. Les travailleurs indépendants ont autant de talent que vos employés. Ne vous contentez pas de leur attribuer les projets dont personne ne veut.

Finalement, superviser des free-lances est bien plus facile qu’il n’y paraît, n’est-ce pas ? Comme toute relation, la collaboration avec un indépendant demande des efforts. Si vous vous impliquez dans leur travail, ils s’impliquent dans votre activité, ils vous sont fidèles, et vous aident à développer efficacement votre entreprise.

Assurez-vous que vos collaborateurs indépendants ont bien leur Carte de Visite.

On considère souvent qu’il est impossible de faire de sa passion une entreprise rentable. Cela n’empêche pas certains de prouver le contraire, à l’instar de Lucy Burley.

Harmonisant forme et couleur avec passion, Lucy Burley s’approprie un art traditionnel pour y apporter une touche de modernité. Il s’agit de la poterie, qui a d’abord occupé ses soirées avant qu’elle s’y consacre à plein temps, montrant que l’on peut rencontrer le succès en s’adonnant à sa passion.

Racontez-nous un peu d’où vous venez. Comment votre passe-temps est-il devenu une carrière ?

J’ai d’abord travaillé dans la télévision, à la production puis en postproduction. Mais je n’étais pas satisfaite sur le plan créatif. J’ai donc commencé à prendre des cours de dessin. Mes cours du soir sont finalement devenus des études d’art à plein temps. J’ai suivi un cursus d’orientation en art, avant de passer mon diplôme de céramique, que j’ai obtenu en 1996. Depuis, je n’ai jamais quitté la poterie.

Cela dit, j’ai eu la chance de pouvoir travailler en tant que free-lance pour la télévision parallèlement au lancement de mon atelier. J’ai continué à travailler dans la télé jusqu’à que mes ventes me permettent de vivre.

Comment avez-vous développé une méthode créative qui vous corresponde ?

J’ai adoré essayer des choses diverses. J’ai passé beaucoup de temps à chercher la finition parfaite pour ma céramique. Je savais que je voulais quelque chose de lisse, un peu comme une coquille d’œuf. Durant mes études, j’ai donc développé une glaçure qui apportait la finition que je ne parvenais pas à trouver ailleurs.

La base est de couleur crème. Je mélange plusieurs oxydes métalliques et colorants pour composer ma palette de couleurs, que j’ajoute ensuite en petites quantités à ma glaçure de base. J’utilise des couleurs très variées.

Comment gérez-vous votre emploi du temps ?

J’ai besoin de bien m’organiser, car je partage mon temps entre mes ventes et l’enseignement sur plusieurs établissements : je donne des cours particuliers dans mon atelier, où je mets mon tour à disposition, mais aussi dans tout le Hampshire et le Surrey.

Par ailleurs, je commercialise mes produits dans une vingtaine de galeries ainsi que sur la boutique en ligne de mon site. Je travaille donc sans cesse, entre les commandes des galeries, les clients directs et l’enseignement.

Comment rester fidèle à votre art tout en apportant votre touche personnelle, de façon à créer un produit adapté à notre époque ?

Je tourne de façon traditionnelle, mais ce n’est pas pour autant que mes céramiques doivent avoir l’air traditionnelles. Tradition et modernité ne sont pas forcément en opposition !

Je suis très fière de faire vivre la tradition ancestrale de la poterie. Lorsque l’on crée quelque chose d’éternel à partir d’un simple tas de boue, grâce à un processus élémentaire, on ressent quelque chose d’unique.

J’ai créé toutes sortes de choses au cours d’ateliers que j’ai animés dans des musées : des tuiles médiévales, des mini-dinosaures et même des vases mings ! J’adore mon travail, mais je trouve formidable de pouvoir revenir aux racines traditionnelles de mon art.

Selon vos propres termes, vous aspirez à « harmoniser forme et couleur ». Qu’est-ce que cela signifie ?

J’ai passé beaucoup de temps à réfléchir à cette formule. Je voulais décrire au mieux mon travail et mes créations. Les formes doivent s’articuler comme dans un portrait de famille : les membres se ressemblent sans être identiques, pour le plaisir des yeux. Au sein d’une même ligne de céramiques, les couleurs doivent être harmonieuses.

Les natures mortes de Giorgio Morandi m’inspirent beaucoup. Il peignait des ensembles de poterie, qu’il présentait en harmonie dans sa composition grâce à une utilisation subtile des couleurs. On ne peut pas vraiment associer son travail à un style ou une époque. Je souhaite que mon travail ait la même dimension élégante et intemporelle que ses peintures.

  • Lucy Burley pottery
  • Lucy Burley pottery

Comment faites-vous connaître votre marque ? Quelle utilisation faites-vous des produits MOO ?

J’ai récemment remanié mon site et je fais connaître mon travail à travers les réseaux sociaux. J’utilise MOO depuis des années et j’ai toujours été ravie de la qualité des produits. Grâce à Printfinity, j’ajoute une image différente sur chaque Carte de Visite. C’est super, car je propose des articles de poterie très variés, dans de nombreuses couleurs différentes. J’adore le fait d’avoir une carte pour chaque article.

J’ai utilisé des MiniCards, des Cartes de Visite et des Cartes Postales par le passé. Les Cartes Postales me permettent de montrer mon travail tout en ajoutant un petit message personnalisé au dos. J’ajoute toujours une carte dans les paquets que j’envoie à mes clients. Je fais en sorte de choisir une carte assortie au produit qu’ils ont commandé. C’est tout l’avantage de Printfinity ! J’utilise toujours les modèles de design en ligne de MOO. Sans ces modèles, mes cartes n’auraient pas l’air aussi professionnelles !

Quels sont vos conseils aux personnes qui seraient tentées de suivre votre exemple ?

Je suis sûre que tout le monde dit la même chose, mais c’est vrai : suivez vos envies. C’est cela, le plus important. Si vous aimez vraiment quelque chose, mettez-y autant d’énergie que vous le pouvez et vous serez récompensé par une grande satisfaction, ce qui vous apportera vraisemblablement beaucoup de bonheur.

Ça vous inspire ? Créer mes propres Cartes Postales

Elle est petite et elle fait bonne impression chez les abeilles. MOO présente : la NanoCard ! Nous avons rencontré trois clients pour savoir comment elle les a aidé à améliorer leur networking.

Indépendants, entrepreneurs, créatifs… Nos clients ont un point commun : ils savent faire fonctionner leur réseau. Récemment, nous avons ajouté un nouveau petit format à notre gamme de Cartes de Visite, afin de garder contact avec vos clients de tous gabarits : la NanoCard.

Résidente aux Jardins de Bagatelle, Maya Martin témoigne : « Nous autres abeilles vivons une époque complexe : il faut produire toujours plus vite, les travailleuses bougent plus et plus loin, d’autant que les semaines de travail sont toujours plus longues. »

« Plus que jamais, on a besoin de garder contact. En communiquant avec les autres ruches, on évite d’être dépassées. Je glisse toujours quelques NanoCards dans ma corbeille à pollen avant de sortir butiner. On ne sait jamais à qui on va serrer la main, ou plutôt le tarse ! » ajoute-t-elle.

Découvrez la NanoCard

La NanoCard est la plus petite Carte de Visite jamais conçue par MOO. Il s’agit d’un modèle réduit de notre célèbre carte Luxe. Grâce à une texture finement laminée, la carte s’attrape facilement entre des mandibules et résiste aux taches de pollen. Vous pouvez même imprimer vos coordonnées à l’encre UV, détectable uniquement par les abeilles.

Employée à la ruche de Buckingham à Londres, Claire White a été l’une des premières clientes à essayer les nouvelles NanoCards. Elle les trouve idéales pour établir des relations solides, en assurant une première impression durable.

« Je joue beaucoup au golf. On ne sait jamais qui on va rencontrer sur le terrain. C’est une activité propice aux rencontres et, si l’on veut se présenter en bonne et due forme, il est essentiel d’avoir une bonne Carte de Visite. », confie-t-elle.

Pas seulement pour les abeilles

Les abeilles ont été parmi les premières à adopter la NanoCard, preuve incontestable de leur intelligence et de leur nature sociable. Cela en fait la dernière communauté en date à découvrir la valeur de cette vétérante du networking.

Toutefois, nos cartes ont été conçues pour convenir à toutes les espèces. Une bande de moineaux a récemment reçu sa première commande, et l’on observe un phénomène d’engouement chez les araignées d’Amérique Latine. Les cartes devraient avoir peu de succès auprès des cloportes, mais c’est parce que personne n’a vraiment envie de garder contact avec eux.

Des affaires florissantes

L’horticultrice parisienne Mimi Pinson raconte : « J’ai fait l’essai en commandant quelques cartes pour la ruche du coin. L’expérience a été une réussite. Les abeilles me font savoir lesquelles de mes plantes à fleurs elles ont pollinisé. Elles me laissent une Carte de Visite à la fin de leur journée de travail. Cela me fait gagner beaucoup de temps. »

Yvette Bourdon, l’une des collaboratrices de Mlle Pinson, salue l’initiative : « C’est génial que les petites entreprises soutiennent les communautés d’abeilles. Nous y gagnons en pollen et ils y gagnent en pollinisation. Il n’y a pas de perdant. D’autant que mes cartes présentent bien dans mon nouveau portefeuille. »

Poisson d’avril!!!! – Nous n’avons bien sûr pas (encore) de NanoCards…